L'IRRÉSISTIBLE LISA…

Lisa et Anne partageaient un trois pièces, aménagé dans les combles d'une ancienne mairie. Elles vivaient, d'un commun accord, leurs aventures amoureuses chacune de son côté. Alors que la mature Anne n'en avait que pour les femmes, l'insatiable Lisa buvait à toutes les coupes, ramenant parfois des garçons mais plus souvent de très jolies demoiselles. Anne s'accommodait parfaitement de cette situation, du moment que Lisa attende son absence pour se faire des types. Bien qu'elle ne supportait pas de la savoir avec un mec. Anne n'aurait su dire pourquoi. Elles n'étaient que copines, après tout !! La jeune Lisa était un véritable garçon manqué. Elle parlait d'un ton abrupte, s'exprimait par des gestes brusques et rentrait bourrée tous les samedis. - Bordel de merde Lisa, t'as vraiment rien d'autre à foutre que de rentrer défoncée chaque putain de samedi ? - Stop Anne, je t'allonge le fric pour le terme alors m'emmerde pas ! Et Lisa de buter sur un coin de bibliothèque puis de s'étaler le visage à plat sur le carrelage glacé. Et Anne, malgré l'outrage, se portait à la rescousse de sa désolante compagne. S'engageait alors une de ces conversations stériles qui finissaient toujours par : T'arriveras pas à me sauter Anne, t'y arriveras pas, je sais que t'es une sacré dragueuse, que tu te fais toutes les meufs du quartier mais si ça se trouve, c'est moi qui vais te baiser à mort, tu me lâcheras plus après, je te jure, tu vas en baver, tu m'aimeras comme jamais t'as aimé personne… Blablabla… Ce soir-là donc. Anne releva Lisa et la porta jusque dans son lit. Un frisson exaltant lui parcourut tout le corps cependant. Elle eut beau la dévêtir avec froideur, se dire qu'elle avait des manières masculines et empestait la gnôle, n'empêche qu'elle était drôlement bien foutue. Elle portait de ces espèces de dessous en tulle transparente, ce qui donnait à voir le fin et ras duvet châtain de sa jeune chatte. De magnifiques melons blancs, à la cime à peine rosée, s'affaissaient de chaque côté de son torse. Elle l'observa un moment, sa rage s'était apaisée et elle dormait enfin. Jamais encore Anne n'avait admiré femme plus désirable que cette splendide bisexuelle éméchée et elle dû se rappeler à l'ordre : - C'est comme ta frangine. Lisa, pauvre conne… Pas de dérapage ! Aussi se hâta-t-elle de retourner dans sa chambre pour se plonger dans un sommeil tourmenté. Au matin. Lisa, repentante, se précipita dans la chambre d'Anne pour implorer son pardon. D'ordinaire, elle recevait ces excuses avec un sourire et l'on n'en parlait plus mais voilà, elle était manifestement chavirée cette fois. Lisa, constatant son trouble, se glissa dans son pieu et l'attira contre elle, sans un mot. Anne gémit doucement au contact de la paume de Lisa sur sa joue. Elle lui baisa le visage et les mains, déchirée entre l'envie de la secouer pour lui faire avouer sa détresse et la fièvre de lui faire complètement oublier sa détresse. - Lisa, t'as pas le goût de me dire un peu ce qui va pas ? - Non ! - Okay, ça te dirait alors que je te fasse oublier ce qui va pas ? Sans attendre de réponse, les lèvres capiteuses de la jeune femme s'emparèrent délicatement de celles d'Anne. Égarée, affolée, elle s'efforça de se dégager, bien que le désir de le faire s'amenuisa à mesure que la langue de Lisa la fouillait agilement. - Lisa, non. Fini-t-elle par susurrer, le corps déjà plus que consentant, livrant une lutte un peu molle, consciente qu'il n'en tenait qu'à la grâce de la jeune amazone de respecter sa vertueuse intention. - Anne, j'ai pas envie de m'arrêter, t'es pas bien comme ça ? Demanda-t-elle alors, ses mains pleines du cul ferme et bombé de sa malheureuse compagne. Anne sortit brusquement du lit, indignée et honteuse de constater que son sexe ne partageait pas les résolutions de son esprit et courut s'enfermer dans le cabinet de toilette. Lisa, qui jusque là avait cru qu'Anne la désirait, prit ombrage de cette fuite. Toute l'excitation sexuelle dont elle était à ce moment le foyer se transforma en colère. Elle sortit du plumard à son tour et gueula à l'endroit d'Anne qu'elle devait s'expliquer, qu'elle devait «ouvrir cette PUTAIN de porte et sortir de ce PUTAIN de cabinet MAINTENANT», MAINTENANT qu'elle hurlait et d'un coup de pied redoutable, elle fit éclater le verrou et le chambranle céda. Anne, reculée entre la cuvette et la baignoire, écarquilla les yeux, le slip totalement détrempé par sa…

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VENDREDI 6 AVRIL 2007

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