LE MAS DU PARAPLÉGIQUE 2

Evelyne se souleva un peu et sa main empoignât le membre de Léo pour le guider entre ses cuisses. Je vis le gland turgescent s'engager entre les deux grosses lèvres et les écarter lentement mais sans difficulté. Evelyne se laissa descendre un peu et le membre commença à la pénétrer, en même temps qu'elle fermait les yeux et gémissait légèrement. Elle semblait apprécier. Elle se laissa descendre encore et le membre s'enfonça aux trois quarts en elle. Je ne pus m'empêcher de penser qu'Evelyne devait être très excitée et humide, ce qui était compréhensible vu le temps depuis lequel elle suçait et branlait le membre de Léo. Cela ne pouvait l'avoir laissée indifférente ! Mais je ne pus également m'empêcher de penser que, de toute évidence. Evelyne était bien ACCUEILLANTE !! Déjà, les quelques rares fois où nous avions fait l'amour, c'était quelque chose qui m'avait troublé. Sans que sa vulve paraisse défoncée ou béante, j'avais ressenti en la pénétrant une telle facilité. J'avais alors mis cette OUVERTURE sur le compte de son excitation, mais après coup je n'avais pu m'empêcher de penser que si elle était ainsi ouverte, c'était peut-être aussi PARCE QUELLE AVAIT DÉJÀ GOÛTÉ À DE GROSSES BITES !!! Et même la pensée m'effleura que peut-être ELLE SE MASTURBAIT AVEC DE GROS GODES !!! Mais je l'aimais trop pour imaginer ceci et je voulus chasser ces pensées de mon esprit. Ce fut peine perdu ; plus j'essayais de chasser ces pensées, plus elles revenaient en force, surtout lorsque je la baisais, et alors c'était le fiasco à tous les coups ! Le plaisir montait malgré moi très vite, et je jouissais sans pouvoir me retenir… De ce côté là, Léo n'avait rien à craindre ! Ayant perdu une grande partie de sa sensibilité au niveau du sexe, j'avais pu voir quels efforts Evelyne avaient dû déployer pour l'amener à l'érection, mais cela n'avait pas que des inconvénients (sinon, malgré le plaisir évident qu'elle avait à pratiquer la fellation, elle n'aurait pris cette peine). Cela faisait déjà maintenant une bonne dizaine de minutes qu'Evelyne montait et descendait, à un rythme qui ne faisait que s'accélérer sur le sexe dressé de Léo. J'étais de plus en plus fasciné par ce spectacle. Le visage d'Evelyne reflétait le plaisir qu'elle éprouvait; les yeux mi-clos, la tête rejetée en arrière, la bouche entrouverte, elle respirait rapidement comme si elle manquait d'air en poussant des gémissement plaintifs. Toute à son plaisir, elle montait et descendait sur la bite dressée de Léo, à un rythme de plus en plus rapide. Manifestement elle ne se contrôlait plus vraiment et sa chevauchée devenait hystérique; de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle se soulevait sur ses cuisses avant de se laisser retomber violemment avec un «Han !» de bûcheron. Il y a belle lurette qu'elle s'empalait ainsi sur toute la longueur de la queue de Léo et cette bite qui cognait loin en elle semblait la rendre folle. Ses nichons ballottaient, montaient et descendaient au rythme de sa chevauchée mais elle n'y prêtait guère attention. Deux ou trois fois déjà je l'avais vu s'immobiliser, plantée à fond sur le sexe de Léo et se tendre, la main sur le pubis comme pour immobiliser le plaisir. Alors tout son corps se mettait à trembler et elle poussait une plainte de bête. Elle jouissait avec une intensité que je n'avais jamais vu chez aucune femme. Je m'attendais ensuite à la voir s'effondrer, s'affaler, complètement vidée, mais à chaque fois, après un répit elle avait repris son va-et-vient. D'abord lentement, puis très vite de façon hystérique, comme si à chaque fois il avait fallu y aller plus vite, plus fort. Et en effet, chaque orgasme était plus fort que le précédent. Une heure plus tard. Evelyne était en sueur, ruisselante, mais plus déchaînée que jamais. Je l'avais déjà vu jouir plus de dix fois et la bite de Léo était toujours aussi raide, toujours aussi droite. Visiblement crevée, à bout. Evelyne se souleva alors de sur le membre et se retourna, pour le chevaucher mais de face cette fois. Curieusement, dans cette position elle adopta un rythme plus lent, comme si après la fureur des premiers orgasmes, elle voulait mieux goûter, mieux apprécier la bite sur laquelle elle s'empalait. Cette position devait être aussi plus propice aux confidences car je l'entendis lui dire : - Oh mon Chéri, comme

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JEUDI 6 JUIN 2013

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