Une plage la nuit…

Nous habitons à quelques kilomètres seulement de la frontière belge. En janvier 97, alors que je rentrais du boulot comme tous les soirs, un de mes vieux amis. Marc, m'invita à prendre un verre au bistrot du coin alors que je descendais de ma voiture. Une fois au comptoir, après un ou deux verres. Marc me demanda s'il pouvait le lendemain venir regarder le match à l'appartement, sa télévision étant en réparation. Après un moment d'hésitation, j'acceptai en me demandant bien ce que j'allais pouvoir raconter à Stéphanie en rentrant. Depuis notre mariage, je n'avais, pour ainsi dire, invité aucune de mes anciennes connaissances à notre table. En ce qui concerne Marc, les souvenirs que j'avais de lui n'étaient pas de toute première fraîcheur. Finalement mon épouse ne fit aucune objection dans la mesure où les enfants, pour une fois, passaient le week-end chez leur tante. Le lendemain, on prend la précaution de faire quelques achats, histoire que l'accueil soit réussi. À peine rentre-t-on du magasin que le véhicule de Marc se gare juste derrière le nôtre. Il nous fait un grand sourire, sort de son coffre quelques bouteilles qu'il dissimule dans un sachet et fait un grand signe par derrière nous. Surpris, nous tournons nos têtes. Stéphanie et moi pour apercevoir trois personnes se diriger vers nous en nous tendant la main. Marc vient alors vers nous et commence les présentations. Voilà des amis chez qui il loge en ce moment et dont il avait oublié de parler hier. Je le prends un instant dans un coin pour lui montrer notre gêne mais il m'assure ne vouloir à aucun prix nous déranger. Déjà, comme me le signale Stéphanie avec un sourire, je sens à son haleine qu'il à déjà consommé beaucoup d'alcool dans la journée. Les trois inconnus ont des carrures de rugbymen, mis à part leur âge. En effet le plus âgé doit avoir 20 ans tout au plus. Robert. Luc et Maxime nous suivent alors jusqu'au salon, précédés de Marc, les bras chargés de boissons et de quelques paquets de biscuits. À la télé, les joueurs font juste leur apparition. Tout le monde se met à l'aise en se laissant aller à quelques grivoiseries, ce qui détend l'atmosphère mais ne paraît pas satisfaire Stéphanie, qui ne fait que quelques rares apparitions au salon. Au fil du match, les bouteilles se vident les unes après les autres. Finalement. Marc insiste pour que Stéphanie vienne nous retrouver et cette dernière se décide à nous rejoindre, tout en s'asseyant à bonne distance du groupe de farceurs. Une délicieuse euphorie commence à me gagner. Mon verre se vide régulièrement malgré le regard désapprobateur de mon épouse. Le match terminé. Marc propose qu'on aille tous dans un bar pour arroser la victoire. Stéphanie me prend par le bras en me faisant comprendre qu'il n'est pas question que je la laisse toute seule un samedi soir à l'appartement. Tenaillé entre l'envie de finir la soirée en joyeuse compagnie et la promesse faite à ma femme de lui consacrer cette nuit, je lui propose alors de venir avec nous en insistant sur le fait qu'avec elle à mes côtés, on peut être sûr que la soirée va bien se finir. Elle hésite longtemps, prétexte mille et une excuses pour céder finalement aux insistances de Marc qui sait user de tous les stratagèmes pour convaincre quelqu'un. Elle disparaît alors à la salle de bain, le temps pour moi de débusquer quelques bières précieusement mises à l'écart et de les distribuer. Je reviens vers le salon quand j'entends les sifflets accueillant Stéphanie à sa sortie de la salle de bain, vêtue d'une sorte de robe de couleur bleu collée au corps, si courte qu'elle ne l'a encore jamais portée. Aucun soutien-gorge sur ses seins dont les tétons pointent sous les yeux satisfaits de nos hôtes ravis. Il faut dire ici que Stéphanie, magnifique petite brune approchant la trentaine, possède des atouts indéniables… Ses yeux noisettes pétillent dès qu'un œil masculin lorgne ses formes. Dotée d'une poitrine et d'un postérieur aussi généreux l'un que l'autre, c'est avec sensualité qu'elle évolue sous les yeux de nos visiteurs. Une fois dans l'escalier, elle est la dernière à nous suivre, et c'est sans pudeur que chacun essaie en vain de jeter un œil inquisiteur dans sa direction, dans le but d'en savoir plus sur son entrecuisse. Le délicieux fumet que dégage son eau de toilette contraste manifestement avec l'odeur de sueur de mes voisins. Une fois sur…

» rencontres à Manduel

SAMEDI 26 NOVEMBRE 2005

Pour répondre à cette annonce et voir la vidéo, Veuillez indiquer :

@