LA GONZESSE DU BAGNARD 2

Lorsqu'on sonna à la porte, j'enfilai rapidement mon peignoir pour aller répondre. Je venais à peine de sortir de la douche. C'était la concierge qui venait cueillir le terme du loyer. - Salut ! Toujours en peignoir ? Questionna-t-elle en souriant. - C'est que je viens de sortir de la douche, me contentai-je de répondre. Et, lorsque je suis seul, je me promène toujours nu dans l'appartement, ajoutai-je, en lui rendant son sourire. - Alors, faut pas se gêner. Fais comme si je n'étais pas là, continua-t-elle. - Au contraire, j'ai bien envie de faire comme si tu étais venue pour ça. Ton mari est parti ? Lui demandai-je, en ouvrant mon peignoir. -Ouais, c'est sûr que j'suis effectivement venue pour voir si tu y étais, rigola-t-elle avant de refermer la porte derrière elle. Aussitôt, elle s'agenouilla devant moi, attrapa mon sexe qui durcissait et le glissa entre ses lèvres pour entreprendre d'en lécher le gland. Depuis l'aventure du lavoir, je n'attendais plus que ce moment. Et, elle se retrouvait là, à nouveau prête à subir mes assauts, quel bonheur ! Puis, elle stoppa net sa man uvre et me dit : - L'autre jour, j'ai bien aimé quand tu m'as léché l'anus… Mon «Jules» ne m'avait jamais fait ça. Ça te dirait que j'essaie ça avec toi ? Allez, retournes-toi contre le mur, proposa-t-elle. Je ne me fis pas prier et en me retournant, je posai les deux mains contre le mur et lui offrit mon derrière. Toujours agenouillée, elle attrapa mes fesses, les écarta et plongea sa langue contre mon «bouton de rose». Elle le léchait, pointait sa langue et poussait doucement, puis elle la glissait jusqu'à mes couilles et remontait jusqu'à l'anus. Tout en continuant ce va-et-vient entre mes fesses, elle attrapa mon sexe raide d'une main et entreprit de me masturber en même temps. Sa langue qui fouillait mes fesses me procurait une excitation incroyable et mon gland ne tarda pas à se mouiller dans sa main. Je me cabrais les reins pour lui permettre d'aller encore plus loin avec sa langue. Elle cessa alors de me branler et, de ses doigts mouillés, elle commença à me caresser l'anus, le dilatant doucement avant d'y introduire un doigt. Elle le retira, le porta à sa bouche, puis recommença. La sensation de son index qui me fouillait le cul décupla mon excitation, je gémissais de plaisir, retenu constamment sur le bord de l'orgasme. Constatant que je n'en pouvais plus, elle cessa, puis se releva. - J'suis terriblement excitée et ma culotte est déjà toute mouillée. J'veux que tu me fasses jouir une première fois dans ta bouche. Ensuite, tu me sauteras dans toutes les positions, ordonna-t-elle en me poussant dans le salon. Elle baissa son pantalon et se laissa choir sur le sofa en s'écartant les jambes. Elle avait raison, son sexe dégoulinait déjà de sa cyprine. La vue de ce sexe rasé et de ses lèvres humides et ouvertes, eurent l'effet d'une décharge de testostérone. Je me jetai à genoux entre ses jambes, je glissai mes deux mains sous ses fesses pour lui soulever le bassin et attirer à ma bouche cette vulve offerte. Du bout de la langue, je titillais son clitoris gonflé, puis je la glissais entre ses lèvres pour m'insinuer profondément dans son sexe inondé. Je lapais ce jus intime et m'en délectais. Sans retenues, elle poussait de longs et forts gémissements. Loin de se calmer, son excitation grandissait à chaque seconde. Elle poussait son bassin contre ma bouche et se trémoussait de plaisir. Rapidement, elle approcha de l'orgasme. Puis, après seulement quelques minutes de cunnilingus, je la sentis se déverser dans ma gorge, au moment même où elle poussa un profond râlement de jouissance. Elle retomba alors sur le sofa, complètement vidée. Mais, en l'espace de quelques instants à peine, elle retrouva ses ardeurs. Elle leva les yeux vers moi et me sourit tendrement : - Maintenant, baises-moi… Fais-moi tout ce que tu veux, fit-elle avant de retirer son pull pour se mettre complètement à poil. - Par quel trou veux-tu que je commence ? Blaguai-je. - Par mon cul… Quand on m'encule, je me sens terriblement cochonne, répondit-elle avant de se mettre à genoux sur le sofa, dos à moi. - Hummmm… Ton cul est magnifique, tu sais ça petite salope ? Lui dis-je pour la complimenter. - Alors, prends le fort, il

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JEUDI 5 JUILLET 2012

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