MEHMET LE MAGNIFIQUE !!!

Je voyage seule. Toujours. Rien ne me rend plus heureuse que ces escapades solitaires où tout est humainement possible. Si j'amenais avec moi un copain, un petit ami, une liaison passagère, que sais-je, je ne connaîtrais certes pas l'éventualité de tels périls. Et j'adore que le destin me ramène constamment aux abords d'une falaise, risquer ma vie à chaque voyage pour le seul plaisir d'explorer à fond la nature humaine. Il y a deux mois, alors que je découvre Istanbul, il me prend l'irrésistible envie d'assister à la prière du soir. J'hésite un moment entre Sainte-Sophie et la Mosquée bleue. Mais devant l'élégance et la finesse de la Mosquée bleue, j'opte pour celle-ci. La Mosquée bleue est une construction grandiose avec un dôme d'une majesté incroyable et flanquée de six minarets. Je me sens si petite ! Je me renseigne sommairement auprès d'un admirable adonis au sourire craquant qui m'indique que la prière Isha (je ne suis pas certaine d'avoir bien pris en note l'info…) se déroule à partir de 10: 01. J'assiste donc, à l'abri des regards, grâce à la complicité du bel adonis, à cette austère cérémonie après avoir retiré mes chaussures. Pour la circonstance, le jeune homme (qui s'appelait Mehmet) me fournit un vêtement d'usage ainsi qu'une coiffure réglementaire. Étant juive par ma mère (mais non croyante) l'idée même d'être dans une mosquée constitue pour moi une infraction inquiétante et délicieuse. Plus tard, lorsque s'achève enfin les louanges au Tout-Puissant, mon adonis me rejoint et m'amène dans un coin secret d'où je peux admirer à mon aise les 21, 000 carreaux de faïence bleue d'Iznic qui composent (entre autres) l'intérieur de cette merveille. Cependant, je me demande comment il se fait que Mehmet soit si aimable avec moi et surtout, comment il se fait qu'il soit encore à mes côtés alors que son mandat est rempli et qu'il en a reçu salaire. À voix basse, pour que personne ne nous entende. Mehmet me donne une foule d'informations (que je n'ai pas demandé…) sur les motifs floraux stylisés que l'on voit sous forme de frises, d'entrelacs ou de médaillons, lesquels sont, par ailleurs, d'une magnificence intemporelle. Il m'explique ensuite les fines calligraphies du Coran ornant le sommet des coupoles ou encore les bandeaux décoratifs autour des quatre gigantesques piliers principaux (lesquels font cinq mètres de diamètre, ajoute-t-il en cherchant ma main). Il continue son exposé en me faisant l'éloge des vitraux qui habillent magistralement les fenêtres au fond de la mosquée (tandis que je n'écoute plus vraiment et que je sens la pression de sa main sur la mienne) Je tourne la tête vers lui. Il fuit mon regard et j'hésite entre la peur d'un guet-apens et la promesse d'une aventure hors du commun. Je veux lui parler : - Mehmet… Mais il me contraint au silence immédiatement en plaçant son index sur ses lèvres, dont le dessin m'émeut. - Dieu du ciel ! Me dis-je, je n'en ferais qu'une bouchée de ce Mehmet ! Et au moment même où je me fais cette irrésistible réflexion, il m'attrape les lèvres de ses lippes capiteuses et nous voilà nous roulant des pelles comme deux amants qui se retrouvent après un long jeûne d'amour. Sa bouche est tendre et fraîche comme une pêche mûre et ma chatte mouille déjà. Toutes les vagues sont montées d'un coup à la rive. Et ce coquin ne se gêne pas pour me peloter le coquillage avec entrain. Sa main longue et fine me pétrit l'entrejambe. Il se penche sur moi, soulève les tissus, glisse la main dans le pantalon et masse mon pubis allègrement. Je ne sais plus trop où je suis, la petite merveille me tripote à l'intérieur de cette grande merveille du culte islamique… Et soudain, crash ! Alors que mon sexe frémit follement sous l'attaque délicieuse de ses morsures, mon cœur s'arrête une seconde et je réalise que je suis juive, et la peur que lui, jeune musulman, le découvre, me jète dans une frayeur impensable. Comme si c'était apparent, n'importe quoi !! Je veux l'intercepter mais c'est déjà trop tard. Il lèche ma fente et je crispe les fesses de bonheur. Petit salopard, va ! Il m'engloutit comme une glace, me suce, me sirote, me suçote et ma chatte dégouline de plaisir. Il me bouffe les lèvres et le clito si goulûment que j'en éprouve des sueurs comme jamais. Je me sens profanatrice et ça m'embarrasse un peu. Je ne suis pas du genre à manquer de respect au…

» Plan cul Soufflenheim

DIMANCHE 8 AVRIL 2007

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@