Mon meilleur ami

Je dormais chez un de mes meilleurs amis un samedi soir. Nous avions passé une soirée très agréable, et voilà que nous décidions d'aller nous coucher. Nous étions tous les deux hétéros; du moins c'est ce que nous croyiions. On decida de dormir dans le même lit, étant donné que c'était un lit deux places. Ses parents dormaient dans la chambre en dessous, mais à cette heure avancée ils étaient profondément endormis. Mon ami éteignit la lumière. Au bout de 5 minutes, je commencai à être excité par le fait de dormir à côté d'un autre garcon en calecon. Je me mis à avoir une érection assez forte. Je décidai de caresser «accidentellement» sa jambe, pour voir sa réaction. Le contact de nos deux peaux fut très excitant mais il ne bougeait pas. Je decidai de recommencer, de le caresser du pied, et, à ma grande surprise il fit de même. Nous entrelaçâmes nos pieds pendant plusieurs secondes. N'en pouvant plus, je decidai d'aller sous la couverture; je touchai son sexe : énorme. Ne faisant ni une, ni deux, je baissai son calecon et engouffrai son gros sexe dans ma bouche. Quel plaisir ! Je me délectais de son gland, le caressant de ma langue, léchant les moindres recoins de son pénis. Je montais et descendais le long de sa belle queue, et l'entendre gémir me donnait de la confiance. Je décidai de lui lécher les tétons, puis de l'embrasser à pleine bouche. J'étais tellement excité! Je redescendis le long de son corps et pris sa queue à pleine bouche. C'était si bon. Puis je me mis sur le dos, et n'ayant pas de lubrifiant, je décidai d'appliquer ma salive sur mon anus; il fit de même sur son sexe. Doucement, il me pénétra, et même si cela me faisait mal, l'excitation était telle que j'en retirai énormement de plaisir. Sentir son gros sexe en moi était merveilleux. Il n'y allait pas vraiment mollo, et j'aimais ca. Il finit par jouir, et je reçus tout son sperme dans mon anus, une sensation indescriptible. Je venais de me faire baiser par un mec. Et j'avais adoré ça. Depuis j'ai appris a baiser les mecs et le dernier que j'ai rencontrer, m'a semblé être le bon, le prince quoi ! La nuit dernière, nous avons baiser comme des dieux, je crois. Pendant que nos bouches se collaient l'une sur l'autre, ma main lentement, imperceptiblement, déboutonnait son pantalon, se glissait dans l'ouverture, écartait la chemise, s'emparait de son phallus raide et brûlant. Douce comme la main experte d'une courtisane, son simple contact me faisait pâmer. Sa main suivit, un peu hésitante, l'exemple de la mienne, et je dois confesser que le plaisir que j'éprouvais à manier sa verge était délicieux. Nos doigts effleuraient à peine notre pénis, que dans la tension excessive de nos nerfs et le degré de notre excitation, l'engorgement de nos conduits séminaux les fit déborder. Pendant un moment, une violente douleur le saisit vers la racine de la verge ou plutôt à l'intérieur des reins, après quoi la sève de vie commença à couler lentement des glandes séminales, elle monta au bulbe de l'urètre, le long de l'étroite colonne, comme du mercure dans le tube du thermomètre. Elle atteignit le sommet, la fente s'ouvrit, les petites lèvres se séparèrent et la crème visqueuse jaillit, non pas en un jet violent mais par saccades, en grosses larmes brûlantes. À chaque goutte qui s'échappait, une sensation indescriptible, insoutenable, se produisait au bout de ses doigts, à l'extrémité des pieds, dans les plus profondes cellules du cerveau, celles du sang et celles des fibres nerveuses, se rencontrèrent dans le phallus, instrument de muscles et d'artères, un terrible choc se produisit, une convulsion, jouissance que chacun de nous a ressenti plus ou moins violemment. Serrés l'un contre l'autre, tout ce que nous pouvions faire était d'essayer d'étouffer nos soupirs pendant que le nectar s'échappait. Nous sortîmes épuisés de la chambre, mais à peine la porte refermée sur nous, nous recommençâmes à nous baiser et à nous caresser avec une certaine ardeur, impuissants à refréner nos désirs. Il m'embrassa tendrement.…

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MERCREDI 15 SEPTEMBRE 2004

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