KALYA & SAAMEH

Saameh avait sa main posée au creux de la taille de la jeune femme et il la laissait doucement glisser jusqu'au milieu de la hanche. Elle le trouvait trop sage et avait envie de se faire baiser. Il ne pouvait pas deviner que Kalya allait se tourner vers lui, exposant ses fesses, faiblement recouvertes du tissu de la robe, à sa caresse. Mais elle trouva qu'il rattrapait bien le coup, abandonnant les chemins détournés pour commencer à la caresser et à approcher son visage de l'autre main. Il lui pelotait les fesses d'une main, puis abandonnait le visage pour la poitrine, de l'autre. Elle sentit qu'il soulevait sa robe et qu'il caressait ses fesses de plus en plus puissamment, laissant glisser ses doigts dans le sillon, titillant parfois son anus, ses lèvres de plus en plus humides. Quant à elle, elle avait commencé par déboutonner son pantalon pour caresser sa verge tendue au travers du tissu du slip. Elle lui avait enlevé sa veste, sa chemise et attendait d'avoir atteint le lit pour le déshabiller entièrement. Mais lui ne voulait pas attendre et il passa sa main entre ses lèvres, par devant, pour lui enfoncer deux doigts dans le vagin. Elle avait toujours sa robe, ses bas, ses chaussures. C'était la partie la plus facile de la nuit. C'est ce qu'elle s'était dit avant de partir et ce qu'elle se disait encore. Je sais tout faire. Il ne peut pas être mécontent de la nuit que nous allons passer. En effet, elle savait tout faire. Elle se laissa doigter en gémissant et en caressant de plus en plus légèrement sa bite, jusqu'à sentir une première humidité à travers le coton. À ce moment, il la retourna, la laissant s'appuyer contre un mur providentiel, et il remonta un peu plus sa robe et commença à aller et venir de ses doigts à l'intérieur de la chatte de Kalya, la faisant mouiller de plus en plus. Elle se tint d'une main au mur et se caressa les seins, les faisant jaillir du décolleté de sa robe, puis se toucha le clitoris, effleurant les doigts de Saameh. Au fur et à mesure qu'il accélérait la cadence, elle gémissait. Elle poussa un râle. - Dépêche-toi ! Prends-moi, fais moi jouir, putain ! Il retira aussitôt sa main, étala sa mouille autour de sa chatte et de son anus puis l'empala sur une verge qu'elle sentit énorme. D'une main, il lui tenait la taille, et de l'autre, il lui caressait l'anus, lui enfonçant un doigts en rythme avec les soubresauts qu'il faisait subir à sa chatte. Elle fut sur le point de jouir, son vagin se contracta quand il se retira et qu'il la retourna face à lui. Il lui appuya sur les épaules pour la faire s'agenouiller, sa grosse queue luisante contre son visage. Elle était dans un état second et le suça sans même s'en rendre compte. Sa main tripotait ses couilles et le bas de sa verge alors qu'elle suçait avidement, provoquant presque immédiatement une explosion de jouissance, lui remplissant la bouche de foutre. Le sperme coula le long de la bite et elle s'affaira à avaler le reste. Il avait retenu un hurlement au moment où il avait joui. - Allonge-toi, là, sur le dos. Elle obéit. Il s'agenouilla au niveau de ses genoux et commença à lécher son ventre, descendant lentement vers sa chatte dégoulinante de mouille. Il lapa quelques instants son clitoris gonflé avant d'enfoncer sa langue dans son vagin et de la faire tourner, encore et encore, pinçant parfois son clito entre ses lèvres fines, arrachant des râles de plus en plus forts à la jeune fille. Elle lui attrapa la tête des deux mains, pressant son visage contre son sexe pour qu'il aille encore plus profondément en elle. De nouveau, elle allait jouir quand il se dégagea. Pantelante, elle se laissa retourner, et il enfonça sa queue dans son anus. Elle ne s'était jamais faite enculer aussi violemment mais le plaisir était plus fort que la douleur et au deuxième coup de boutoir, elle hurla. Il la retourna de nouveau et lui lécha les seins, qu'il mordilla. Le ventre de Kalya ne cessait de se contracter. - Encore, fais moi jouir une autre fois. Je veux te voir couler sur moi ! Elle n'avait pas pu rêver meilleur partenaire. Jusqu'à ce qu'un bruit importun ne les dérange. La porte. Un autre couple entrait et n'avait rien vu, ni entendu. Lui non plus, n'avait rien entendu d'autre que les

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VENDREDI 26 JUILLET 2013

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