SAPHOS DE JOUR

Depuis quelques temps, les trois femmes avaient pris l'habitude de se voir presque à tous les jours pour s'adonner à leurs petits jeux saphiques. Toutes trois mariées depuis quelques années, dans la jeune trentaine, heureuses et comblées par leurs époux aimants, elles avaient néanmoins vite pris goût à ces plaisirs tabous. Non pas que le sexe avec leur mari ne les satisfaisaient plus, ni même qu'elles furent de véritables lesbiennes dans l'âme, mais elles avaient découvert qu'elles pouvaient atteindre ensemble de niveaux d'extases et d'orgasmes insoupçonnés. La douceur et la sensualité de leurs caresses mutuelles n'avaient d'égales. Depuis cette révélation, toutes trois s'entendaient pour dire qu'il n'y aurait plus aucunes raisons qu'elles ne se privent de ce plaisir. Aussi souvent que possible, elle se retrouvaient donc chez l'une ou l'autre, profitant du fait que leurs maris se trouvaient au boulot, et passaient le temps en s'apportant de douces caresses sensuelles et sexuelles qui les menaient à chaque fois un peu plus loin. Un rapprochement intime qui fit d'elles les trois meilleures amies du monde. Fidèles à cette nouvelle tradition. Coline. Louise et Jeanne s'étaient donc données rendez-vous en après-midi chez Louise. Pendant qu'elle enfilait ses dessous les plus affriolants, un string pèche en dentelle, assorti à un soutien-gorge mettant bien en valeur ses seins toujours fermes. Coline s'examinait dans la glace. À 33 ans, elle se trouvait fort jolie et appréciait à sa juste valeur les rondeurs presque parfaites de son corps. Dans le miroir, ses cheveux bruns clairs, mi-courts, coiffés en mèches, ses yeux pétillants et sa fine bouche, sa peau lisse et son charmant petit nez lui rendaient l'image d'une femme tout à fait ravissante et souriante. Néanmoins, ce qui la rendait encore plus joyeuse c'est qu'elle allait retrouver à nouveau ses deux amies pour une autre séance de plaisirs lesbiens. Elle aimait son époux, qui le lui rendait bien d'ailleurs, et elle filait une parfaite union depuis le premier jour de leur mariage. Les plaisirs qu'elle se permettait avec ses deux copines se situaient à un tout autre niveau. Elle savait sa libido très active et n'avait jamais eu honte de se masturber lorsque le désir s'en faisait sentir. Ses deux amies partageaient tout à fait cette idée. Mais, pour le moment, leurs petits jeux restaient entres elles. Elle remonta une courte jupe brune à sa taille, boutonna son chemisier transparent, chaussa ses escarpins et, d'un pas léger, elle quitta sa coquette demeure pour se rendre chez son amie. Lorsqu'elle arriva sur le seuil de la demeure de son amie, elle cogna trois petits coups sur la porte pour s'annoncer, puis sans attendre qu'on l'y invite, ouvrit et traversa le vestibule. En arrivant dans le salon, elle trouva ses deux copines en pleine action sur le sofa. Elles s'embrassaient déjà avec une sensualité frémissante. - Et bien mes chéries, vous ne perdez pas de temps ! Faites comme si je n'y étais pas, lança Coline en souriant tout en prenant place dans le fauteuil pour jouir pleinement de ce spectacle. - Ah, ma belle Coline… Ne trouves-tu pas que Jeanne est absolument ravissante dans ce deux pièces ? Je ne pouvais résister, lui répondit Louise d'un ton badin. - Je voulais faire ma femme d'affaires en cette belle journée, expliqua à son tour Jeanne. Alors, rinces-toi bien l'œil avant de venir nous rejoindre. - Alors, si tu veux bien… Continua Louise avant de reprendre où elle avait laissé. Une main posée sur la cuisse, glissant sur le bas-nylon vers l'entrecuisse, et l'autre derrière la nuque de Jeanne. Louise embrassait à nouveau sa copine, pendant que celle-ci insinuait ses doigts fins autour de la taille de sa complice et remontait jusqu'à son sein droit dont le mamelon durci tendait le tissu de sa chemise légère. Pendant que leur langue s'entremêlaient lascivement. Jeanne caressait doucement le globe du gros nichon que Louise lui offrait, puis vint titiller la mamelle entre son pouce et son index. Lorsque la main de Louise atteignit sa culotte. Jeanne frémit, rejetant la tête par derrière et arquant le bassin pour offrir son ventre aux doigts de son amie, qui la caressait maintenant avec plus de vigueur. Devinant les douces sensations que pouvait éprouver sa copine sous les doigts agiles de Louise. Coline sentit ses sens s'émoustiller à son tour. Bien calée dans le fauteuil, elle se délectait du spectacle que les deux femmes lui offraient, en caressant…

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MARDI 6 FéVRIER 2007

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