OURAGAN, UN TEMPS POUR LA BAISE...

Karine, une jolie brune bouclée de 24 ans, toute menue, n'aurait jamais pu prévoir pareil dénouement à ce qui semblait être, de prime abord, un voyage de routine aux Antilles. Cette hôtesse de l'air, en apercevant Kylian pour la première fois, eut le souffle coupé autant par sa beauté sublime que par la dureté de ses traits, son regard en particulier. Le sourire qu'il lui avait cependant lancé à la dérobée, alors qu'elle s'était légèrement penchée au-dessus de lui pour servir une rasade de scotch à son voisin de siège, mais spécialement lorsqu'elle remarqua où il avait posé les yeux, l'avait faite rougir à un point tel qu'elle fut totalement incapable de ravaler son petit rire nerveux et un peu niais. Karine n'était certes pas une top modèle mais ses immenses nichons lui avaient permis depuis toujours d'attirer des hommes magnifiques dans son lit. C'était son arme de séduction suprême, cela et ses yeux gris-bleus qui semblaient avoir été forgés dans le métal le plus précieux de cette terre. Elle avait un appétit féroce pour la gent masculine tout en étant fort timide lors des premiers rendez-vous. Telles étaient ses pensées lorsqu'elle se rendit aux toilettes pour retoucher son maquillage. Elle se maudit en fixant à travers la glace le sourire qui ne voulait plus quitter ses lèvres, le sourire de la satisfaction, de la chasseuse qui est presque parvenue à attraper son butin. Mais elle se maudissait surtout en raison de ce penchant inéluctable qu'elle ressentait envers les mauvais garçons… Inutile de se leurrer, ce gaillard n'était pas un enfant de chœur… Et cela fut amplement suffisant pour qu'elle mouille sa petite culotte ! Lorsqu'elle sortit enfin des toilettes, elle ne vit pas l'homme qui attendait de l'autre coté de la porte car elle avait le nez dans son sac à main. La collision fut brutale et lorsqu'elle leva les yeux vers le visage de l'inconnu, elle constata non sans une légère anxiété qu'il s'agissait du lascar en question. Ses cheveux d'un blond délavé étaient coupés courts. Une légère calvitie était visible sans toutefois ôter une seule parcelle de sa beauté. À ce moment-là, en entrant en collision avec ce mur de muscles, elle remarqua que le visage de celui-ci était presque parfait, si ce n'était ce regard obscur qui la scrutait comme si elle n'était qu'un petit gibier de plus sur son tableau de chasse. Cela aussi plut énormément à Karine. Maintenant qu'elle l'avait scruté dans ses moindres détails et que lui aussi l'avait regardée de la tête au pied, elle tenta de se frayer un passage entre lui et la porte mais ses épaules dures et larges lui barraient le chemin. Comme s'il avait deviné à qui il avait affaire, c'est-à-dire à une véritable nympho soumise, il lui indiqua les toilettes d'un mouvement de la tête avant de lui attraper une fesse et de l'attirer dans la cabine en la soulevant. On aurait dit qu'elle avait volé jusque là et il est vrai de dire qu'il l'a carrément transportée dans la toilette par la force d'un seul de ses bras. Lorsqu'elle se retrouva seule avec lui, elle n'eut pas envie de faire comme à son habitude, de s'ouvrir les jambes tout de suite. Depuis le temps qu'elle rêvait d'un tel homme, d'un beau salaud baraqué comme un joueur de rugby, elle allait en profiter pour se faire remuer un peu… Elle le gratifia donc de son regard le plus insolent sans esquisser le moindre attouchement sexuel. Cela fit son effet, il la retourna d'un seul geste, pas trop brutalement mais quand même fermement : - J'ai toujours rêvé de me taper le cul d'une jolie hôtesse de l'air… Tu ne peux pas dire que tu ne l'a pas cherché, lui chuchota-t-il à l'oreille avant de se laisser tomber sur ses genoux pour lui écarter les fesses. Karine ne lui répondit rien mais cabra les fesses pour mieux sentir l'organe humide qui fouillait son intimité de long en large. À son grand bonheur, il s'attarda davantage sur son petit trou de balle, ce qui augurait certainement une bonne sodomie par la suite. Karine adorait les gros objets qu'elle pouvait introduire dans son fion et elle avait hâte de voir la grosseur du jouet que son amant lui cachait encore. Il continua à la lécher ainsi jusqu'à ce que Karine se mette à gémir. Il déposa encore un peu de salive sur son fion déjà reluisant d'un mélange de mouille et de bave. Karine se contorsionna un peu pour le…

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SAMEDI 11 OCTOBRE 2008

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