LE GROS CONTRAT…

Ce soir-là, mon mari avait invité à la maison un important client. Il m'avait dit de me faire belle. Cette soirée comptait énormément pour lui. Il y avait, à la clé, un important contrat et de sa signature dépendait une belle promotion pour lui. Je m'étais donc habillée sexy. Je portais une robe noire très courte qui mettait bien en valeur mes longues jambes. Le haut, décolleté, laissait voir la naissance de mes seins. Un soutien-gorge noir en bandeau se distinguait à peine. En bas, j'avais mis un minislip noir en dentelle et une paire de bas auto-fixants. À l'heure prévue, son invité est arrivé. Charmant, la quarantaine environ, il avait amené des fleurs, ce qui me fit très plaisir. Pour prendre l'apéritif, nous nous sommes installés au salon. Mon mari et cet homme se sont mis dans le canapé. Je me suis retrouvée dans un fauteuil en face d'eux. En m'asseyant, ma robe très courte est encore remontée, dévoilant nettement le haut de mes bas. Notre invité n'a rien raté du spectacle que je lui offrais involontairement. J'ai surpris son regard et me suis mise à rougir. J'ai ensuite tiré sur le bas de ma robe mais sans grand résultat. J'ai quand même fait attention à garder les jambes serrées. L'apéritif s'est déroulé normalement, mon mari faisant le service. Puis nous sommes passés à table. Mon mari s'est placé en face de son client et je me suis retrouvée à côté de l'invité. Au début du repas, je me suis occupée du service pendant que les hommes parlaient entre eux de travail. Le repas était très agréable et les conversations ont vite dévié sur des sujets plus légers. Arrivés au fromage, mon mari s'est aperçu qu'il n'y avait plus de vin et s'est levé pour aller en chercher dans la cave. Je me suis retrouvée seule avec notre invité. Il s'est alors mis à me complimenter. Je le remerciais lorsque j'ai senti sa main se poser sur ma cuisse à la lisière de ma robe. - Je vous en prie, arrêtez ! Mon mari va revenir, m'exclamais-je totalement surprise par ce geste. - Allons, vous êtes tellement sexy. Laissez-vous faire. J'ai envie de vous caresser. Vous savez que vous me faites énormément d'effet ? - Non arrêtez enlevez votre main. Mais il avait déjà glissé sa main jusqu'au dessus de mes bas et le contact avec ma cuisse me donna le frisson. À ce moment-là, un bruit dans le couloir lui a fait enlever sa main. C'était mon mari qui revenait une bouteille à la main. Je me suis alors levée précipitamment pour aller dans la cuisine. Mon mari m'y a suivi, se doutant de quelque chose. Alors je lui ai raconté ce qui venait de se passer. Mais sa réaction ne fut pas celle que j'attendais. Il me dit : - Écoute, chérie, tu fais comme tu veux et je ne t'oblige en rien mais pense au contrat que je dois signer. Il en va de ma carrière. Puis il m'embrassa et retourna dans la salle à manger. Je restai un moment seule, me demandant si j'avais bien compris ce que je venais d'entendre. Puis je me décidai à rejoindre les deux hommes. Le repas se termina rapidement, les hommes faisant les frais de la conversation. Puis nous sommes retournés au salon pour prendre un digestif. Mon mari avait légèrement tamisé la lumière et mis de la musique douce. Il m'invita alors pour un slow. Je l'accompagnai. Il me tenait serrée contre lui et je sentais ses mains me caresser le bas des reins. Puis ses mains descendirent sous ma robe et remontèrent sur mes fesses. Il me caressa ainsi par-dessus mon slip puis glissa quelques doigts en-dessous. Je le laissais faire et sentais son désir grossir contre moi. Je tournais le dos à notre invité mais je suis sûre qu'il ne perdait rien du spectacle et devait apprécier de voir ma robe retroussée. Puis brusquement mon mari s'arrêta de danser et déclara qu'il devait aller à son bureau terminer de rédiger le contrat. Il proposa à son client de venir danser avec moi. Celui-ci ne se fit pas prier et prit de suite sa place. J'eus juste le temps de rabaisser ma robe sur mes cuisses. C'était parti pour un autre slow. Manifestement, cet homme n'était pas resté insensible au spectacle donné avec mon mari car je sentais sa virilité durcie. Il me serra contre lui et plaça ses mains sur mes fesses. Je murmurai un non

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SAMEDI 27 NOVEMBRE 2010

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