LA PICKPOCKET

J'ai 30 ans et je travaille dans un édifice à bureau du centre-ville. Alors que j'étais dans le métro pour retourner à la maison, je sentis une main presser et tâtonner mon pénis de l'intérieur de ma poche. La main me massait la base du pénis ainsi que la partie droite des testicules. Je me retournai pour voir une jeune femme collée contre moi, la main dans ma poche ; je lui fis un sourire qu'elle me rendit. Je réfléchis alors un peu et m'aperçus qu'en fait, j'étais en train de me faire masturber par une pickpocket. La jeune femme, d'environ 1m70, retira sa main. J'eus alors un signe de désapprobation à son endroit que je lui exprimai du regard. Je pris en même temps l'occasion de regarder son corps. Elle devait faire du 95C, ce qui reste raisonnable, et le reste de son corps faisait rêver ; une vraie taille de guêpe sans un once de gras mais en revanche, des cuisses plutôt musclées et une carrure assez athlétique. Sa main ne fut pas sortie longtemps de ma poche. En fait, elle ne l'évinça que pour plus de liberté car elle retourna directement sous mes sous-vêtements. Je sentais maintenant la peau de sa main sur mon sexe. J'avais droit à un massage de rêve comprenant tout, des testicules et de ce qui se trouve à l'arrière, jusqu'au gland. La sensation en était indescriptible et en plus, son agilité aurait presque pu laisser croire qu'elle avait une main à sept doigts. Ce massage me procurant un plaisir sans comparaison, je tentai de lui rendre la pareille. Je glissai alors ma main dans son pantalon et m'aperçus qu'elle ne portait pas de culotte. Toutefois, son pantalon possédait des poches intérieures. On comprend à quoi elles servaient puisqu'elle est pickpocket. Alors que je commençais à explorer son monde intime, le wagon s'arrêta. Une vielle dame passa alors à mes côtés et me dit de calmer mes ardeurs, que nous étions tous les deux fort indécents. Je retirai alors ma main de son pantalon et informai ma compagne des paroles de la vielle dame. Cela calma son visage incompréhensif et elle enleva sa main à son tour. Ma déception suivit la sienne. Lui disant que j'aurais aimé que ça continue, elle répondit qu'il valait mieux attendre encore un peu, jusqu'au terminus car il y aurait moins de monde à bord et que nous pourrions ainsi laisser libre cours à nos fantaisies. Ce fut une longue attente ! Le wagon voisin se vida, nous y allèrent et je repris mon massage tandis qu'elle enlevait je ne sais trop quoi de ses poches de chemise. Le terminus arriva et nous sortîmes mais, après la visite d'un agent de sécurité, nous retournâmes à l'intérieur. Le train se stationnait maintenant, quelle chance ! Nous nous déshabillâmes en hâte, sachant parfaitement ce que l'autre cachait derrière ses vêtements et elle entreprit de me sucer la queue. Alors qu'elle commença son oeuvre, je fis quelques signaux et nous nous mîmes en position 69, l'un dévorant le sexe de l'autre. Ce fut rapidement insuffisant pour notre appétit et j'enfilai la capote qu'elle me tendit pour ensuite la prendre par-derrière, comme un animal. Malheureusement, le plaisir d'être en elle fut encore abrégé car un second agent de sécurité passa et celui-ci nous mis définitivement dehors, nus, nos vêtements à la main. Les quelques personnes sur le quai nous observaient. Nous nous dirigeâmes alors dans le tunnel, en marchant sur le minuscule trottoir qu'il y avait en bordure. Nous étions trop chauds et trop excités pour arrêter cette aventure sur-le-champ. Dans un coin sombre, pas trop loin du quai, nous reprîmes où nous en étions rendus mais en changeant les positions. Je lui laissai la place du dessus et me laissai faire. Elle monta et descendit sur mon membre dépassant les vingt centimètres, m'exhibant ses seins qui dansaient au rythme de ses mouvements. Elle eut alors un orgasme et je la suivis. J'étais rendu au paradis des hommes ! Je ne pouvais rêver mieux. Nous restâmes l'un sur l'autre pendant un bon moment. Je lui demandai alors la raison de tout ça et elle me répondit que je l'avais excité avec la taille de mon membre et ma beauté. J'étais charmé et je la laissai partir, restant allongé et rêvant encore du plaisir qu'elle m'avait donné. Je me rhabillai et juste après, je m'aperçus de la disparition de mon portefeuille.…

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LUNDI 3 SEPTEMBRE 2007

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