Gages pimentés sur l'île du lev...

Cet été, et comme depuis déjà deux années, nous avons passé nos vacances sur l'île du Levant. C'est mon mari qui m'a initiée au naturisme. C'est lui qui, aussi, m'a initiée à d'autres plaisirs beaucoup plus libertins comme le triolisme, le mélangisme ou l'échangisme. L'île du Levant est l'endroit idéal pour des vacances «sea, sex and sun». De plus, le fait de vivre nue a une influence très positive sur ma libido. J'ai sans cesse envie de faire l'amour. Tous les jours et parfois plusieurs fois dans la même journée. Et ce n'est pas Stéphane, mon mari, qui s'en plaindra… En juillet, et sur ce petit paradis coquin qu'est l'île du Levant, j'ai franchi l'un de mes derniers tabous : l'homosexualité. En fait, ce n'était pas vraiment un tabou. Disons que jusque là, je n'avais jamais éprouvé d'attirance sexuellement pour une femme. En fait, c'est sous forme de jeu et de gages que l'on m'a imposé mes premières relations saphiques. Finalement, j'y ai pris beaucoup de plaisir. Sur l'île, nous avons fait la connaissance d'un jeune couple lyonnais. Karine et Thibault. Ils étaient sympas, mignons et, alors que nous prenions un verre ensemble, nous avons vite compris qu'eux aussi étaient libertins et échangistes. Thibault me plaisait beaucoup. Quant à Karine, avec ses jolis yeux verts et ses cheveux roux, il aurait fallu être difficile pour ne pas la trouver à son goût. D'autant plus qu'elle avait un corps superbe, absolument parfait. Après ce verre pris ensemble, nous avons poursuivi la soirée tous les quatre à la terrasse d'un restaurant du village d'Héliopolis et cela s'est terminé dans notre bungalow. J'étais très excitée et j'ai laissé Karine s'occuper de mon mari pendant que, de mon côté, je faisais profiter au sien de ma bouche gourmande et habile et de mes doigts avant e lui offrir tous les autres orifices de mon corps. Nous avons fait l'amour une bonne partie de la nuit et nous nous sommes revus le lendemain. Entre nous quatre, la complicité fut quasi immédiate. Nous avions les mêmes goûts, les mêmes désirs et pratiquement les mêmes fantasmes. Bref, nous nous complétions à merveille. Un soir, alors que nous avions tous un peu abusé du rosé de Bandol, on s'est amusé à un petit jeu qu'avait apporté Karine et Thibault. Il y avait un parcours à faire style jeu de l'oie mais en plus coquin, des dès, des pions et des cartes avec des figures érotiques dont certaines, qui étaient tirées au sort, représentaient un gage que devait subir chaque joueur lorsqu'il tombait sur une case précise du jeu. J'étais un peu saoule et je ne me suis pas trop occupé des règles. De toute manière, je savais très bien jusqu'où ce jeu nous conduirait vu que chaque soir, nous faisions l'amour tous les quatre ensemble. Le premier gage a été pour mon mari. Il a tiré une carte et a dû, ensuite, exécuter la scène qui était reproduite : frotter son sexe sur les fesses de la partenaire de son choix. Le jeu était amusant et plutôt excitant. Au début, je gagnais tout le temps. Je faisais beaucoup de double ce qui me permettait d'avancer plus vite que les autres alors que mon mari accumulait les gages. Tous avaient une connotation sexuelle, bien entendu. Il était surtout question d'exhibition, de caresses, et même de petite fessée… Karine, quant à elle, à dû se masturber devant nous et nous raconter quel était son plus grand fantasme : un gang-bang dans une caserne de pompier avec plein de beaux mecs en uniformes qui auraient simplement la braguette ouverte pour qu'elle puisse s'occuper de leur bite. L'alcool que nous avions déjà bu et le petit rosé frais encore servi par Thibault nous rendait euphoriques et parfois un peu crus dans nos propos. Un moment plus tard. Karine a eu droit à un second gage. Nous l'avons chronométrée pour voir combien de temps il lui faudrait pour faire bander mon mari et lui procurer une érection complète. Elle ne devait se servir que de sa bouche et de sa langue, les caresses des doigts et des mains étant totalement interdites. Dix sept secondes lui ont suffi. Puis, j'ai eu enfin mon premier gage. J'ai tiré une carte dans le paquet et j'ai regardé la scène avant de dévoiler la carte aux autres. Le dessin montrait deux femmes ensembles. L'une était debout, les cuisses largement écartées et l'autre, à genoux…

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MERCREDI 29 SEPTEMBRE 2004

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