LA PISCINE D'ANNE-SOPHIE

Samedi dernier, ma copine Sabrina et moi-même rendions visite à une de mes collègues de travail, qui habite en province, dans une grande villa avec piscine. Difficile de ne pas envier les heureux propriétaires de piscines, en cet été caniculaire. Il faisait en effet tellement chaud que j'étais habillé seulement d'un short et d'un t-shirt sans manches, tout autre vêtement devenant rapidement insupportable sous ce soleil de plomb. Sabrina, aussi incommodée que moi par la chaleur, portait une toute petite robe à bretelles, qui obligeait celle qui la portait à mettre un sous-vêtement si elle ne voulait pas exposer son intimité dès qu'elle s'asseyait. En arrivant, d'ailleurs, la météo fut le tout premier sujet de conversation. En soupant sur la terrasse, seul le mari d'Anne-Sophie ne bût pas de vin, étant donné qu'à 22 heures, il devrait rejoindre la brigade de police où il travaillait cette nuit-là. Ce n'est pas pour autant que sa part fut perdue, même si cela nous fit boire un peu plus que de raison, ce qui, au fond, était bien agréable par ces chaleurs. Après son départ, la soirée continua et les verres continuèrent à se remplir et à se vider. Tout en discutant, j'avais déjà remarqué à plusieurs reprises que ma chère et tendre lorgnait dans le décolleté de ma collègue, qui, il est vrai, n'avait rien fait pour cacher l'absence de soutien-gorge sous son débardeur blanc. L'évidence fut complète lorsque Anne-Sophie renversa maladroitement une carafe d'eau sur elle, dévoilant alors les mamelons roses pointant sous la fraîcheur de l'eau, et bien visibles sous le tissu devenu presque transparent. Elle s'en fut rapidement en cuisine, nous laissant seuls pour quelques instants sur la terrasse. - Tu dois être contente, dis-je à Sabrina, c'est ce que tu voulais, tu as passé ta soirée à mater son décolleté… - Tu te fais un film, mon pauvre ami. J'avais remarqué qu'elle ne portait rien dessous, mais ce n'est pas pour autant que je matais, comme tu dis. - Enfin, tu n'as pas trouvé cela désagréable, c'est bien ce que je veux dire. - C'est vrai qu'elle est plutôt mignonne, ta collègue. Revenant vers nous. Anne-Sophie était en sueur, sans doute d'avoir couru se chercher un autre débardeur, et, pour faire oublier ce qu'il s'était passé, changea de conversation : - C'est incroyable, il fait encore 28 degrés, alors qu'il est 23 heures passées… - Oui, dit Sabrina, et d'ailleurs ce doit être bien agréable d'avoir une piscine par un temps pareil. Ça nous manque, en ville. - Je vous comprends. C'est vrai que nous apprécions pas mal le fait de pouvoir se baigner quand nous le voulons. Ceci dit, vous voulez en profiter ? - Ce serait volontiers, mais… Ajoutai-je, mais immédiatement interrompu par Anne-Sophie. - Mais vous n'avez pas de maillot… Ce n'est pas grave, de toute façon personne ne peut nous voir, ici. Nos seuls voisins sont en vacances. Cela nous sembla, à Sabrina ainsi qu'à moi, une proposition très directe et un peu douteuse, mais n'étant pas du genre à s'embarrasser de ce genre de conventions, ma copine accepta la proposition sans sourciller. Anne-Sophie rentra donc quelques instants et alluma l'éclairage sous-marin, tandis que Sabrina avait déjà enlevé sa robe et se retrouvait en petite culotte à sentir la température de l'eau du bout du pied. De mon côté, j'avais déposé mon t-shirt sur ma chaise, mais hésitais toujours à me défaire de mon short, dernier rempart de ma pudeur. Ma collègue, semblant ne pas prêter attention à nous, ressortit de la maison en tenue d'Eve, nous dévoilant son corps qui, il faut l'admettre, était très agréable à regarder. Anne-Sophie était mince, sans être maigre et ses seins semblaient tenir comme en apesanteur malgré leur taille, qui paraissait importante par rapport au reste de son corps. En descendant son regard, on pouvait admirer des hanches d'un galbe parfait, au creux desquelles trônait le mont de Vénus dont la fine toison était entretenue avec soin. Découvrant ma collègue pour la première fois dans le plus simple appareil, je ne pus réprimer une érection naissante qui heureusement était encore dissimulée dans mon short assez ample, mais dont je craignais les conséquences si je la dévoilais. Sabrina, quant à elle, se désinhiba en voyant arriver ma collègue nue, et se débarrassa également de sa culotte. Me voyant rester en arrière, les deux filles s'approchèrent alors de moi, et sans prononcer un mot. Sabrina m'arracha presque mon short, laissant ainsi se déployer ma queue qui se durcissait petit à petit. Elles m'examinèrent, puis se mirent à

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VENDREDI 15 AVRIL 2011

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