Le mec de ma fille

Notre fille. Josette, âgée de 21 ans, était venu nous rejoindre à la campagne, pour quelques jours, mon mari et moi. Nous étions bien heureux de cette visite, les occasions de se voir étaient si rares depuis son départ de la maison, il y avait déjà trois ans. Toutefois cette visite était un peu ombragée par la présence inattendue d'un copain. Marc, grand escogriffe, plutôt maigre mais musclé, aux cheveux ébouriffés, portant une barbe courte de quelques jours et vêtu de cuir et de jean. À peine plus âgé que notre fille, il parlait peu, avait des manières brusques et m'occasionnait un profond malaise. Le repas et la soirée furent sans histoires, sinon que j'avais remarqué les regards discrets mais particuliers de Marc. Certes à 45 ans je n'étais plus de première jeunesse, mais ayant toujours pris soin de ma personne, je n'avais aucune honte de mes courbes et me considérait encore comme une belle femme. Manifestement. Marc partageait cette perception et mon malaise en augmenta d'autant. Josette et Marc étant sorti tard en soirée, mon mari et moi étions au lit depuis longtemps lors de leur retour à la maison. Le lendemain, comme de coutume, je me suis levée aux premières lueurs du jour et après les dispositions habituelles et un premier café, je me suis rendu à la salle d'eau pour y prendre ma douche quotidienne. Notre vieille maison de campagne, toute en pierres, avait été rénovée mais la complexité des travaux nous avait obligés à faire quelques concessions d'aménagement. Ainsi, la salle d'eau, avait été installée près de la cuisine, dans un appentis à l'arrière de la maison. Comme nous vivions seuls, nous avions nos habitudes bien ancrées, et ce matin là, j'entrai dans la salle d'eau sans refermer la porte ni engager la serrure. Après m'être dévêtue, j'entrai dans la douche pour mes ablutions quotidiennes, d'une durée habituelle de trente minutes. Au bout d'à peine quelques minutes, en me savonnant sous le jet délicat de la douche, je me retournai et je vis au travers de la porte vitrée, une grande silhouette que je reconnus sans peine comme étant Marc. Je restai figée et après de longs instants. Marc referma la porte de la salle d'eau, retira son slip et entra sous la douche. Au moment où il ouvrit cette porte, je détaillai en un instant son corps mince et musclé. Son pénis en érection, d'une grosseur et d'une taille supérieure à la normale, attira immédiatement mon regard. Ayant refermé la porte, il me regarda longuement sans dire un mot. Puis, il tendit la main vers ma poitrine. Au contact de ses doigts, mes mamelons se durcirent instantanément, provoquant une sérieuse crampe dans mon vagin. Gênée et hésitant entre crier, me sauver ou m'abandonner, je me retournai et me blottis contre la paroi de la douche, lui demandant à voix basse de me laisser. Au contraire. Marc s'avanca tout contre moi, son pénis se frayant un passage entre mes fesses que je tenais aussi serrée que possible. Ses mains se frayèrent un chemin vers mes seins et mon intimité. Je résistai de mon mieux, mais pas de toutes mes énergies : je voulais, je ne voulais pas… Marc était un étranger et jamais encore, après plus de 25 ans de mariage, je n'avais trompé mon mari. Devant ma résistance. Marc m'enlaça le bas ventre d'un bras et immobilisa mes deux poignets au-dessus de ma tête avec son autre main. Puis il se pencha légèrement, plaça son gland à l'entrée de mon anus, lequel était encore vierge de toute pénétration. En se relevant, il exerça une pression énorme et entreprit de se frayer un chemin par ce passage. Je protestai à voix basse, tellement basse qu'il ne put rien entendre. Je me relevai autant que possible, sur le bout des orteils et je tentai même de grimper sur la paroi pour échapper à la pression. J'y parvins un bref instant, mais ayant perdu pied, je retombai. L'eau qui s'écoulait sur nos corps en provenance de la douche était un excellent lubrifiant et en retombant, je m'empalai d'un trait sur toute la longueur de son membre. La douleur fut beaucoup moindre que prévue et, comme Marc s'activait en retirant son pénis jusqu'au gland puis en l'enfonçant à nouveau, je m'abandonnai, en tentant de conserver mon équilibre. Je le laissai fouailler mes entrailles selon son bon vouloir. Tout en continuant le vigoureux ramonage de mon rectum. Marc explora adroitement de ses…

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SAMEDI 24 DéCEMBRE 2005

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