LA FILLE DU P. D. G.

Julie fêtait ses dix-neuf ans. Ses parents ne voyaient en elle que la jeune fille sérieuse ayant réussi sa première année de Mathématiques supérieures, sans se soucier que le prix de cette réussite était une année de non existence, passée exclusivement à bouquiner et à étudier. Pourtant, ses jupes longues et ses pulls de couleur sombre cachaient mal un corps de femme, prêt pour l'amour. Je sentais qu'elle ne se contenterait pas éternellement de ces flirts d'un autre âge avec le fils d'un ami de ses parents. Ce soir là, son père m'avait invité afin de me convaincre d'accepter sa proposition d'embauche. Après un repas copieux, il me montra la chambre d'amis avec salle de bain privée qui se situait au premier étage, à côté de celle de Julie. Tandis que je prenais un bain, j'imaginais Julie en train de se dévêtir, derrière la cloison. Comme sa peau devait être douce ! Je l'imaginais en train de détacher ses cheveux, je rêvais de son corps encore vierge. Me laissant aller à mes désirs, je me séchais et me rhabillais, avant de sortir, à pas de velours, dans le couloir. Un rayon de lumière s'échappait sous la vieille porte en bois. Totalement inconscient, j'approchai mon oeil de la serrure. Le spectacle que Julie m'offrit fut au-delà de mes espérances ! Elle était en train de se déshabiller devant la glace d'une grande armoire. Elle était de dos, mais je pouvais aussi voir son reflet sur le miroir. Elle dégrafa doucement son soutien-gorge; son dos était encore un peu frêle, ses épaules fines, mais ses hanches étaient larges. Je devinais aussi des fesses bien appétissantes. Elle était irrésistible. Elle se tourna alors pour ôter un bas en appuyant sa jambe contre le sommier du lit. Ses seins étaient blancs comme neige, fermes et généreux. Le contraste avec son visage encore juvénile était saisissant. Le bas glissa sur sa peau, avec un délicieux bruit de frottement. Puis le deuxième suivit et sa nudité ne fut soudain préservée que par une culotte un peu trop petite, de laquelle ses chairs débordaient gracieusement. J'eus un instant la crainte qu'elle ne s'arrête en si bon chemin, mais, à mon grand bonheur, elle se retourna vers le miroir et saisit le bord dentelé de sa culotte. Mon désir fut alors incontrôlable, infini même lorsque Julie alla chercher sa chemise de nuit dans la commode : face à moi la petite étudiante modèle marchait nue, dévoilant sans s'en douter sa chatte en bataille. Elle semblait être, à elle seule, le concentré de toute la beauté du monde. Elle s'habilla de sa chemise et éteignit la lumière. Je retournai un long moment dans ma chambre, bien qu'il ne soit pas question d'en rester là. Les parents dormaient tranquillement au rez-de-chaussée, alors pourquoi ne pas tenter l'impossible ? Je savais que j'avais une petite chance, car je suis plutôt avantagé par mon physique et surtout parce que Julie vivait pratiquement comme dans un monastère, avec pour seule présences masculines son père et ce jeune bourgeois trop timide pour passer à l'acte. Je retournai à sa porte avant de la pousser doucement dans le noir le plus total. Je pris garde de la refermer puis je m'avançai vers son lit, sans bruit. Un très léger ronflement m'indiqua qu'elle dormait, ce qui me rassura dans un premier temps. Il fallait pourtant que je la réveille. La meilleure façon de faire était de ne lui laisser aucun doute sur mes intentions. Adviendrait ce qu'il adviendrait ! Il fallait absolument que je me donne une chance… Je laissai tomber mon caleçon sur le sol puis posai ma main au bord du lit, avançant centimètres par centimètres jusqu'à trouver son corps. Mes doigts effleurèrent le bas de sa cuisse gauche. J'entrepris de la caresser et de remonter sous l'étoffe de sa chemise de nuit. Hélas, je n'eus pas le temps d'atteindre son délicieux triangle, car elle s'éveilla en sursaut et éclaira sa lampe de chevet. Tout se jouait maintenant : soit elle hurlait et le ciel me tombait sur la tête, soit j'avais vraiment ma chance. Elle demeura bloquée, pas très réveillée peut-être, les yeux fixés sur mon sexe. -«Je veux te faire l'amour Julie !» -«Hein ? Mais… Tu n'es pas sérieux… Je… Je n'ai jamais fait l'amour !» -« Tu sais, je crois que la première fois ce n'est jamais raisonnable." -« Mais je…" Tout en lui parlant j'avais à nouveau posé ma main sur sa cuisse

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MERCREDI 15 JUILLET 2009

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