SI JEUNE ET SI PERVERSE

Pour moi, c'est une chance inouïe d'avoir rencontrer Emilie car en plus d'être sexy et très mignonne, elle se prête à tous mes désirs et jouis sans retenue de tout ce que je lui demande. Il n'y a qu'à regarder son visage pour deviner qu'en plus d'être impudique, tout ce qui touche au sexe l'intéresse et l'attire. Au départ, une rencontre qui fut loin d'être banale. J'étais attablée à la terrasse d'un café de Grenoble, en train de lire un journal, et je n'avais prêté aucune attention à la jeune fille qui était venue s'installer en face de moi. Ce n'est qu'en pliant mon journal que je suis tombée sur une vision pour le moins surprenante et insolite : deux jambes dénudées jusqu'en haut des cuisses et largement écartées qui dévoilait une petite culotte en dentelle noire. En levant la tête, j'ai découvert pour la première fois le visage d'Emilie. On aurait dit une adolescente malgré un corps bien formé. Elle lisait un bouquin, ses yeux cachés derrière des lunettes noires. J'ai douté. Agissait-elle volontairement ou était-ce seulement la profondeur des fauteuils qui l'obligeait à se tenir ainsi ? Plus tard, et avec un incroyable naturel. Emilie m'a avoué : -«J'ai toujours aimé montrer ma culotte aux hommes. Ca m'excite de leur faire voir ce que je porte sous mes jupes.» La seule vision de cette culotte exhibée m'a fait bander. Emilie gardait ses cuisses ouvertes tout en donnant l'impression d'être totalement absorbée par son bouquin. J'ai essayé d'imaginer comment devait être sa chatte par-dessous puis, j'ai détaillé son corps. Ses seins paraissaient fermes et opulent. Ils n'étaient soutenus par aucun soutien-gorge. Le tee-shirt rose qu'elle portait les moulait bien tout en faisant découvrir l'épaisseur des aréoles qui formaient deux cercles bruns sous le tissu. Par chance, je connaissais l'auteur (Jean Giono) du livre qu'elle lisait. Cela m'a permis d'engager la conversation. Emilie m'a répondu sans resserrer ses jambes. La provocation était à son comble ! J'étais en train de devenir fou et mon regard était irrésistiblement attiré vers ce petit brin de tissu qui protégeait son intimité. Cette fois, j'ai compris qu'il n'y avait rien d'innocent dans son jeu. Cette petite garce m'allumait en m'exhibant sa culotte. J'ai appris qu'elle était étudiante et qu'elle avait à peine dix-neuf ans. Je bandais toujours autant devant le petit triangle de dentelle noire offert à mes yeux. J'étais prêt à la sauter n'importe où et pourquoi pas dans les toilettes du bar tellement elle m'excitait. J'ai laissé tomber les échanges littéraires pour me montrer plus séducteur et dragueur. Emilie prenait des airs naïfs pour répondre à mes avances tout en donnant l'air de se jouer de moi. On aurait dit le petit chaperon-rouge qui cherchait à se défaire avec malice du grand méchant loup tout en essayant de le provoquer encore plus. C'était loin d'être la jeune fille innocente qu'elle voulait prétendre être. Les hommes ne lui faisaient pas peur, bien au contraire. Elle savait parfaitement les attirer dans ses griffes. Et, alors que je ne m'y attendais pas du tout, elle m'a lancé : -«Tu veux faire l'amour avec moi ? J'ai pas cours cet après-midi, tu bosses, toi ?» Je suis resté sans voix devant un tel aplomb et une proposition aussi directe. Avec mon portable, j'ai décommandé mes deux rendez-vous professionnels de l'après-midi et nous avons quitté le bar. Je pensais conduire Emilie chez moi mais elle m'a proposé autre chose : -«J'aimerais un hôtel très classe. J'adore faire l'amour dans des endroits chics.» Je l'ai dirigée vers le meilleur hôtel de la ville, toujours aussi surpris par le naturel et la décontraction de cette jeune minette qui n'avait pas encore vingt ans. Et pressé de me retrouver seul dans une chambre avec elle C'était la première fois que j'embarquais une fille dans un hôtel en plein milieu de l'après-midi et uniquement pour m'envoyer en l'air avec elle. La chambre était luxueuse et, une fois enfermée, j'ai tout de suite pris Emilie dans mes bras. C'est elle qui est venu au devant ma bouche et qui m'a embrassé. Son corps collé au mien, elle pouvait déjà sentir l'état dans lequel que je me trouvais. J'avais mon sexe tendu écrasé contre son ventre. En riant. Emilie m'a lancé : -«T'as l'air d'avoir drôlement envie, toi aussi. Ce n'est pas la peine de te demander si je te plais.» Tout en continuant de l'embrasser, j'ai approché mes mains de ses seins. Les pointes étaient aussi durement érigées que ma queue

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MARDI 3 MARS 2015

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