Jeux lesbiens devant voyeur

C'est Thierry qui m'a tout appris. Quand je l'ai connu, j'avais seulement dix-sept ans, lui en avait 25. Côté sexe, même si j'avais de nombreux fantasmes, je n'avais pas fait grand chose avec les garçons. Quelques baisers, quelques caresses à peine appuyées. J'étais vicieuse dans ma tête mais très timide dès qu'il s'agissait de passer à l'acte et d'aller plus loin. En fait, j'étais très peu sûre de moi et j'avais surtout peur de mal faire et de décevoir. J'avais également beaucoup de complexes. Je trouvais mes seins trop menus, mon visage banal, et un peu trop ronde à cette époque. La majorité de mes copines avait déjà couché, mais pas moi. Ce ne sont pas les occasions qui ont manqué mais au dernier moment, c'était moi qui me refusais. Pourtant, lorsque je me masturbais, je me voyais dans la peau d'une femme lubrique et décontractée, capable de prendre des initiatives et pas du tout coincée sur les choses du sexe. Dans mes fantasmes, j'étais toujours un « bon coup » pour mes partenaires. Je trouvais l'inspiration dans des romans érotiques que j'achetais discrètement (et rougissante de honte), à la librairie de la Musardine, à Paris. J'étais très excitée par les ouvrages de Martin Bruna-Rosso dans lesquels des jeunes filles perverses comme moi vivaient des folles aventures avec des hommes beaucoup plus âgés qu'elles. Et je m'identifiais à elle, chaque fois que je me masturbais. On me faisait faire n'importe quoi et moi, j'acceptais tout, jusqu'aux choses les plus impudiques et les plus obscènes. Puis. Thierry a débarqué dans ma vie. Au début, je ne l'ai pas du tout aimé. Sans doute par jalousie et parce qu'il semblait beaucoup plus s'intéresser à ma copine qu'à moi. Je le trouvais beau mec mais con. Un peu trop sûr de lui et fier. Il est sorti avec Stéphanie mais leur histoire n'a pas duré plus de quinze jours. Alors, il s'est tourné vers moi. Et là, j'ai craqué. Tout a commencé par un petit flirt dans sa voiture et je me suis sentie rougir jusqu'aux oreilles quand il a glissé sa main sous mon t-shirt pour prendre mes seins à pleines mains. En même temps, je trempais ma culotte. Jamais un garçon ne s'était montré aussi entreprenant avec moi dès la première fois. Nous en sommes restés là mais j'étais complètement bouleversée en quittant sa voiture et en rentrant chez moi. Le soir, dans mon lit, je me donnais du plaisir à deux reprises en pensant à lui. Deux jours plus tard, il me montrait à quoi ressemblait le sexe d'un homme excité. J'en avais vu en photos, dans des films X chez une copine, mais jamais en vrai. Il m'a proposé de le caresser, de le sucer… Et quand je lui ai fait tout ça, il m'a dépucelée. Je n'en garde pas un super souvenir mais bon, c'était fait et cela suffisait à me rendre heureuse. Enfin, moi aussi, j'avais « couché ». Par la suite, j'ai couché pratiquement tous les jours et j'ai commencé à jouir. A jouir très fort. Quand je retrouvais avec Thierry, je n'avais qu'une envie : faire l'amour avec lui. Il possédait un petit appartement et nous avons testé toutes les pièces, la chambre, la salle de bains, la cuisine. Et quelques meubles, comme la table ou le bureau… En même temps, je devenais de plus en plus coquine et vicieuse. J'étais prête à le sucer n'importe où tellement j'aimais le faire jouir dans ma bouche et sentir son sperme gicler sur ma langue. Pour la sodo, j'étais plus réticente. Je n'étais pas contre et l'idée m'excitait mais je trouvais cette pénétration trop douloureuse. La première fois, j'ai même cru que Thierry m'avait déchirée à l'intérieur et je n'ai pas pu le laisser aller jusqu'au bout. Thierry, lui, fantasmait comme un fou sur mes fesses et sur mon cul et, à l'aide d'un godemiché très fin, il a éduqué progressivement mon petit trou afin que je puisse le recevoir. Aujourd'hui, je ne souffre plus du tout quand Thierry me sodomie et j'en jouis très fort. J'avais dix-neuf quand mes parents ont accepté que j'aille habiter avec lui tout en poursuivant mes études à la fac de droit. Thierry était très bien accepté à la maison. C'était un garçon sérieux, travailleur et qui venait de monter sa propre entreprise. Nos loisirs, c'était de se retrouver au lit lui et moi et d'y faire l'amour des journées ou des nuits entières. Je me suis rendu compte que Thierry avait un côté…

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MERCREDI 29 SEPTEMBRE 2004

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