Entre midi et deux, j'aime bien aller faire un tour dans la galerie marchande de l'Hyper à coté de chez moi. On y fait parfois de belles rencontres, et moi, qui suis assez voyeur, j'adore voir les jambes des conductrices. Et il m'arrive d'être récompensé. Il m'est même une fois arrivé d'être satisfait au-delà de mes espoirs C'est justement l'une de ces aventures exceptionnelles que je voudrais vous raconter. Un jour je croise, dans la galerie, une fille plutôt jolie, habillée d'une mini au ras des fesses, portant un paquet à la main. Elle se dirige vers l'extérieur. Je lui emboîte le pas, admirant ses longues jambes et le balancement de son petit cul. J'espère bien la voir monter en voiture, ce qui me révèle ce que cache à peine sa jupe. Sitôt qu'elle est assise, je suis à sa hauteur et découvre ses cuisses jusqu'au fond d'un slip blanc, à travers le collant noir. Quel dommage qu'il existe de tels collants, les bas sont tellement plus sexy. Elle se rend forcément compte que je la regarde, mais ne manifeste rien et démarre. Je suis sa voiture des yeux, ostensiblement planté au milieu de l'allée. Et j'ai un pincement au c ur Au lieu de sortir du parking, je la vois le contourner et revenir sur ses pas par l'allée parallèle à celle qu'elle vient de quitter. Je me porte vite sur son passage. Elle ne peut pas ne pas me voir et passe doucement à ma hauteur. J'ai à nouveau une jolie vision de ses jambes et du fond de sa culotte toujours visible. Elle roule au pas et je marche à sa hauteur, côté passager, ne la quittant pas des yeux. Au bout de l'allée, elle marque l'arrêt, me laissant encore le temps de me rincer l' il, puis redémarre et me sème. Elle n'a pas fait un geste pour rabattre sa jupe. Je la vois disparaître et, un peu dépité, je reprends ma balade d'observation. Au bout de quelques minutes, il me semble apercevoir à nouveau la voiture rentrer sur le parking. Le c ur battant, je l'observe ; c'est bien elle ! Je vais à sa rencontre, me tenant bien en vue. Elle vient vers moi, et sans me jeter un regard, passe à quelques centimètres, au pas. Incroyable ! Elle n'a plus de collants et sa minijupe découvre largement son slip blanc, presque jusqu'à la taille. Elle se laisse admirer sur quelques mètres et me sème à nouveau. Bien planté au milieu de l'allée, je la vois qui me regarde dans son rétro et lui fais signe, bras écartés, pour lui montrer mon regret de la voir à nouveau partir. Cette petite salope m'a mis le feu au sang et je sens mon c ur cogner. Je rêvais de tomber sur une exhibitionniste et l'aperçu qu'elle m'a donné d'elle me laisse sur ma faim. À ma stupéfaction, je la vois qui, au lieu de quitter le parking, s'arrête non loin de la sortie, dans un coin ou il n'y a pratiquement personne. Elle semble vouloir rester dans sa voiture. Fébrile et plein d'espoir, je la rejoins en marchant le plus vite possible. Elle me voit arriver. De loin, elle me regarde. Elle ne bouge pas. Le c ur battant, je m'approche du côté passager. Le moteur de la voiture tourne. Je vois sa main posée sur le volant, l'autre bras disparaît vers le levier de vitesse. Et je découvre que cette main, c'est sur son slip qu'elle est posée. Très doucement, elle se caresse, les cuisses légèrement écartées, sans même me regarder. Son doigt suit sa fente à travers le tissu qui moule ses lèvres gonflées et ses jolies cuisses tressaillent presque imperceptiblement Je m'approche de sa vitre. Elle n'a pas un regard vers moi, les yeux fixés droit devant elle. Ses joues sont un peu rouges, sa jolie bouche entrouverte et ses seins se soulèvent un peu précipitamment au rythme de sa respiration accélérée. Je suis fasciné par cette main qui caresse ce slip blanc, tétanisé devant ce spectacle tellement excitant et je n'ose bouger de peur de briser cet instant surréaliste. Sans un regard pour moi, elle semble concentrée sur son plaisir solitaire à tel point que je me fais l'effet d'un voyeur ayant surpris une jolie femme qui se donne du plaisir se croyant seule. Mais il est si évident que cette exhibition m'est réservée que je m'enhardis. Contournant la voiture, je me colle à sa portière, le visage tout contre sa vitre légèrement entrouverte. Ses yeux
SAMEDI 20 NOVEMBRE 2010
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