Lettres à roxane

LETTRES À ROXANE (août 2002-janvier 2003) Chère Roxane. Je vous remercie de vos élogieuses appréciations. J'ai dû noter votre adresse sur un site d'histoires érotiques. Je ne me souviens pas où… Dans un forum quelconque. Je suis désolée de ne pouvoir être plus précise. Je viens d'obtenir la publication d'une version pour adultes de «Claudia, femme-médecin», une version ne comprenant pas de mineurs d'age, contrairement à celle que vous avez lue dans mon message initial. J'ai dû revoir cette histoire, mais la morale féministe en est identique. Je vous remercie de votre proposition de m'envoyer vos textes : j'ai hâte de les lire. Je ne suis pas aussi féconde… Mais je ressens que votre inspiration est nourrie comme la mienne de la détestation des mâles et de leur prétendue supériorité. Les pauvres choux n'ont pas encore compris que nous les menons par le bout de leur appendice dont ils sont si fiers. Laissons- les se faire des illusions ! C'est notre force et aide à l'expression de notre supériorité. Je ne sais pas encore s'il y aura une suite à mes textes. Je travaille à la «journée d'une infirmière»… Elle pourra s'appeler Claudia. La série des Claudia. Sans copier notre grande et chère Colette et ses Claudine. Dans l'attente du plaisir de vous lire je vous embrasse. Siléna Chère Roxane. Merci de l'envoi. J'ai déjà parcouru votre roman. Je dois avouer que beaucoup de passages sont excitants. Pour ma part, je ne suis pas très courageuse et ne supporterais pas ces pratiques. Mais j'aime en lire le récit tant que cela n'est pas le fait des mecs. Là cependant, l'héroïne se fait dominer par André. Il faut que Roxane domine les types comme Claudia et son infirmière le font. Je vous propose de le prévoir dans la suite où Roxane et son amie attireraient André dans un guet-apens ou mieux, le docteur (un mec !), et l'enfermeraient dans une cage, la queue attachée de façon à pouvoir la traiter et la diriger contre le gré d'André. Il devrait pisser en chantant, se masturber et se maîtriser pour permettre à Roxane ou à Françoise de recueillir la semence d'André, ce qui ferait une bonne crème pour faciliter le passage du gode dans l'anus de Roxane… À bientôt. Vous me plaisez beaucoup ! Silena Chère Roxane. Cela a été un très grand plaisir de vous lire. Serions-nous dans la réalité que je serais presque jalouse de votre maîtresse. Mais comme je serais plus douce avec les femmes et plus dure avec les hommes ! Les scènes de domination par des hommes m'ont bouleversée… Ne sommes-nous pas déjà assez dominées dans la vie par des machos de pacotille ? Je rêve du jour où, au pouvoir, nous serons entre femmes, ayant à disposition un cheptel de mâles, fournisseurs de petits plaisirs ponctuels, pour celles qui le désirent… La reproduction se ferait in vitro avec les semences congelées des mâles du passé et de la traite des meilleurs mâles du cheptel. Cela figurera peut-être dans une de mes futures nouvelles de sexe-fiction. Vous m'avez beaucoup émue et je penserai beaucoup à vous. Je me réjouis du plaisir que votre amie Sara et vous prendrez bientôt en dominant un de ces mâles en rut. J'attends avec impatience de vos nouvelles. Quant à moi, je n'écris pas si vite et je le constate à votre dernier tome, beaucoup moins élégamment et richement que vous. Je dois me rendre à l'hôpital : j'ai du travail, mais j'y prends quelquefois du plaisir. Il y a quelques jours, n'ayant pas d'éther sous la main, j'ai fait éjaculer un type de 25 ans lors des soins (il avait subi une intervention consécutive à un priapisme et était déjà en forme : notre chirurgienne est au top !). Je n'invente rien, vous le voyez dans mes récits. L'hôpital est un lieu idéal, même d'ailleurs pour du SM, dans des salles inoccupées ! Et quelques douceurs avec les filles sont toujours possibles… Si cela vous plaît, je vous raconterai quelques-unes de mes aventures… En attendant je vous embrasse tendrement. Siléna Bonsoir. Roxane ! Une journée complète à la maison et je me suis endormie une partie de l'après midi. Je me suis réveillée toute humide des rêves qui m'avaient visitée pendant mon somme. J'avais coincé ton cher docteur : oui, justement les narcoleptiques… Quelques gouttes dans le café, médicament rapporté de l'hosto, et ce petit bonhomme était là, dans ce fauteuil profond, à ma merci. À moitié conscient mais incapable d'autonomie dans les mouvements ! Tu imagines la jouissance,…

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SAMEDI 17 SEPTEMBRE 2005

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