Ma fleur du jardin de derrière

La quarantaine, hétéro depuis toujours, j'étais depuis quelques temps attiré par une expérience homo. Je passai sur Internet l'annonce suivante : Novice, je cherche un prince charmant pour arroser ma petite fleur du jardin de derrière !! Mon annonce a beaucoup plu, mais c'est la réponse de Marc qui a retenu mon attention. Je cherchais quelqu'un qui saurait m'initier habilement et utiliser mes désirs pour vaincre mes dernières réticences. Marc semblait faire l'affaire. À l'occasion d'un déplacement professionnel sur Paris, j'ai accepté l'invitation de Marc pour passer la soirée chez lui. L'objectif de la rencontre étant clair dans ma tête : me faire prendre par un homme. Je voulais que cela soit une réussite totale. La veille au soir, je me rendis dans un sexe-shop pour acheter des boules de Geisha et du lubrifiant. Le matin du jour J, j'enduisis abondamment les boules. Je présentai la première à l'entrée de ma petite fleur de derrière. Une petite résistance se manifesta. Je forçai un peu et la boule passa avec une petite douleur puis un grand soulagement. La deuxième pénétra sans difficulté. L'ampoule rectale bien insérée, je ressentis un étrange sentiment de plénitude. La journée passée en rendez-vous et réunions fut difficile. J'avais du mal à offrir mon attention. Mon esprit était captivé par ces boules qui bougeaient en moi et le soir qui approchait. Vers 21 h, je sonnai chez Marc. Mon cœur battait la chamade. Comme allait-il être ? Était-il encore temps de partir ? Trop tard, la porte s'ouvrit sur Marc. Un homme plus grand que moi, plus fort aussi, mais très élégant dans ses vêtements et dans son allure. Sa voix plutôt rassurante allait bien avec le reste. Il me fit passer dans le salon et me proposa un Whisky. J'étais toujours tendu et ce dernier fut vite avalé. Ma tension baissa. Un deuxième Whisky termina de me calmer. J'étais bien et j'écoutais Marc parler. Pour moi, les mots n'avaient pas d'importance. J'étais comme hypnotisé par ses yeux et endormi par sa voix. Puis je senti que le moment était venu. Marc me demanda si j'étais toujours partant : plus que jamais ! Il me prit par la main pour me conduire à la chambre du sacrifice. Délicatement il me déshabilla en me caressant à fleur de peau. En excitant mes chairs. Faisant monter le plaisir ou plutôt l'envie du plaisir. Vint le tour de mon slip. Marc eut un grand sourire en voyant la ficelle des boules sortant de mon anus. Marc se déshabilla à son tour. Il sentit mon appréhension quand je vis son sexe bandé et énorme. - N'aies pas peur. Tout ira bien. Ce sera ton bâton de plaisir ! Marc me renversa sur le lit et il s'allongea à mon côté. Il continuait d'exciter mes sens, effleurant mon sexe bandé, pinçant mes tétons tout raides, malaxant mes fesses… Puis il me mit sur le flanc en se plaçant dans mon dos. Pendant un temps, qui me parut une éternité, il joua avec ma ficelle. Amenant les boules à la limite de l'expulsion puis les repoussant d'un doigt au fond de mes entrailles. Le supplice était intenable. Tout d'un coup il tira fermement et les 2 boules sortirent dilatant copieusement mon anus. Marc appuya immédiatement sa tige sur ma petite fleur et il força le passage qui était tout ouvert. Aucune douleur, aucune résistance. Les boules et Marc avaient bien fait leur travail. La plénitude apportée par le sexe de Marc surpassait celle des boules. Son va-et-vient me berçait. Marc me tenait fermement par les hanches. Il me possédait comme j'en avais rêvé dans mes phantasmes les plus fous. J'étais complètement abandonné sur un nuage. Le bien-être apporté par la sodomie et mon sexe bandé qui frottait sur les draps m'amenèrent à la jouissance. Je lâchai ma semence et, sous le plaisir, je contractai fortement mon anus. Cela conduit immédiatement Marc au plaisir. Je sentis les saccades que son sexe lâchait au fond de mes entrailles. Épuisé, je me suis assoupi, la tige de Marc au fond de ma petite fleur… maintenant arrosée. Je me réveillai face à Marc, apportant un café. Après une longue discussion, je partis au petit matin. J'allais franchir la porte de l'appartement quand Marc me rappela : - Tu oublies cela. Ça peut toujours servir. C'était les boules de Geisha que je glissais dans ma poche. Dans mes phantasmes, j'attends toujours un prince charmant pour arroser pour ma petite fleur du jardin de derrière.…

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VENDREDI 29 OCTOBRE 2004

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