FRANÇOISE…

J'avais 18 ans, mignon comme un cœur mais toujours puceau. Un soir, des copains et moi nous nous retrouvons dans un parc avec des filles de notre âge. L'une d'entre elles m'attire beaucoup. Elle est grande avec de beaux cheveux bruns et d'énormes seins que je rêve de caresser. À la nuit tombée, nous nous dispersons un peu mais je reste avec cette fille, assis sur l'un des bancs. Elle sent bien mon désir et semble s'en amuser. Je m'approche d'elle et je l'embrasse sur la bouche. Elle se colle tout contre moi et me rend mon baiser fougueusement. J'en profite pour lui mettre une main sur un sein, elle se laisse faire. Je bande aussitôt. Quand je veux aller plus loin, elle se lève et me dit quelle doit partir. Je reste là, bandé comme un cochon, l'air con sans savoir quoi dire ou faire. Je regarde autour s'il n'y aurait pas un petit coin tranquille pour me soulager quand une voix douce me fait sursauter. Une femme d'un certain âge arrive à côté de moi. J'essais bien de cacher mon bandage mais je n'y parviens pas, je rougis à la pensée que cette femme, sûrement de l'âge de ma mère, me voit dans cette situation si embarrassante. Elle parle tout doucement et s'assoit à côté de moi. - Ne t'en fais pas, quelle me dit, tu n'es pas le premier à qui cela arrive, je peux t'aider si tu veux. Je suis pétrifié. Je fais un signe affirmatif de la tête alors qu'en dedans je veux prendre mes jambes à mon cou. Elle pose alors sa main sur mon pénis coincé dans mon pantalon et elle me le caresse doucement en continuant à me parler. Je l'écoute, la bouche grande ouverte et haletant, tant sa caresse est bonne et douce. - Ce n'est pas très gentil de sa part d'avoir laissé un beau jeune homme comme toi dans un tel pétrin. Si tu peux marcher un peu, j'habite juste à coté, personne ne verra ta gêne, nous serons plus à l'aise chez moi pour régler ce petit problème. Elle m'aide à traverser un petit passage noir qui débouche dans une entrée de garage. Nous entrons dans une belle maison, toute décorée. Pas pauvre, ma bonne samaritaine !! Elle m'invite à m'asseoir pendant quelle se met à l'aise. Mon bandage diminue et je m'apprête à partir quand elle revient en petite lingerie. Elle porte de la soie noire. Elle a une petite culotte qui laisse voir une bonne pilosité. Elle a une petit soutien-gorge qui ne soutient rien des énormes seins quelle arbore fièrement. Mon bandage reprend de la vigueur aussitôt. Je m'approche d'elle et lui plaque mes deux mains sur les nichons et je les palpe en la regardant dans les yeux. Elle descend ses mains sur mon pantalon et libère mon sexe, jusque-là compressé au maximum dans mon jean et me masturbe lentement d'une main en me caressant les couilles de l'autre. Je jouis de bonheur. Je me penche et lui suce les seins par dessus sa lingerie, ses bouts bandent au fur et à mesure de mes caresses buccales. Elle plie les genoux et met le bout de sa langue sur le bout de ma queue en feu. Je crie de plaisir au moment où elle rentre tout mon membre dans sa bouche. Elle me suce langoureusement pendant que je halète de plaisir, c'est ma première fois. Je n'aurais jamais cru avoir de tels sensations, je me crois au paradis. Le plaisir monte en moi à chaque coup de langue, elle sait vraiment y faire ! Soudain je lâche un grand cri et je largue tout mon sperme dans la bouche de Françoise… C'est son nom. Je m'accroche à sa crinière pour ne pas sortir de cette bouche si affectueuse. Je tombe assis sur le divan, ébahi, étonné et heureux comme un roi. Françoise s'approche de moi, encore à genoux, et vient lécher les quelques gouttes de sperme qui coule encore de mon pénis. Je me tiens à deux mains après le canapé, je pense décoller tellement je me sens léger. Elle s'approche de moi et m'embrasse doucement, elle a la saveur de mon sperme et j'aime cela. Je la couche par terre, je l'embrasse et lui caresse un sein. Je titille le bout de son mamelon et elle se met à haleter, à se tortiller. Aussi, je fouille sa touffe que je…

» Plan cul Morla?s

SAMEDI 1 DéCEMBRE 2007

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