C'est par un matin d'été. Efi a le feu aux fesses et elle n'a qu'une seule idée en tête. Elle veut une belle grosse queue. Sachant qu'elle a encore de la besogne à faire, elle se réserve jusqu'à la fin de la journée. Mon épouse Efi est une très belle blonde, avec de longs cheveux, des yeux verts et des lèvres très sensuelles. Elle a acquis un superbe bronzage intégral. Elle est intelligente, spirituelle, optimiste, indépendante d'esprit et pleine d'énergie. Efi est plus féminine que jamais. Elle est nymphomane et cochonne au lit. Elle aime le sexe et ne se retient pas pour exprimer ses besoins. Efi est toujours prête à jouir de toute les manières. Ce matin-là, elle entre résolument dans l'église. Le jour dehors s'allonge jusque dans l'église en trois rayons énormes, par les trois portails ouverts. Au fond, un sacristain passe en faisant devant l'autel l'oblique genuflexion des dévots pressés. Ma femme Efi arrive, charmante. Les regards du prêtre et du sacristain la suivent. Elle porte sa robe à volants, ses bottines minces. Elle provoque les mâles. Les vitraux resplendissent pour illuminer son visage. Il lui semble se conduire d'une façon monstrueuse car elle connaît la puissance de son sex-appeal mais elle aime bien cette impression de commettre un sacrilège. Moi, je m'amuse de sa fantaisie de bigote de vouloir se confesser. Elle s'agenouille devant le confessionnal et ensuite commence son récit. Le prêtre écoute avec attention ses aventures sexuelles. C'est un religieux d'environ quarante ans, d'une très belle physionomie. Efi, la belle inconnue, dit à l'homme d'église : - Mon mari est cocu. Il se délecte de me voir faire l'amour avec d'autres hommes, devant lui ou non. Je suis insatiable en matière de sexe. Il aime bien quand un inconnu savoure la douceur de mon con, s'agite en moi et me baise. Il aime que je lèche la queue d'un mec avec lui. Je lui dit souvent qu'il est un mari complaisant qui aime voir sa femme se faire baiser. Cela éveille en lui des sensation de plaisir. Et j'avoue que nous nous entendions à merveille dans ce mode de vie et que nous nageons littéralement dans le bonheur en toute complicité. Efi revèle encore au prêtre qu'elle est une véritable nymphomane, une excité du clitoris, une friande jouisseuse du cunnilingus, une adepte fervente et gourmande de la fellation, une inconditionnelle de l'amour anal, une insatiable du pénis, qui ne se retient pas pour crier son plaisir. Enfin, le religieux rougit un peu en gesticulant sur son fauteuil pour essayer de voir la ligne de ses seins, au-dessous de sa robe bien décolleté, sans succès. Il est subjugué par sa beauté et sa sensualité. Elle confesse toutes ses experiences sexuelles en détail avec un peintre de résidences. Je perçois qu'il sent une étrange sensation, comme une excitation, sa respiration est lourde avec une sueur sur le front. Mon épouse Efi sent qu'il est bien excité, l'homme de foi, avec ses confessions. Le religieux voit dans les yeux d'Efi qu'elle a compris son désir mais qu'elle ne sait pas comment réagir. Elle ressent aussi quelque chose qu'elle n'arrive pas à definir. Une chaude sensation s'empare du ventre d'Efi, elle se sent nue et libre au milieu de ses confessions. Il dévine qu'une tiède moiteur envahit son ventre, que son envie devient douleureuse. Un peu plus et elle se lamenterait comme une chatte qui a ses chaleurs. Efi prend concience de ce qui est en train de lui arriver. Elle est totalement excitée par cette idée. Après tout, un prêtre ne peut qu'être passionné ! Ses regards plus ou moins discrets se posent sur elle. Il continue à transpirer. Efi rêve de tous les raffinements de la debauche et de la lubricité. Elle sait aussi qu'elle ira jusqu'au bout de son idée avec le religieux. Efi se prête parfaitement bien au jeu de la séduction. Elle arrête de parler à l'homme, lui souriant comme si ce sourire indiquait qu'elle prenait beaucoup de plaisir à ce petit jeu et qu'elle l'invitait à continuer. Alors, il tente de se concentrer sur les paroles d'Efi, cela devient même carrément impossible d'éviter l'excitation, tant il a l'impression qu'un courant électrique sexuel lui traverse le corps. C'est plus fort que lui. Alors qu'Efi se prépare pour une fuite, le religieux sort du confessionnal et demande à ma femme de le suivre dans sa cellule. Elle accepte aussitôt l´invitation avec joie et surprise. Il amène mon épouse dans le couloir étroit, un peu
MERCREDI 11 AOûT 2010
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