LYDIE

Nous avons tous eu des fantasmes de jeunesse, des femmes plus âgées que nous qui hantaient nos fantasmes, des femmes proches de nous, au centre de nos émois de jeunesse. Pour ma part, j'étais fou de Lydie, une amie de ma mère (plus jeune qu'elle de 10 ans environ). Non qu'elle fut particulièrement belle, mais elle agitait farouchement mes nuits. C'était une militaire (et oui… on peut désirer une femme militaire), noire d'origine béninoise. Surtout, elle était dotée d'une paire de seins énormes, de gros seins larges, débordants d'enthousiasme. Que n'ai-je pas tenté avec cette poitrine… en rêve ! Aujourd'hui j'ai 29 ans, 11 ans ont passé. Je suis marié, père de famille et j'habite loin de chez ma maman, mutation oblige. Très heureux en amour, j'avais oublié Lydie et ses attraits même si je la gardais dans un coin libidineux de ma mémoire. À la Toussaint l'an dernier, je suis rentré chez ma mère pour les vacances avec ma fille. Ma femme a moins de vacances que moi, je suis prof. Quelle ne fut pas ma surprise de voir Lydie dans la maison. C'est tout con mais j'en était gêné, bredouillant comme un idiot. Elle venait demander à ma mère des outils pour poncer son parquet, dans sa nouvelle maison. Divorcée depuis peu, elle se réinstallait en ville dans une petite maison, avec ses deux filles. Après un quart d'heure de discussion, ma mère a proposé mon aide pour ses travaux (sympa maman !) me mettant devant le fait accompli. Le lendemain, je me retrouvais chez elle, en habits de travail pour une journée de labeur. Franchement, je ne fantasmais plus trop, on avait près de 20 ans d'écart et, avouons-le, elle avait pas mal vieilli. Elle s'était élargie sérieusement. Pendant la journée, nous avons bossé ensemble (seuls, ses enfants étant chez leur père) avec un grand sérieux. Nous parlions de tout et l'ambiance se détendait. J'en profitais évidemment pour reluquer de près ce corps qui m'avait tant attiré auparavant. Ses hanches étaient très larges et je devinais, sous son t-shirt, un soutien-gorge lourdement rempli. À un moment, elle m'a surpris alors que je matais ses seins par l'entrebâillement de son t-shirt. Gêné, j'ai tourné la tête, l'air de rien, mais j'ai aperçu un sourire plutôt sympa. Le soir je la laissais, fortement ému car mon fantasme m'était revenu à la tête de façon extraordinaire. Je me suis masturbé comme un morveux, hallucinant à mort sur ce que j'aurais pu lui faire. Le lendemain, je retournais chez elle pour lachever le boulot. Je faillis défaillir quand je vis qu'elle avait mis un t-shirt très ample, col en V, terriblement échancré. Dès qu'elle se penchait, elle me montrait ses loches, ce qui me rendait très mal à l'aise, tout en m'excitant furieusement. Nous avons commencé à parler de nos vies, de plus en plus intimement, sa séparation, son manque de tendresse, et moi j'en rajoutais sur ma vie de couple avec une femme peu portée sur les plaisirs de la vie. Bref c'était un appel. Serrés tous les deux contre la plinthe que l'on recollait, on s'est évidemment touché. Et j'ai craqué ! Je lui ai pris la hanche, faisant semblant de me retenir de tomber. On a roulé tous les deux en arrière en rigolant mais elle a atterri sur mon torse, me regardant droit dans les yeux. En un quart de seconde je bandais comme un âne, ce qu'elle sentit immédiatement. Avec une grande douceur elle me caressa la poitrine et vint m'embrasser sur la bouche. Très maladroitement, je l'ai plaquée sur moi, plaçant mes mains sur ses seins. Enfin je les touchais, c'était presque irréel. En bredouillant, je lui dis que j'avais toujours eu envie d'elle. Elle me répondit avec un calme époustouflant : - Je sais bien ! J'ai eu peur un quart de seconde qu'elle ne s'en aille, me laissant là comme un con. Au contraire, une fois à genoux, elle retira lentement son t-shirt, délivrant en partie sa poitrine. Me redressant à mon tour, je me jetais sur elle, je n'avais qu'une seule envie : la prendre tout de suite, sur le plancher poussiérux, pour soulager mon désir. Elle me repoussa et me dit de monter avec elle dans sa chambre. Je ne sais en combien de temps on est monté mais c'est allé vite. En se regardant tous les deux, on a enlevé nos fringues. Je découvrais enfin son corps, terriblement attirant. Elle s'est allongée, déjà prête à se faire baiser. J'ai répondu à son appel.

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JEUDI 18 FéVRIER 2010

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