LA REPRÉSENTANTE EN LINGERIE

Il était encore trop tôt pour me lever, je décidai donc de me rendormir un peu. À peine le sommeil me revint que le timbre de la porte d'entrée retentit. Surpris, je me décidai quand même à me lever, et j'ouvris… - Bonjour Monsieur, je suis représentante pour une société de lingerie, votre femme est-elle là ? - Non, lui répondis-je, elle ne reviendra que ce soir. - D'accord, mais permettez-moi de vous dire que mes produits pourraient vous intéresser. - Bon alors entrez, fis-je sans discuter. J'étais en tenue du matin, c'est-à-dire pas très habillé. Elle s'assit dans le fauteuil, je lui proposai un café et j'allai m'habiller. Puis du coup, des souvenirs du jour précédent me revinrent et je me mis à craindre le pire tout en étant excité… Ma femme avait été dormir très tôt, et je m'étais soulagé devant une vidéo pornographique mais j'avais oublié la vidéo dans le magnétoscope. Je terminai donc de m'habiller, lorsque j'entendis un gémissement de femme provenant de la pièce où j'avais laissé la dame. Je vis alors la représentante, les mamelons à l'air, en train de s'enfoncer dans la chatte la télécommande ovale de la télé, tout en matant le film oublié la veille ! Merde ! Qu'est-ce que je fais, me suis-je dis intérieurement ? Elle me vit la mater et continua son exhibition. Ça lui plaisait d'ailleurs et le fait que je la mate lui donna soudain envie de s'occuper de son fion, chose qu'elle fit, immédiatement en y insérant deux doigts illico. La télécommande toujours fichée dans son vagin, les doigts trifouillant son cul, elle pelota aussi ses seins lourds en se pinçant vigoureusement les bouts. Son regard vers moi me fit chavirer. C'était trop tard, je fondais dans son désir. Une femme qui ne devrait être là que pour vendre de la lingerie et voilà qu'elle allait m'offrir son corps et son cul à la place de dessous féminins ! Vêtue d'une jupe courte que ma coquinerie n'avait pas ignoré dès que j'avais ouvert la porte, je fus stupéfait de voir qu'elle ne portait pas de culotte. - Ça me permet d'être plus vite excitée, je peux sentir mon odeur même après avoir pissé, mais aussi me doigter toute la journée au boulot. On peut dire qu'elle aimait les détails ! De sa franchise à ma queue dans sa bouche, il ne fallut que quelques secondes. Je lui empalai la bouche, clouant ma queue au fond de sa gorge, n'hésitant même pas à insérer des doigts en plus pour qu'elle me lèche entre les doigts. Entreprenante, elle décida de m'enlever tout mon caleçon et commença à me peloter les fesses. - C'est là que tu veux en venir ou quoi ? Pourquoi tu insistes comme ça, coquine ? - Je vais te faire quelque chose de succulent, mon cochon. J'ai plutôt été brusqué. Elle retira ma bite de sa bouche pleine de la mouille qu'elle avait lapé de ma queue et plongea sa langue dans ma bouche, tout en commençant à entrer ses doigts dans mon cul… Je ne me fis pas prier et fit de même avec le sien, jouant à l'occasion avec son clitoris et sa fente. Le problème était que son cul ne fut pas très propre mais je ne pus lui en faire part. Elle me dominait complètement, sa langue parcourait l'intérieur de ma bouche, passant sur mes oreilles, revenant à mes lèvres, pendant que mon cul commençait à s'ouvrir à ses doigts. Putain ! J'avais jamais ressenti un tel plaisir ! Tout à coup, elle me fit mettre sur le canapé à quatre pattes, je pris un peu peur. Mais merde à la fin ! C'était moi le mec ! Elle me força tout de même, et pris dans mon plaisir comme je l'étais, je me laissai faire. Pendant que ses doigts fouillaient mon fion, elle branlait ma bite de l'autre main. Ainsi à quatre pattes, ma vendeuse se mit à me lécher le trou cette fois… Décidément elle avait l'air de n'en vouloir qu'à mon cul ! Et comment savait-elle que j'aimais ça d'ailleurs ? Car en fait, je suis un véritable amateur de sexe anal, d'homme à femme et inversement ! Elle lapait donc le pourtour de mon fion, entrait, sortait, puis tout à coup, elle me dit : - Je vais te fister le cul, mon salaud, ça te tente hein ? - Euh, je, en fait… Je ne sais pas si… Je n'ai jamais pu terminer ma phrase, j'ai dû enfouir ma tête dans un coussin…

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MARDI 2 OCTOBRE 2007

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