LE PANTALON DE LIN

Il a cogné comme ça à la fenêtre de notre bureau. Il était prisonnier à l'extérieur de l'édifice et ressentait vraisemblablement une envie pressante de trouver les W. C. Un beau garçon, tout en muscles dans sa combinaison de technicien en climatisation. Nous l'avons fait entrer en lui indiquant la porte des cabinets. Il faisait très chaud, c'était un printemps brûlant et la nature de notre travail n'arrangeait rien. Nous oeuvrions dans la photo érotique et chaque heure du jour apportait son lot de frémissements et de sueurs qu'il fallait à tout prix éloigner, histoire de garder un minimum de professionnalisme. Clovis ressortit donc des toilettes, apparemment soulagé, lorsqu'il vit mon compagnon de travail. Un mec charmant, la jeune trentaine, portant une crinière rousse en désordre qui lui donnait un air de commis coquin. Clovis lui assena un sourire très incitatif et Alex, mon collègue, le lui rendit avec le même enthousiasme. Je compris en un rien de temps que mon confrère voyait dans l'apparition de ce jeune homme la proie du jour. Alex était un sacré chasseur ! Je compris aussi que tous les deux éprouvaient une envie irrépressible de se frotter l'un à l'autre. Alex portait ce jour là une chemise très fine car notre espace de travail était particulièrement chaud. Nous avions donc l'habitude de nous vêtir légèrement. Toutefois Alex, avantagé sérieusement par une taille d'athlète ne se privait pas d'arborer de ces vêtements mettant en valeur sa musculature impeccable et son bronzage exquis. Alex se leva pour se présenter officiellement à Clovis, le réparateur, lorsque un rayon de soleil, qui traversait la pièce, vint illuminer le lin translucide de son pantalon. Clovis remarqua la chose aussi bien que moi : un string blanc peinait à dissimuler le triangle pubien de Clovis mais exhiba toute la chair de ses fesses bien fermes lorsqu'il se retourna vers son unité de travail. Je vis la pomme d'adam du jeune ouvrier faire un aller retour douloureux et je pensai que le bel Alex ne rentrerait pas seul ce soir là. Mais les circonstances singulières de cette rencontre ainsi que la chaleur ambiante précipitèrent les événements. Alex se consumait sur sa petite chaise, perdu dans le regard de Clovis qui commettait de grands efforts de contrôle pour ne pas saliver sur son costume de réparateur. Le jeune homme s'approcha davantage du plan de travail de mon confrère avec un sourire mielleux, ce qui me fit lui jeter un il complice en chuchotant le mot : salle de torture. Alex me fit un clin d' il, se leva et prit Clovis par la main sans plus de cérémonie. Ce que nous nommions pour rire la salle de torture était en fait un immense placard. Il y avait une table sur laquelle nous prenions l'habitude de déposer la paperasse qui ne nous servait plus. J'entendis le bruit de piles de feuilles s'éparpillant en touchant le sol et je sus que l'insatiable Alex prenait les choses en main La curiosité est une bien vilaine chose ! Je voulus m'accorder une petite pause et allai me poster devant le trou de la serrure de la fameuse salle de torture. J'avoue que l'idée de voir le mignon Alex se faire sucer me plaisait bien. Il n'y avait pas dix minutes qu'ils étaient là que déjà Alex lui suçait les couilles. - Mon dieu, me suis-je dit, dix minutes encore et j'aurais tout loupé. Alex en avait plein la bouche. Le visage de Clovis grimaçait sous la sensation de ses bourses prisonnières, savamment astiquées par les lèvres juteuses d'Alex. Il ne touchait pas à sa bite, ce qui semblait l'exaspérer. Mais je connaissais ses histoires de cul par c ur et je devinais qu'il l'affamait volontairement, histoire de lui rendre un peu de l'agressivité de la bête. Clovis lui laissa son joli pantalon de lin. Il semblait se dire : - Voilà un jeu qui se joue à deux ! On verra bien qui va supplier l'autre, qui va brusquer l'autre Clovis donc, lui laissa son pantalon. Et son string blanc. Il se pencha et lécha l'intérieur de ses cuisses, ses longues cuisses musclées et épilées, glissant sa langue jusqu'à la braguette, puis redescendant, espiègle, sans jamais dégrafer le fameux pantalon. Je pouvais voir Alex retenir son souffle lorsque la bouche sévissait au bord de la braguette puis réprimer une mine de déception chaque fois qu'elle s'en éloignait. Pauvre Alex ! Clovis l'avait assis sur la table et caressait patiemment ses interminables jambes, mouillant ses orteils de sa langue infatigable. On

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SAMEDI 1 JANVIER 2011

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