MAÎTRESSE CHAMBON I : PREMIÈRE ...

Barbara et Robert s'étaient connus vers l'âge de 20 ans, il y a donc de cela huit ans. Barbara vivait sur un campus d'université durant la période des cours alors que de son côté. Robert finissait ses études supérieures en finance, occupant un petit appartement miteux près de la maison parentale où séjournait la jeune femme durant la relâche scolaire. Rien, mais absolument rien, n'aurait dû réunir deux être aussi dissemblables… Sauf peut-être, la volonté de fer d'un jeune homme prêt à tout pour se marier ! Un jour, il l'avait vue marcher sur le bord de la route et il avait failli avoir un accident tant il avait été décontenancé par sa beauté. Convaincu qu'il s'agissait de la femme de ses rêves, le jeune homme averti qu'était Robert avait proposé de la raccompagner chez elle. Elle avait refusé de peur que ce soit un pauvre con ou pire, un psychopathe, tueur en série… Et puis c'était pas son type : trop petit, trop maigre, trop monotone… Par un bel après-midi d'été toutefois. Robert eut la brillante idée de tomber volontairement en panne sur la route que Barbara empruntait chaque jour pour revenir de la plage. Celle-ci s'approcha nonchalamment de la voiture sans même regarder Robert, et regarda à l'intérieur avant d'en retirer une courroie brisée qu'elle lui brandit aussitôt au visage : - Tu dois en mettre une nouvelle, lui feula-t-elle presque au visage, ennuyée par si peu de subtilité, tout en s'éloignant de la voiture en direction de chez elle. Robert, qui n'avait jamais été plus près du but que maintenant, lui lança : - Je vous raccompagne ? Je vous le dois bien pour m'avoir sorti de ce pétrin… Elle lui fit un signe de négation sans même se retourner mais Robert ne s'avoua pas vaincu pour autant : - Alors, comment puis-je vous remercier, gente samaritaine… - En commençant par me parler normalement et pas comme si j'étais ta maîtresse d'école - elle s'arrêta enfin pour l'examiner - Si tu veux vraiment me remercier, viens dans ma chambre ce soir, je te dirai quoi faire. Robert acquiesça sobrement et partit le cœur heureux après avoir changé sa courroie. Il croyait bien que l'affaire était dans le sac, il allait peut-être même l'embrasser avec la langue… Toute la maisonnée semblait dormir lorsque Robert stationna sa voiture dans la rue. Toutes les lumières étaient éteintes à l'exception d'une lueur orangée, dont il devina qu'elle émanait de la chambre de Barbara. - À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire, songea-t-il avec bonheur en longeant l'étroite corniche près de la fenêtre de sa «promise». Lorsqu'il pénétra dans la chambre entièrement peinte en rose et blanc, il trouva Barbara en petite culotte, carrément topless sur le lit ! Elle le toisa de son regard de feu et lui dit, d'une voix des plus provocantes : - Alors beau brun, tu es là pour me remercier… Et elle écarta les cuisses avant de rajouter : - Je n'attends plus que ça… Dégoûté par tant d'impudeur. Robert se détourna rapidement : - Où est donc passé votre vertu, jeune écervelée, il faudrait se marier pour accomplir cet acte, rhabillez-vous s'il vous plait… Au lieu de cela, elle lui lança une oreiller en le sommant de partir tout de suite, folle de rage. Mais constatant que l'échec était imminent, le puceau décida de mentir un peu et d'adopter une autre tactique en changeant drastiquement de ton : - Ne pense pas, surtout, que j'ai peur de te faire l'amour ou que je ne te désire pas… C'est juste qu'habituellement, on ne fait pas ce genre de choses chez ses parents… Il prit aussitôt l'air du parfait tombeur, maintes et maintes fois vu dans des feuilletons télévisés. Cette fleur précoce semblait si expérimentée et si confiante en ses capacités érotiques que Robert perdait peu à peu son assurance… et sa contenance ! Les seules expériences sexuelles qu'il avait jamais vécues à cette époque furent quelques éjaculations nocturnes et le visionnage d'un film porno, une toute petite fois. Certes, il avait bandé comme un idiot en regardant la jolie blondasse se faire prendre en sandwich par deux gaillards féroces mais il s'était ensuite promis de ne plus jamais le refaire tant cela lui avait aussi été désagréable. Il préférait de loin faire la cour aux femmes de la bonne vieille manière, avec un dîner aux chandelles et une gerbe de fleurs, que de sauter sur elles comme une bête et de leur écarter d'emblée les jambes… Il se questionnait…

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JEUDI 30 OCTOBRE 2008

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