LE GIGOLO DE LA MINISTRE VOUVRA...

Le gigolo de la ministre Vouvray occupait un immense atelier de sculpture sur la rive gauche. Son épouse, toujours en fonction à l'extérieur de Paris, lui avait fait cadeau de cet endroit afin qu'il puisse y sculpter tout à son aise. De mon appartement, j'avais une vue parfaite de toute la superficie de l'atelier, lequel était percé d'immenses fenêtres ouvrant sur la cour intérieure afin que la lumière du jour y pénètre. C'est par hasard que je me suis soudain intéressé au gigolo Vouvray. Je le croisais souvent chez les marchands ou dans les cafés, je le saluais sans plus. Son oeuvre était des plus intéressantes, il sculptait des nus masculins dans d'odieuses postures. J'ai pensé un jour m'offrir comme modèle mais je n'en n'avais jamais vu chez lui. Dans le monde, il avait la réputation d'un infidèle, incorrigible homme à femmes qui s'envoyait en l'air avec la première venue. J'avais surpris le gigolo Vouvray circuler en tenue d'Adam un soir. Dans son atelier, illuminé par une dizaine de candélabres chargés de bougies, les jeux d'ombres apportaient à son corps une dimension féerique. Ne pouvant résister à la magie de ce spectacle, j'avais approché un siège et toute la nuit j'avais observé les moindres mouvements de ce garçon extraordinaire. Il avait au moins 15 ans de moins que sa compagne qui l'avait épousé pour lui assurer un avenir. Il était mignon, certes, et la ministre aimait bien se balader à son bras, quoique qu'elle sache qu'il avait baisé la moitié de ses copines… À cette distance, je ne pouvais que deviner ses gestes et ses formes et je convins de me munir d'un équipement plus adéquat dès l'ouverture des magasins. La lunette télescopique dont je fis l'acquisition, me permit bientôt de focaliser les plus petits objets dans l'atelier du gigolo Vouvray, ce qui augurait du mieux. Deux jours plus tard, quand j'épiai le sculpteur, je pus le détailler entièrement. Il était beau mais pas d'une beauté qu'on remarque. Ses cheveux roux, coupés très courts, conféraient à son visage quelque air sérieux. Ses beaux yeux bleu foncé exprimaient une indifférence permanente que contredisait un sourire angélique. Il ne devait pas faire plus d'un mètre soixante-quinze, n'était ni maigre, ni musclé quoique son visage donnait l'impression d'être rond. Il devait être autour de minuit lorsqu'il daigna enfin se dévêtir aux lueurs des candélabres. J'étais stupéfait de sa prestance. Il avait ouvert et rejeté son peignoir d'une mimique théâtrale. Il était royal ! Je le vis prendre alors un pot d'une crème blanchâtre dont il s'enduisit tout le corps, prenant des soins langoureux dans l'application de cette pommade. Il semblait en retirer un plaisir incroyable car je pouvais discerner ses traits se détendre et un magnifique sourire de soulagement se dessiner sur ses lèvres. Ses mains parcouraient son corps avec habitude, titillant ses mamelons, de toutes petites pointes dont le rose se distinguait à peine du reste de la peau de son torse très blanc. Il frictionnait, pétrissait ses jolies fesses rondes, ses hanches assez droites et se penchait agréablement pour rejoindre ses pieds, ce qui m'offrait une vue affolante sur ses parties intimes. La délicieuse petite pastille nichée entre ses fesses me fit bander. J'étais franchement excité par mon obscène curiosité, le vilain voyeur en moi s'éclatait. Je décidai de me mettre à poil, j'en avais une pressante envie. Le gentil rouquin continua ainsi à se cajoler tandis que j'éprouvais la fantaisie de poser les mêmes gestes que lui, me touchant selon le même itinéraire, écrasant mes mamelons brutalement entre mon pouce et mon index, y enfonçant même les ongles tant cette simultanéité me rendait dingue. Quand ses doigts allaient caresser sa belle verge toute veineuse, je torturais le bout de ma queue en m'imaginant des veines bleues comme les siennes traverser ma hampe qui était pourtant bien lisse. Comme je m'échauffais à l'idée de fusionner avec cet hétéro qui baisait des tonnes de femmes. Je voyais clairement le fin duvet roux couvrant à peine son pubis et ses doigts, ses doigts grossiers et abîmés qui fouillaient habilement les replis de son anus, ses doigts que je voyais luirent de lubrifiant. Il avait envie de se sauter, l'hypocrite, son cul criait son envie de se faire défoncer, il se livrait à son propre désir, s'abandonnait à ses propres câlineries. Et je me lubrifiais aussi, le chibre bien en main, grisé de suivre la chorégraphie de ma victime, toujours sous l'impression de ma bite en fusion avec la sienne, je me frottais au rythme où…

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VENDREDI 27 JUILLET 2007

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