Il fait chaud ce matin, comme tous les matins depuis que je suis ici. Les vacances touchent bientôt à leur fin mais je préfère ne pas y penser. J'ai quelques courses à faire, des souvenirs à acheter et il y a des boutiques pour ça dans le centre-ville. Je me prépare tranquillement, tenue d'été obligatoire : jupe et débardeur, léger maquillage sur les paupières, je suis pas mal bronzée et l'image que me renvoie le miroir me plaît assez. Je gare ma voiture où je peux : c'est jour de marché et il y a foule. Les quelques parkings sont évidemment pleins et je dois me rabattre dans une rue latérale ombragée mais étroite. J'éteins mon moteur et me penche pour récupérer mon sac. Lorsque je me redresse, j'ai un coup au cur : debout devant ma portière, un policier me barre le chemin. Il me fait signe de sortir. Que se passe-t-il ? Je n'ai pas l'impression d'être mal garée, je ne gêne personne et d'autres véhicules sont arrêtés dans cette rue. Bien sûr, il a dû voir à ma plaque d'immatriculation que je ne suis pas Italienne. Il se recule, j'ouvre ma portière et dans le mouvement que je fais pour m'extraire du véhicule, mes jambes s'écartent, ma jupe remonte sur mes cuisses, dévoilant mes dessous au représentant de l'autorité. D'ailleurs il ne se gêne pas pour se rincer l'il ! Il décroche de sa ceinture une longue matraque noire et me fait comprendre qu'il faut que je le suive au poste de police, qui est situé à une cinquantaine de mètres dans la même rue. Je ne suis pas trop rassurée lorsqu'il me fait entrer dans son bureau et qu'il referme la porte. Je me retourne vers lui, attendant ses explications, prête à défendre ma cause avec opiniâtreté, sûre de mon bon droit, mais le geste qu'il fait arrête toutes mes protestations : en un clin d'il, relevant ma jupe, l'extrémité arrondie de la matraque qu'il tient à bout de bras se retrouve appliquée contre mon sexe. Il imprime aussitôt à cette matraque un mouvement de bas en haut auquel mon corps répond aussitôt. Malgré moi, je me laisse aller en arrière, en prenant appui sur le bureau et je tends le bassin en avant. J'ai honte, je devrais hurler, protester mais je suis comme anesthésiée par cette sensation Le mouvement s'accélère, je sens mon sexe s'ouvrir, mes lèvres intimes s'écarter de plus en plus, ma culotte s'humidifier et je m'entends gémir de plaisir. Dans un dernier éclair de lucidité, je veux me redresser mais mon tortionnaire me repousse en arrière d'une main qu'il laisse vagabonder sur ma poitrine. Ses doigts caressent la pointe de mes seins qui durcissent aussitôt, stoppant définitivement toute rébellion. Je suis à sa merci, soumise aux sensations affolantes qu'inflige la matraque à mon clitoris en feu. Je ne vais pas résister longtemps à pareil traitement. La main qui malmène mes seins descend le long de mon ventre et arrache brutalement mon slip. Surprise, j'ouvre la bouche pour crier mais la matraque reprend son va-et-vient, maintenant libre de s'enfoncer de plus en plus en moi, glissant dans le fourreau humide de mon sexe, me violant délicieusement. Je gémis de bonheur, c'est délicieux et mon bourreau le sait, la lueur amusée qui flottent dans ses yeux en dit long sur ce qu'il pense. Soudain tout s'arrête : la matraque cesse ses mouvements, le policier se recule, me laissant là, frustrée, au bord de l'orgasme. D'un geste décidé, il descend sa braguette et sort de son pantalon un sexe long, fièrement dardé vers moi. La matraque reprend son vol et vient se loger sur ma nuque, me courbant sur le membre latin. D'accord, il veut jouer à ça, on va voir qui va craquer le premier à ce petit jeu ! Je m'agenouille, saisit la hampe d'une main, les bourses gonflées de l'autre, et me mets à promener ma langue sur le bout du gland que je suçote tout doucement. La caresse fait de l'effet à mon homme, sa matraque tombe par terre, ses deux mains viennent se poser de chaque côté de ma tête. Je l'engloutis lentement, enserrant son sexe dans l'anneau de mes lèvres arrondies. Ce n'est plus moi qui gémit maintenant ! Quelques allers retours et je sens, aux soubresauts qui agitent mon policier, qu'il ne va pas tarder à jouir. La porte qui s'ouvre brutalement me fait bondir mais les deux mains de mon tortionnaire appuient toujours sur ma tête et je
JEUDI 6 SEPTEMBRE 2007
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