LE GUET-APENS 3

Lorsque André interrompit son cunnilinctus, je baissai les yeux presque machinalement et je vis mes lèvres toutes gonflées et congestionnées, la fente en était ouverte, luisante et ruisselante de salive et de mouille mêlées, au point que cela me dégoulinait entre les fesses. - Encore un peu de patience ma belle, on va t'en donner du plaisir… Et du bon ! Tu vas voir, déclara Henry, sûr de lui ! Et après s'être accroupit, il approcha le godemiché de mes lèvres mouillées. Le pénis de caoutchouc écarta mes lèvres molles qui s'arrondirent autour de l'épaisse colonne. Mouillée comme je l'étais, je sus que s'ils le voulaient, ils n'auraient aucun mal à me pénétrer de la totalité de ce gode. Mais Henry ne l'enfonça pas, préférant le laisser à demi-introduit. Chacun des deux hommes alors, comme s'ils s'étaient concertés, soulevèrent une de mes jambes et m'obligèrent à les replier tout en les écartant encore davantage. Dans cette position, je leur offris une vue parfaite, aussi bien sur mon sexe que sur mon anus plissé. Henry saisit le gode et le ressortit de mon sexe avant de le diriger, cette fois, entre mes fesses ! Je ne protestai pas. La sodomie ne m'était pas inconnue mais elle ne m'était pas non plus habituelle. Henry passa le gland du gode dans ma fente luisant de mouille et ajusta l'extrémité du gland sur mon anus. Je ne pus m'empêcher de me plaindre et de me cramponner soudain aux bords du canapé car Henry poussa, sans attendre, le jouet d'une main vigoureuse et força mon oeillet. André, quant à lui, me retenait. Je me mis à râler malgré moi. Oh non ! C'était trop ! Je saisis moi-même mes fesses à pleines mains et les écartai, espérant ainsi atténuer la douleur mais Henry ne fit qu'en profiter pour pousser davantage. La douleur devint atroce ! Mes mains abandonnèrent immédiatement mes fesses et je plantai mes ongles dans les jambes des deux hommes. Ah oui ! La douleur était vive mais il y avait autre chose. Un étrange sentiment fait de honte et d'excitation mêlées. Voyant mes mains si proches de leurs pantalons, les deux hommes sortirent leurs sexes sans hésiter. André bandait raide. Son sexe lui ressemblait : solide, robuste, épais, assez long sans être démesuré et surtout une grosse tête ! Pardon ! Un très gros gland ! Mais le sexe d'Henry n'était pas moins étonnant. Lorsqu'il l'extirpa de son pantalon je fus immédiatement stupéfaite par ce gros serpent, une sorte de grosse saucisse molle. Il ne bandait pas mais même dans cet état, son membre était aussi gros et plus long que celui d'André. C'était stupéfiant ! Je compris alors que Robert n'avait pas choisi ces deux hommes au hasard. Les confidences de couloirs, la fréquentation commune des vestiaires du stade, avaient dû lui révéler ces détails et il les avait recruté tout exprès. Cela ne fit que confirmer ce que j'avais deviné : il voulait me voir prise par de gros sexes, des sexes plus gros que le sien. Et chaque fois que je pensai à mon mari, je me demandai où il pouvait être caché ? Je ne montrai pas ma surprise devant ces deux queues. Ainsi. Robert saurait que ce genre d'engins ne m'étonnait pas… Ça lui apprendrait ! Et, oubliant toute convenance, je saisis ces bites sans hésiter pour les branler. Celle d'André sembla grossir et durcir encore davantage alors que celle d'Henry commença à se redresser. Je fus troublée par ce gros sexe, si lourd dans ma main. Même à l'état de flaccidité, mes doigts n'en firent pas le tour, c'est vous dire ! Leurs glands également étaient différents. André était circoncis alors que le gland d'Henry se recouvrait du prépuce et formait une sorte de petite «manche» de chair molle. Il était si long qu'il me fallut abandonner la queue d'André et m'y prendre à deux mains pour décalotter le sexe d'Henry. L'épais prépuce se retrouva roulé en un gros anneau charnu à la base du gland.…

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VENDREDI 22 JUIN 2007

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