SANDRINE L'ESCORTE 1

Depuis un certain temps déjà, mon fantasme le plus obsédant était de faire l'amour avec une prostituée. Non pas une des vulgaires putes que l'on rencontre au Bois de Boulogne ou sur les Boulevards des Maréchaux, mais les créatures de rêve qui semblent réservées à la plus haute société, les call-girls qui n'officient que dans les hôtels cinq étoiles et que l'on aperçoit vaguement quelquefois à la télévision. Je m'étais ouvert de ce désir à mon meilleur ami. Philippe, qui m'avoua qu'une telle perspective ne le laissait pas, lui non plus, insensible. Restait l'obstacle financier. Comment un pauvre étudiant comme moi pouvait-il réunir les quelques milliers de francs que réclamaient ces jeunes filles de haute qualité pour passer une nuit avec lui ? Un matin. Philippe me téléphona d'une cabine près de la fac. Il venait de s'ouvrir de ce problème à des camarades dans un café et ils lui avaient discrètement transmis les coordonnées d'une étudiante qui pratiquait en amatrice ces amours tarifées. Elle payait de la sorte, semble-t-il, ses études, comme c'est de plus en plus en courant dans les facs parisiennes. Je confiai à mon ami le soin de contacter cette précieuse jeune fille et de s'enquérir de ses conditions. Philippe passa chez moi le soir-même avec d'excellentes nouvelles. Sandrine, c'est le nom de la jeune fille, avait accepté, sans doute à cause de sa bonne mine, de lui faire un marché. Son tarif normal étant de 2000 francs pour une nuit, elle proposait de nous rencontrer tous les deux ensemble pour seulement 3000! Cette offre était d'autant plus prometteuse que Sandrine avait avoué à Philippe que c'était la première fois qu'elle tentait cette expérience. Mon ami, qui ne doutait pas de ma réponse, avait accepté ces conditions et nous avions rendez-vous le week-end suivant chez la fille. Quand celle-ci nous ouvrit sa porte, le soir prévu, j'eus un choc : la créature qui apparut à mes yeux émerveillés n'avait vraiment rien d'une pute. Aucune vulgarité mais au contraire une distinction naturelle, impressionnante chez cette superbe brune pas très grande, mais bien dotée au niveau des nichons et de la croupe, pour autant que nous pouvions en juger sous son élégant tailleur blanc. Sandrine nous offrit un verre, et tandis que nous nous installions sur le canapé, elle nous demanda de lui régler son petit dû, puis proposa de se déshabiller pour nous. Intimidés par cette magnifique fille, qui agissait avec décontraction, comme si la situation était tout à fait habituelle, nous bredouillâmes notre accord. La petite garce mit un CD de jazz, puis dansant tranquillement au milieu de la pièce, elle se débarrassa avec grâce de la veste de son tailleur, puis déboutonna son corsage. Elle ne portait pas de soutif et ses gros nichons aux pointes brunes nous apparurent. - Ça vous plaît ? Et vous n'avez encore rien vu ! Nous lança Sandrine en relevant lentement son fourreau étroit. Au fait, vous pouvez vous masturber pendant ce temps, cela ne me dérange pas, au contraire, ajouta-t-elle, à notre grand soulagement. Philippe sortit le premier sa bite dressée et je suivis bientôt son exemple. J'empoignai ma queue, qui me faisait mal à force de désirer la belle étudiante. Celle-ci ôtait maintenant avec grâce ses Dim-up, nous révélant ainsi ses cuisses dorées. Bientôt, elle ne porta plus que sa petite culotte blanche, qui moulait superbement son cul avant de nous proposer de lui retirer. Quand la fille fut proche, nous nous emparâmes tous deux du léger vêtement, que nous abaissâmes lentement. Ainsi nous dévoilâmes les deux globes bien rebondis ainsi que sa chatte brune, poilue juste ce qu'il faut, comme je les aime. - Vous avez fini vos verres ? Nous demanda-t-elle. Bien, je pense qu'on peut passer à la suite. La fille s'empara de nos deux queues, dont elle apprécia la vigueur. - Hum… Voilà qui est prometteur ! Je pense que nous allons bien nous amuser. Suivez-moi. Un grand lit trônait au centre de la pièce voisine, sur lequel Sandrine s'allongea, les jambes écartées et le cul bien relevé. Tandis que nous continuions à nous branler, debout tout près d'elle. Sandrine entreprit d'en faire autant, nous dévoilant davantage encore son intimité. Ses deux doigts coulissaient avec aisance et sans aucune pudeur entre les nymphes bien souples de sa vulve. - Vous savez les mecs, vous pouvez me demander ce que vous voulez. Vous êtes là pour ça, après tout ! - On voudrait bien que tu écartes tes fesses, bafouillai-je

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DIMANCHE 10 MARS 2013

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