MÉLODIE ET LES FLICS

Je m'appelle Melodie et j'avais 26 ans à l'époque de cette curieuse histoire. Je suis avocate et je vis avec mon ami depuis deux ans à Paris où nous nous sommes rencontrés. Nous revenions de Corse. C'était l'été à Paris et j'étais encore bronzée des trois semaines de farniente sur les plages corses. J'adore Paris l'été quand la ville est si depeuplée et que de rouler en voiture devient un bonheur. Ce matin là, je prends ma Clio noire comme tous les matins et je me rends à mon cabinet dans le neuvième arrondissement. Venant de Puteaux, je traverse donc le Bois-de-Boulogne, il est huit heures et la circulation est fluide. J'ai la vitre ouverte, et je respire l'air frais du mois d'Août. Au feu rouge, je ralentis et je m'arrête au niveau d'une camionette de policiers sur la basse-côte. Le feu s'eternise, et finalement un des policier en service s'approche de moi par la porte de droite. Je baisse la vitre car je vois qu'il veut me parler. Le policier est grand, très baraqué, noir d'encre, je me dis qu'il doit être Martiniquais ou du moins Antillais. Il passe la tête par la vitre et me demande où est ma vignette d'assurance. Je réalise d'abord qu'il mate mes jambes car ma petite robe est très remontée sur mes cuisses. Très gênée, je tente de me rassoir sur la robe en la tirant mais rien n'y fait je m'empêtre dans la ceinture. Je lui fait signe avec le doigt que la vignette est collée sur le parebrise, il me dit que celle-ci est périmée. Je me penche vers le côté droit du parebrise et j'attrappe le petit papier vert, bien perimé en effet. En exécutant le geste, je m'apercois aussi que le policier n'en a pas raté une miette et a jeté un coup d'oeil profond dans mon decolleté. En quelques secondes, j'ai l'impression que le gars m'a vu nue. C'est drôle car une semaine auparavant je faisais du monokini sur la plage sans aucune crainte alors que la j'éprouve une certaine gêne. Le gars me fait signe de me garer et de le suivre dans le fourgon pour faire la vérification qui s'impose. Je fait mon baratin habituel sur le fait que je suis avocate mais rien n'y fait. Il a apparemment envie de me faire suer et perdre mon temps. Je pénètre donc dans le fourgon pour faire les papiers quand je vois le deuxième policier, blond, plutôt mince et pas mal fait du tout, se radiner. Le policier noir me fait signe de m'assoir sur la banquette pendant que l'autre se serre sur la banquette avec le premier. Ma robe me joue des tours à nouveau et je me maudis de l'avoir mise. Il faut dire qu'entre une banquette de fourgon et mon bureau dans le 9ème, le standard n'est pas le meme. Je sens le regard des deux gars sur moi de façon intense quand je fouille dans mon fatras de sac pour chercher mon identité. Un éclair de plaisir me choque au fond de moi quand je réalise aussi que je me mets à mouiller légèrement. Je suis dans un fourgon de flic, au petit matin dans le Bois-de-Boulogne en petite jupe et justaucorps. Une vrai pute en apprentissage ! Le blanc me fait des remarques sur le bronzage de mes jambes, je rougis un peu et je lui dit que il devrait aller à la mer, car il est très blanc. Sur quoi le second qui est noir, se mêle de la partie et promets qu'il est plus bronzé que moi. Nous nous mettons tous les trois à rire. Je me dis que c'est bon et qu'ils vont me laisser partir, mais à ma surprise, le blanc traverse le fourgon et se place à côté de moi. Le temps que je ne dise quoi que ce soit, il se met très calmement à me caresser les jambes. L'autre continue comme si de rien n'était. Je fais de même car la petite table qui nous sépare fait qu'il ne peut pas voir ce que fait l'autre. Je sens sa main remonter ma jambe droite et toucher entre mes cuisses. Je résiste un peu puis je le laisse passer dans un soupir de plaisir et surtout d'inconscience. J'ai peur de me faire violer par les

» Plan cul Beauvoir-sur-Mer

MERCREDI 10 JUIN 2009

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