L'ONCLE DE MARINE - L'AMOUR ENFIN

J'ai appris qu'à la suite d'une chute. Marine avait perdu son pucelage, déchiré par un grand écart accidentel : elle n'est donc plus à proprement parler vierge, mais je soupçonne que ses expériences sexuelles sont très succinctes. Vierge, non, mais pas très expérimentée, peut-être même pucelle ! C'est bien l'impression que me transmettent ses caresses, celle d'une fille découvrant en vrai le sexe d'un homme. Ses doigts s'enroulent autour de ma bite et soudain la serrent avec fermeté : je me cambre violemment et laisse à mon tour échapper un grognement de plaisir. Marine éprouve elle-même du plaisir à mon plaisir, son clitoris se dresse sous mes doigts, qui ont repris leur caresse sur son sexe brûlant. Enchantée de sa découverte, elle monte et descend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce et caressante. Gênée par la ceinture de mon maillot, elle lâche un instant mon sexe agité de palpitations pour défaire le cordon et le tirer vers le bas et le laisse tomber à mes pieds. Je suis nu entre ses jambes ouvertes. Elle reprend mon sexe dans sa main, pendant que son autre main part à la découverte de mes testicules. Ma bite palpitant dans sa main lui indique au fur et à mesure le plaisir qu'elle me fait ressentir. Et elle module ses caresses pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Je ne lui cache pas mon plaisir et ne réfrène pas les mouvements de mon sexe et de mon bas-ventre. - Tu sais, souffle-t-elle soudain, c'est la première fois que je fais ça, hein. Alors ainsi c'est sa première expérience ! Elle n'a donc jamais fait l'amour, n'a jamais caressé un sexe masculin ! - Mais tu fais ça très bien, tu trouves tout ce qui fait plaisir à un garçon, tu peux pas savoir comme c'est bon, c'est abominablement bon, je sais pas comment tu fais ! - Oh, j'ai juste bien regardé une cassette «X» de mon frère et puis ça me vient comme ça… Ah, le délicieux aveu ! Pucelle et cochonne, sans expérience mais douée. Impatient, un de mes doigts se glisse un peu plus encore dans sa fente et commence à pénétrer doucement son sexe. Ses mains quittent mon ventre et se posent sur mon bras, arrêtant une seconde mon geste, puis aussitôt l'encouragent. J'en limite volontairement la pénétration, préférant quelques légères introductions à une pénétration profonde que je réserve pour ma verge. Ses mains accompagnent mon geste, elle halète en rythme, ses jambes sont largement écartées pour mieux s'offrir. Profitant de ses yeux fermés, mon regard se pose sur son sexe que mon doigt ouvre et ferme, au-dessous d'une courte toison blonde. Son clitoris est maintenant sorti de sa corolle et se dresse comme une petite bite. Ce n'est pas fréquent une fille avec un clitoris aussi érectile et, pendant que mon index va et vient en elle, mon pouce le lui caresse en même temps. D'un geste rapide, je lui ôte son slip, la découvrant totalement nue. Je reprends aussitôt ma caresse envahissante à l'entrée de son vagin. Elle se laisse complètement guider par le plaisir qu'elle ressent, libérée de toute inhibition, accompagne mes doigts de mouvements du bassin sans plus aucune retenue. C'est merveilleux, une pucelle comme ça qui se libère totalement, qui s'ouvre au plaisir, qui le vit comme tout à l'heure elle vivait le mien, qui sent qu'elle a envie de faire l'amour, qui sent que ça va être bon, et qui ne demande qu'à jouir. Son plaisir coule sur mes doigts. Sans cesser ma caresse, mon autre main guide mon gland jusqu'à ce qu'il touche l'entrée qu'explore mon index. Imperceptiblement, mon doigt cède la place au bout de mon sexe gonflé à éclater, jusqu'à ce qu'il commence à s'engager dans le ventre de Marine. Elle comprend soudain la cause de cette pénétration nettement plus large, elle comprend je suis en train d'introduire mon sexe dans son ventre vierge. Interprétant par erreur la lenteur de mon mouvement pour une hésitation à lui faire l'amour (alors que ce n'est que distiller mon plaisir extrême de la prendre pour la première fois), elle m'encourage dans un murmure : - Oh si, viens dans mon ventre… Je la pénètre lentement, doucement, profitant totalement de mon plaisir, de la sensation de ma bite qui écarte les parois de son vagin, lisant en même temps la progression de ses sensations sur son visage. Elle est comme extasiée, les jambes écartelées, le ventre offert

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VENDREDI 27 DéCEMBRE 2013

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