LEÇONS DE PIANO

Kikoo à tous, je m'appelle Anaïs, j'ai eu 23 ans en mars et mon histoire date d'il y a 4 ans. Depuis toute petite, j'ai été habituée à me mettre au piano à la maison car j'étais fascinée par les sons que ma mère arrivait à produire avec cet instrument. Elle a été ma prof pendant des années et puis, il y a 4 ans, elle s'est décidée à me prendre un vrai professeur de piano. Jean-Baptiste K… il s'appelait, la soixantaine bien sonnée, pas très grand, bien conservé mais ce n'était pas ce qui m'intéressait chez lui. On a donc commencé les cours vers janvier, chez moi puis, pour des raisons pratiques, on les a continué chez lui. Ça se passait super bien, je progressais et il y avait une super complicité entre nous deux. Parallèlement à cela, c'est cette même année que j'ai connu ma copine Elodie, assez portée sur les choses du sexe, et que j'ai commencé aussi à m'y intéresser. C'est aussi à cette période que j'ai commencé à me caresser comme on dit… Le printemps 1999 fut donc basé sur les découvertes se rapportant aux caresses que je me dispensais le soir dans mon lit et au plaisir qui pouvait en découler. Au mois de mai, la veille d'un grand pont, j'avais donc mon cours de piano avec Jean-Baptiste et ça sentait déjà les vacances. Alors je me sentais pousser des ailes. Il faisait déjà assez chaud dehors et je me trimballais en jupe plissée et petit «sweat» cool. Ce jour là. Jean-Baptiste aussi était tout gai et on a plutôt joué du jazz en délirant que réellement travaillé quoique ce soit. À un moment, on a joué à quatre mains et comme je ne m'étais pas plantée, il m'a attrapé le bras et m'a secouée pour me féliciter. Ce contact me bouleversa et je fus parcourue d'un super frisson. En fait, j'avais aimé qu'il me touche la peau, tout simplement, lui mon vieux prof. À partir de là, je cherchais toutes les occases pour me coller à lui, pour qu'il y ait un contact : c'était plus fort que moi. Par la suite, on a joué du classique et je fermais les yeux. Ça, j'adorais le morceau que je jouais et soudain j'ai senti sa main sur ma cuisse. J'ai stoppé net et je l'ai fixé en souriant car il venait de faire ce que j'attendais depuis bien longtemps en fait. Je recommençai à jouer et il continua sa caresse le long de ma cuisse ; ça me faisait un super effet et je fus obligée de m'arrêter tellement c'était fort. Je me tournai alors vers lui, à cheval sur le banc et remontai ma jupe pour lui donner le feu vert d'aller plus haut. Ce qu'il fit. Il me caressa un moment à travers la culotte et les frissons qui me parcoururent étaient hyper forts. Je m'allongeai sur le banc et fermai les yeux pour mieux apprécier ces sensations qui m'étaient données par quelqu'un d'autre pour une fois. Il écarta ma culotte et me caressa directement le sexe, ce qui me fit soupirer hyper fort de plaisir puis il y eut un blanc. Rien ne se passa et alors que j'allais rouvrir les yeux pour voir ce qui se passait, je sentis à nouveau son doigt entre mes jambes. Mais non ! C'était sa langue ! Et les sensations étaient encore plus fortes alors que je croyais avoir découvert le must en matière de frissons. Sa langue me fouillait l'intérieur des lèvres et je me trémoussais de plaisir sur mon banc Louis Seize. Je caressais ses cheveux et ça me donnait l'impression d'avoir un jouet de masturbation à moi. Je m'abandonnais complètement, à ce moment, il aurait voulu me pénétrer. J'aurais bien aimé et je l'aurais tiré à moi tellement j'étais en transe. Mais la sonnerie du téléphone se posa en rabat joie ou peut-être m'évita-t-elle de sombrer dans une énorme connerie. Je ne le saurai jamais Quoi qu'il en soit, c'était ma mère qui demandait si elle pouvait passer me prendre. Ce à quoi le bon Jean-Baptiste répondit, sans vilain jeu de mots, que j'étais prête. Tu parles, prête ! Un peu que je l'étais ! Je lui filai ses 50 balles en me disant que c'était pas trop cher payé pour le service qu'il venait de me rendre Ce qu il venait d'éveiller en moi…

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DIMANCHE 2 AOûT 2009

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