PASSION POTAGÈRE…

Mon voisin était un fort joli brun au corps appétissant qui demeurait cependant insensible au charme des hommes. Ayant remarqué rapidement cette disposition chez lui, j'avais décidé de m'en faire un ami afin d'en découvrir les raisons profondes. Je lui fis donc croire que j'étais hétéro malgré ma féminité apparente, ce qui eut pour résultat de nous projeter immédiatement dans une intimité plus que raisonnable. Il n'avait désormais plus aucune pudeur en ma présence, pour lui je n'étais plus un animal menaçant. Ulrich était un adepte des bonheurs horticoles. Il possédait un grand jardin à l'intérieur duquel il avait aménagé un potager d'environ deux mètres carrés. De ma chambre au deuxième, je pouvais facilement l'observer donner libre cours à ses moindres fantaisies potagères. Il me devinait derrière les volets, j'en étais persuadé mais ça n'avait plus d'importance puisque j'étais hétéro. Le magnifique Ulrich, avec ses airs d'enfant charmeur, prenait grand soin de ses ensemencements. Plusieurs fois par jour, je le voyais penché sur son petit lopin cultivé, occupé à désherber ceci ou encore à ajouter des suppléments vitaminés à cela. Il s'attardait considérablement à des plants dont les feuilles, larges et dentelées, rampaient sur le sol pour s'éparpiller bien au-delà du territoire alloué. Ce n'est que vers le début de juillet que je compris vraiment les raisons de son entichement. Je n'étais pas particulièrement savant en matière de végétaux. Lorsqu'un matin je pris mon poste de guet à la fenêtre et que je le vis cueillir sa première récolte de l'été, je compris aussi que le vert feuillage de dentelle auquel il accordait tant de soins était le nid des concombres. Mais le spectacle qui allait suivre m'étonnerait encore davantage. Ulrich choisit dans le panier ce qui me sembla être le plus fin et le plus long concombre du lot. À vue de nez, il devait faire au moins 14 centimètres et sa circonférence pas plus de 3 centimètres. Il exposa cette verge vert tendre sur le dallage d'ardoise que le soleil plombait de chauds rayons. Il fouilla ensuite au fond d'une petite remise et en sortit un large hamac qu'il tendit entre un arbre et un vieux crochet rouillé, fichu dans l'enceinte de pierre qui bordait son jardin. Il revint prendre le phallus végétal qui devait être, à ce moment, bouillant d'avoir été chauffé de la sorte et retourna à sa couche suspendue. Je le regardais traverser l'herbe rase et si odorante au matin. Comme il était splendide ! Les rais de lumière transperçaient son pantalon de coton léger, ce qui me donnait le loisir d'empiffrer mon regard de ses formes si excitantes. J'apercevais la pointe de son gland déjà émoustillé par le frottement du tissu, une belle grosse tête de bite, assez foncée et fièrement dressée. Il avait du panache Ulrich, et quel corps ! Le pyjama de coton tomba sur le sol et il s'installa confortablement au creux du hamac. Sans m'en rendre seulement compte, j'avais la main sur mon caleçon et je me pressais la queue vigoureusement. Mon sexe se gonflait précipitamment de sève et de longs frissons me parcouraient déjà. Ulrich avait posé le fortuné légume sur son ventre, juste en dessous du nombril et se caressait lentement, très lentement, laissant ses mains, larges et viriles, flâner sur sa poitrine et sa touffue toison noire. Ce manège polisson dura un moment, je voyais ses doigts chercher à se faufiler jusqu'à sa tige de plaisir puis rebrousser chemin alors qu'il se croisait fermement les jambes afin d'échapper à sa propre tentation. Ma langue se morfondait dans ma bouche au lieu d'être vaillamment occupée à débusquer cette jolie queue d'amour. Ah ! Comme je lui aurais léché cet exquis bijou ! Je pressais de plus en plus fort mon chibre grossissant, je triturais mon prépuce, ce qui me mettait dans un état d'exaltation incroyable. Tout mon corps se tendait comme la corde d'un arc bandé. J'attendais courageusement d'être lancé… Mon affriolant voisin s'était emparé de son complice vert et, à l'aide d'une petite dague qu'il avait sortit d'on ne sait où, le pela sur au moins 11 centimètres. Je pouvais voir suinter le suc du légume. Ulrich se tourna sur le côté. Je n'apercevais plus que son dos et son fessier bombé, le V de son dos découpé à la serpe ainsi que de longues jambes musclées, dorées par l'habitude des après-midi ensoleillés. Il faisait glisser son gode de la raie de son joli cul jusqu'à la profonde caverne de son anus. Je regardais avec avidité le bout…

» Plan cul Désertines

VENDREDI 22 JUIN 2007

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