Le rond de cuir

Je venais de terminer le lycée, j'avais 19 ans et je passais chaque été à bosser à la ferme de mon oncle Albert. Al avait fait de moi un bon bosseur. En plus mon corps avait, avec les années, prit des proportions fort agréables. Je suis de taille moyenneavec des pecs et des abdos du tonnerre et un joli petit popotin qui ne gâche rien. Ma bite est grosse et longue avec des boules bien pendantes, toujours remplies à rebord. Cet été là, oncle Albert avait engagé des aides pour nous seconder. Il avait beaucoup trop de besogne pour nous deux, donc il avait fait venir deux beurs, un black et trois latinos. Tati Rose avait en plus engagé l'étrange garçon du voisin. Jordan, ou Jojo, pour l'aider à la cuisine. Jojo avait début vingtaine, une tronche d'androgyne. Il était incroyablement beau, des traits très doux, un corps très mince, imberbe avec un cul d'enfer. Sa douceur était peu commune et il était très mystérieux le coquin. Il me souriait tout le temps, malgré sa timidité de minet. Nos journées constituaient à épandre de la terre fraîche sur des centaines d'âcres de terrain. Il faisait une chaleur incroyable, chaque jour, sans aucun répit. Je décidai cette année là de dormir avec les ouvriers, dans la grange réservée à cet effet. On occupait le haut, six lits superposés, collés les uns sur les autres. Les douches se trouvaient en bas, il y avait trois jets disponibles, en ligne droite avec également peu d'espace pour bouger. Radin l'oncle Albert ? De toute façon, il ne venait jamais dans la grange, cet espace étant uniquement réservé aux aides. Mes collègues étaient tous dans la vingtaine, sauf pour le black qui avait 35 ans. Les deux beurs étaient cousins, grands, costauds, imberbes, des corps magnifiques et deux ttbm en prime. Quel plaisir de se doucher entre ses deux là. Le black pour sa part était petit, costaud, solide, la peau très dark. Il avait une bite incroyablement longue qui lui pendait sur le long de la cuisse, presque à mi-cuisse. Je n'avais jamais vu un machin aussi long, je me demandais souvent combien il faisait lorsqu'il était en garde. Les trois latinos étaient quant à eux de vraies bêtes : grands, hyper baraqués, machos, avec de très respectables mandrins. Ils avaient des boules lourdes et pleines. Des fesses bandantes à souhait. Je devais m'efforcer de ne pas bander en leur présence. Après quelques semaines, je commençai à les avoir bien pleines. Je ne cessais de reluquer le black et sa méga bite. Un soir, je décidai de me rendre à la grange après le repas pour relaxer un brin sous la douche. Je commençai à me laver doucement, me laissant relaxer sous le jet chaud de la douche. Anton, le black, fit son entrée, nu devant moi. - Tiens, dit-il, moi qui croyais pouvoir être enfin seul sous la douche. Si tu veux je peux revenir plus tard… - Non mec, reste. Il commença à se doucher. Je ne cessais de regarder son manche, l'eau coulait dessus comme une fontaine de plaisir entre ses cuisses. Il remarqua mon manège. - T'aime ça dit-il. - Quoi ? J'aime quoi ? - Me reluquer la verge… Je sais que tu la regardes depuis le début, petite salope ! Je rougis instantanément et je me préparai à sortir. - Tu vas où le minet, reste, je vais te montrer combien elle est grosse. Il se caressa la verge de long en large pendant quelques secondes. Elle gonfla… Merde, elle était immense ! Elle devait faire environ 30cm. Il la branla avec une force incroyable. - T'aime ça hein, regarde la bien cette bite merveilleuse, regarde ce zob extraordinaire… Je bandai rapidement aussi. - Mets-toi à genou, lèche-moi les boules, je vais te cracher mon foutre sur la gueule. Je m'exécutai et je jouis en quelques secondes. Il m'inonda le visage de son jus chaud. - Écoute, dit-il, je suis pas homo, mais ici avec des mecs seulement, j'ai envie quand même… Tu en parles et je te flingue, compris le minet ? Et tu en veux encore, fais-moi signe. Je retournai à mon lit et passa le reste de la soirée à me branler en pensant à la bite monstre d'Anton. Et puis, le joli Jojo venait toujours rôder près de la grange. Hum, je m'amusais à le laisser languir. Mais bientôt, j'allais lui mettre au fond, ce…

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JEUDI 1 DéCEMBRE 2005

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