La nounou afghane

Nous étions jeunes, nous étions riches et nous passions la plus grande partie de notre temps à étudier ou à faire la fête. Nous venions d'aménager. Natacha et moi, dans notre premier appartement. Mon père, l'ambassadeur, nous avait offert en cadeau les services d'une femme extraordinaire que nous nommions Nounou. Elle venait d'Afghanistan d'où mon père l'avait tiré pendant un bombardement et elle travaillait depuis dans notre famille. Nounou était très belle. Elle avait trente ans, n'avait jamais été marié à cause d'une escapade qui lui avait coûté sa précieuse virginité. Après, personne n'avait jamais plus voulu d'elle. Mes parents l'avaient aimé tout de suite. Il faut dire que Nounou savait tout faire, de la cuisine au ménage, en passant par la couture, les achats complexes ainsi que les tractations délicates. Nounou était tout simplement géniale. Elle ne portait aucun voile, juste de jolies robes colorées et amples qui donnait à chacun de ses mouvements une grâce éthérée. Il y a avait toujours un flottement de tissus dans le sillon de ses pas et le tintement de ces innombrables bracelets qu'elle portait au bras gauche. Ses longs cheveux noirs, lissés sur son crâne et retenus derrière par une épingle en forme de lion, encadraient son visage plein de sagesse. Elle posait sur son entourage de beaux grands yeux couleur de jade remplies d'une affection maternelle qui nous comblait. Natacha et moi. Nous étions à la fin avril, le soleil réchauffait tendrement la vie à naître que couvent tous les printemps. Les volets de notre chambre baillaient largement et nous venions de baiser comme des bêtes affamées. Nous étions couverts de sueur et de foutre et la torpeur nous menaçait d'un sommeil évident lorsqu'un bruit provenant du placard attire notre attention. Natacha expulse son corps longiligne du pieu et va jeter un oeil. Surprise ! Tapie dans le fond du placard, c'est une Nounou confuse et bouillonnante de honte que nous découvrons. Elle pleure à torrents et s'excuse entre deux sanglots de sa faute, de sa perversité, de ce monstrueux péché qu'elle vient de commettre. Elle avait voulu voir ce que c'était que l'amour, elle avait assisté à nos ébats, les yeux calés entre les lattes des persiennes et elle avait tout vu. Pour Natacha et moi, la découverte de la curiosité sexuelle de Nounou est une sorte d'offrande inespérée. Un clin d'œil complice et nous entreprenons de consoler notre pécheresse. Nous la soulevons et la portons jusqu'à la couche. Je m'assoie à sa gauche. Natacha se colle contre son flanc droit et nous la couvrons de baisers chaleureux tout en caressant ses longs cheveux. Nounou se rassérène lentement, étourdie par ces soins auxquels elle ne s'attendait pas. Elle nous sourie, un peu embarrassée par notre nudité, veut se retirer en nous remerciant de notre gentillesse mais nous la retenons sans brutalité. Dans ses immenses yeux noirs, des interrogations se succèdent, quand la main de Natacha s'aventure dans les plis de sa robe et qu'elle caresse son ventre. Nounou ne comprend plus trop. Elle pose sa main sur celle de Natacha, la presse pour l'implorer d'arrêter mais ma copine approche son visage du sien et embrasse ses lèvres si joliment dessinées. Je sens la sève se faufiler dans ma verge et je redoute un peu la réaction de Nounou. J'effleure à mon tour les tissus orangers de la robe et je remonte jusqu'à ses seins que je devine petits et durs. Elle tressaille légèrement et me foudroie d'un regard réprobateur. Je suis un peu confus et je pose ma main sur son cou que je lèche doucement pour me faire pardonner. Natacha, plus heureuse dans son exploration, en est déjà à l'agrafe de la robe, qu'elle défait avec art. Cette fameuse robe est un enchevêtrement de plis accumulés les uns sur les autres et il faudrait plusieurs manœuvres à Natacha pour extirper Nounou de sa geôle orange. Natacha déconcertée s'engage dans le chemin le plus court. Elle relève tous les tissus et blottit sa main sous la robe pour toucher enfin la peau de Nounou. Tandis que notre martyre rejète la tête en avant pour m'offrir sa nuque, je sens sa paume se balader sur ma cuisse ce qui achève ma résistance. La chaleur de sa main irradie mon sexe, il se dresse, le bandit, prêt pour l'embuscade qu'il attendra toutefois patiemment. Natacha découvre les douces jambes de Nounou, fines et blanches comme de la crème, des jambes qui n'ont jamais doré sous les rayons du soleil. Ma copine caresse Nounou avec…

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MARDI 28 SEPTEMBRE 2004

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