UNE MÉTISSE AUX SEINS DE RÊVE

Je viens à peine de rentrer d'un petit séjour très agréable et riche en émotions sensuelles. Je viens en effet de passer deux semaines à la Martinique, tout frais payés puisque j'y étais pour mon travail. J'habite la région parisienne et je suis cadre dans un organisme de crédit qui est plus particulièrement spécialisé dans les prêts immobiliers. Ma direction souhaite ouvrir une agence à Fort-de-France. Je suis donc partie en mission pour préparer le terrain et prendre quelques contacts Aimant le sexe par-dessus tout et étant d'une nature assez chaude et libérée, j'aurais pu vous ramener des tas d'histoires croustillantes avec de beaux étalons noirs et super bien membrés. Surtout que dans l'hôtel où je suis descendue, ils étaient plus excitants et plus charmants les uns que les autres. Et comme française, comme métropolitaine plutôt, j'avais une super cote avec eux d'autant plus que je voyageais seule et que je suis assez sexy : rousse, les yeux verts, la peau claire avec de belles formes rondes et généreuses. Et d'après ce que j'ai pu comprendre, les mâles blacks aiment beaucoup les femmes comme moi avec de gros seins et un beau derrière aux fesses rondes et charnues. Mais voilà ! En quinze jours, je n'ai pas goûté une seule fois aux belles queues noires. Pas contre, je me suis éclatée à plusieurs reprises et sans la moindre retenue avec la jolie métisse qui travaillait à la réception de l'hôtel. Cette fille avait vingt-quatre ans, elle s'appelait Sylviane et elle était vraiment superbe, grande, féline, une peau couleur miel avec une bouche épaisse et sensuelle, des courbes parfaites, un joli petit cul rond et bien cambré, des seins splendides avec de gros tétons pointus au milieu des aréoles larges et sombres. Impossible de ne pas craquer La première chose que je regarde chez une femme, ce sont ses seins ! Je suis une fétichiste des beaux nichons. Pour moi, c'est la partie la plus excitante et la plus troublante du corps d'une femme. Des seins que j'aime regarder, caresser longuement, lécher Mais j'aime aussi y frotter mon sexe dessus pour me faire jouir tout en les inondant de cyprine. Et le seul fait de voir ceux de Sylviane, opulents et fermes, se trémousser librement sous ses t-shirts ou débardeurs me mettait le sexe en feu. Elle avait vécu deux ans, seule à Paris, et c'était de là qu'elle tenait ses premières expériences homosexuelles avec d'autres femmes. Moi, je suis, ce qu'on peut appeler une parfaite bisexuelle. Je jouis aussi bien avec les hommes qu'avec les femmes mais jusqu'ici, je n'avais jamais fait l'amour avec une fille de couleur et encore plus, avec une fille aussi belle, aussi excitante et aussi bien pourvue côté nichons ! J'ai eu le coup de foudre dès le premier jour et je suis passée de la fascination au désir violent, un après-midi, sur une plage déserte dans un cadre idyllique comme on peut en découvrir sur certaines cartes postales. Sylviane portait un joli brésilien blanc bien échancré avec un tout petit morceau de tissu qui cachait juste la raie de ses fesses. Et elle avait les seins à l'air Nous nous sommes baignées toutes les deux dans une mer chaude et claire et c'est sur le sable brûlant de la plage que nos bouches se sont soudées pour la première fois. Le seul contact de ses lèvres humides et sensuelles m'a fait frissonner dans tout le corps. La réaction de mon sexe fut immédiate et je l'ai senti s'inonder entre mes cuisses. Je n'ai pas tardé à poser mes doigts sur la belle poitrine tant convoitée. Sylviane s'est mise aussitôt à gémir. Puis, elle m'a murmuré : - Attends, on pourrait nous voir. Viens avec moi. Nous sommes allées nous cacher derrière une sorte de baraque de pécheurs et nous nous sommes de nouveau étendues sur le sable. J'ai retrouvé sa bouche puis ses seins durs et fermes que je caressais à pleines mains. Les bouts étaient bien érigés, tendues comme des petites bites en rut. Je les ai léchés puis sucés et mordillés. J'ai vite perdu la tête devant des seins qui semblaient apprécier fortement toutes mes caresses. Sylviane était haletante et me murmurait de continuer. C'était aussi l'une de ses zones érogènes les plus sensibles et les plus réceptives aux caresses aussi, je m'y suis longuement attardée avec ma bouche et mes

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MERCREDI 21 MAI 2014

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