DES MELONS SOUS LE SOLEIL

Nous avons l'habitude, ma copine et moi, d'aller pendant les vacances tous les jours à la plage. C'est d'ailleurs sur cette plage que je l'ai rencontrée, il y a bientôt deux ans. J'avais été complètement subjugué par sa poitrine qui était vraiment étonnante : jamais je n'avais vu de seins aussi gros et aussi fermes. Hauts placés et bien dressés, ils étaient si volumineux qu'ils se touchaient et débordaient sur les côtés. Elle faisait un bon 120 F. Ses aréoles étaient également surdimensionnées et ses tétons, gros comme le bout du pouce, les rendaient encore plus excitants. Il y avait beaucoup de monde sur la plage et nous étions souvent obligés d'aller sur le banc de sable pour avoir quelques moments d'intimité. Ce jour là, nous étions restés très tard et il n'y avait presque plus personne sur la plage. Durant toute la journée, ma copine avait baissé son maillot pour profiter du soleil et j'avais été très excité par ses seins, surtout lorsqu'elle passait de la crème dessus. À cause du monde, je n'avais pas pu trop la toucher et je commençais à avoir vraiment envie d'elle. Quand il n'y eut presque plus personne, nous sommes restés là sur la plage, couchés sur nos serviettes, à profiter du calme revenu. Elle avait remis son maillot et semblait dormir : je devinais sans problème ses seins au travers du tissu et je commençais à fantasmer : je sentis très vite mon érection. Cela faisait presque deux jours que je ne l'avais pas touchée et je ne voyais plus personne autour de nous. Au bout de quelques minutes, je n'en pouvais plus et je me ruais sur elle en abaissant une de ses bretelles. Je pris son sein gauche dans mes deux mains et je commençai à sucer son téton : il était incroyablement ferme et je ne pouvais m'empêcher de suspendre la succion, tant le plaisir était grand. Tel un nourrisson rassasié, je lâchais le bout et j'embrassais tendrement son sein. Je tirai ensuite la seconde bretelle, libérant son sein droit de son étreinte : il apparaissait encore plus gros et je lui réservais le même sort qu'à l'autre. Au bout de quelques minutes, je lâchais sa poitrine pour rabaisser son maillot jusqu'au nombril. Ses seins oscillaient très légèrement et m'excitaient de plus en plus. Tandis que je l'embrassais, elle me caressait le dos et je lui baissais complètement son maillot. Elle était désormais complètement nue et s'offrait complètement à moi. J'enfouis ma tête dans le creux des seins et avec mes mains je ramenai ces deux énormes masses contre ma tête, puis je me redressai en accentuant la pression pour ramener ensemble les deux tétons que je léchais goulûment. Je me relevai pour quitter ma chemise et je ne pensai plus qu'à une chose, jouir de ces nichons. - Continue, me lança-t-elle. - Je vais m'occuper de tes seins. Tandis que je caressais son sein gauche, je lui bouffai carrément son sein droit, titillant son téton. Finalement, je perçu une érection au niveau de ses tétons et je sentis la pointe se durcir dans ma bouche. C'était vraiment le pied, jamais je n'avais autant aimé une paire de mamelles aussi fermes. Je commençai à baisser mon caleçon mais elle prit ma main et la plaqua sur son sein. J'étais vraiment très excité et je l'ai alors malaxé fortement dans mes mains. Elle prit alors ma tête et l'appliqua contre son autre sein libre, m'obligeant à lui téter. C'était si bon que j'en oubliai presque mon sexe qui ne demandait qu'à la pénétrer. Ma copine ayant progressivement tiré vers le bas mon caleçon, mon sexe libéré de son étreinte bandait vraiment très dur. L'excitation était arrivée à son maximum et je me laissai aller à la vulgarité. - Vraiment, ta paire me fait triquer comme un fou. Tu vas voir ce que je vais faire à tes nichons. Je commençai à la pénétrer doucement, tandis que je plaçai d'instinct mes coudes de chaque côté de son ventre, sur sa serviette. Mes mains reposaient sur ses seins volumineux. J'étais si prêt d'eux qu'ils me paraissaient énormes. J'avais tellement envie de ces appâts que je les pris à pleines mains et commençai à les presser violemment. Elle parcouru mon dos avec ses mains et me les plaqua ensuite sur les fesses, m'incitant à la pénétrer plus profondément. Mais j'étais encore davantage excité pas ses gros seins que je pressais de plus en plus fort. - Putain, tes nichons sont vraiment bandants, je vais me les faire… Maintenant je m'agrippai carrément

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LUNDI 17 DéCEMBRE 2012

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