NYMPHO DANS UN INSTITUT DE BEAU...

Quelle fille ! Si j'avais été le lecteur et non pas le rédacteur du témoignage qui va suivre, j'aurais sans doute eu du mal à le croire jusqu'au bout. Je vous certifie, pourtant, que tout ce qui va suivre n'est pas du tout le fruit de mon imagination. Je l'ai vécu, réellement vécu, il y a quelques mois. Les photos que j'aurais pu joindre à ma lettre l'auraient certifier. Moi, j'étais derrière mon appareil photos. Une place que j'occupe régulièrement puisque je travaille dans la publicité. Mais d'habitude, les stars qui posent pour moi sont plutôt des machines à laver, des réfrigérateurs ou autres équipements domestiques qui intéressent bien plus la ménagère que les amateurs de clichés hard. En effet, mon job consiste à préparer les catalogues de plusieurs sociétés spécialisées dans la vente par correspondance ou bien, de réaliser de dépliants publicitaires comme ceux qui saturent quotidiennement vos boîtes à lettres. Cette fois, en la personne de Brigitte, c'est une véritable bombe sexuelle qui s'est offerte, autant par jeu que par plaisir de l'exhibition et de la provocation, devant mes objectifs. J'ai connu des nanas très portées sur le cul et assez salopes. Mais comme Brigitte, jamais ! Je l'ai rencontré dans une boîte de nuit, un soir de semaine. J'étais avec mon meilleur copain. Thierry, et nous avons vite repéré cette jolie brune qui dansait en se déhanchant sur la scène. Déjà, elle portait une robe hyper sexy qui moulait bien ses fesses et ses seins. Fumant cigarette sur cigarette, elle semblait prendre plaisir à allumer tous les mâles présents dans la boîte et donnait vraiment l'impression d'avoir le feu au cul. Thierry qui est plus à l'aise avec les filles que moi est allé la brancher. Quelques minutes plus tard, nous étions tous les trois au bar devant un verre. Brigitte nous apprend alors qu'elle est esthéticienne et possède un petit institut dans le onzième. Sa cigarette est à peine terminée qu'elle en rallume déjà une autre. Ce n'est pas du tout le genre de fille coincée, bien au contraire ! Assise sur le tabouret, elle tient ses cuisses tellement écartées que tout le monde peut découvrir la couleur de sa petite culotte. Elle boit son verre de whisky pratiquement d'un trait et appelle le serveur pour en commander un autre. Puis, en riant, elle nous lance : - Je vous trouve très mignons, tous les deux. Vous n'avez pas de copine ? Thierry répond du tac au tac : - Non, mais on est là pour en trouver une ? À son tour, elle nous questionne sur nos activités. Quand elle apprend que je suis photographe, une lueur trouble anime son regard. Sur le ton de la plaisanterie, elle me demande si je bosse dans le cul. C'est pas du tout mon créneau et elle a l'air de le regretter. Brigitte, elle, a déjà posé nue. Et elle a bien aimé… Avec un ancien copain, elle faisait tous les concours amateurs des revues de charme. Au troisième whisky, elle se laisse aller à des confidences plus intimes et plus crues. Ça lui plaît de montrer son cul et de faire fantasmer les hommes. Dans la conversation. Thierry est un peu oublié. C'est surtout moi qui l'intéresse. Pour Brigitte (elle n'a pas totalement tort), tous les photographes sont des voyeurs. Mes histoires de machines à laver et de brosses à dents électriques l'amusent. Elle pense que ça doit être lassant pour moi. Elle a une idée derrière la tête, c'est évident… Mais elle continue de nous charmer, de nous vamper. L'alcool donne un éclat lubrique à ses yeux, elle éclate de rire pour un rien. Elle n'a plus envie de danser et refuse l'invitation de Thierry. Je sens qu'elle hésite à nous dire quelque chose mais d'un coup, elle se lance : - J'en ai marre d'être ici. Si on allait faire des photos ? D'un air faussement naïf, je lui demande : - Quel genre ? Son seul regard suffit à nous répondre. Au début, on devait aller chez moi mais sur la route. Brigitte décide que ce serait plus amusant d'aller dans son institut de beauté. J'ai ma sacoche avec mon appareil et plusieurs pellicules dans ma voiture. Je n'en reviens toujours pas et je pense que Thierry éprouve le même sentiment que moi. Le salon se trouve dans une ruelle étroite. Il faut pénétrer dans un immeuble et traverser une petite cour intérieure. Nous…

» rencontres à Jaunay-Clan

MERCREDI 3 SEPTEMBRE 2008

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