SCATOPOÉSIE

J'étais frigorifiée quand je suis arrivée chez moi. Je me suis empressée de me défaire de mes vêtements encore trempés et je me suis étendue dans un bon bain chaud. Me caler dans une baignoire remplie à ras bord, humer le parfum du savon, me bercer au son du silence, fermer les yeux et revoir en images ce que je n'ai pu voir ce soir. Ce soir je devais me rendre chez Le Salaud. -«J'te veux à 7 heures ici, t'as compris ?» Le ton de sa voix ne laissait pas place à beaucoup d'argumentations. Une voix à la fois très sévère mais aussi très chaude. Un timbre de voix qui me saisit, qui me conduit. J'avais croisé Le Salaud sur Irc un peu plus tôt et il m'avait prévenu qu'il s'occuperait du butt enfoncé dans mon cul dès mon arrivée. Le trajet me semblait tellement long, interminable. Le cul me chauffe et je sens ma chatte couler comme jamais. Je sens la mouille glisser jusqu'à mon cul. Je sens la chose me bourrer les intestins. Bref, curieux mélange de malaises et d'envies, de craintes et d'excitation. Je me suis présentée avec une demi-heure d'avance chez Le Salaud. J'étais heureuse et soulagée d'être enfin arrivée. Le butt dans mon cul m'indisposait et j'avais hâte de le retirer de sa trop petite prison. Le Salaud était affairé, il me fit baisser mon pantalon et m'agenouiller dans un coin. -«J'ai pas fini c'que j'avais à faire ! Attends-moi là !» J'ai obéi, tête baissée, puis j'ai entendu ses pas s'éloigner. À genoux, face au mur, ma nervosité était grande et ce machin dans mon cul n'augmentait en rien mon confort. Pourtant, je sentais mon entrejambe s'humidifier. Il est revenu au salon et m'a attaché un bandeau sur les yeux avant de s'éloigner à nouveau. Ainsi coupée du décor, j'entendais mieux la musique, les voitures qui passaient dans la rue, les craquements du plancher de bois, le moindre bruit de pas qui approchait. Mon pouls s'accélèrait au même rythme que mes idées, que mes désirs. J'essayais de prévoir l'imprévisible. Après un laps de temps que je ne saurais déterminer Le Salaud est revenu vers moi, m'a retourné la tête et a approché son gland de ma bouche. -«Aller, suce ! Montre-moi comment t'es une bonne salope, suce !» Le gland glisse entre mes lèvres et s'enfonce dans ma bouche sans que je ne fasse quoi que ce soit pour l'engloutir. Je suce cette queue avec gourmandise. Je lèche son gland, je caresse ses testicules tout en continuant de pomper. L'appréhension qui m'habitait se liquéfie entre mes cuisses. Je suis excitée, prête à jouir sans même me toucher ! La présence du butt dans mon cul me devient même agréable. Puis, je me suis retrouvée assise sur une chaise de bois, jambes écartées, aveugle et mouillée. Sous ses ordres, je dûs me masturber dans la noirceur du bandeau sur mes yeux. Me fouiller pendant qu'il me regardait sans que je ne puisse moi-même le voir m'observer… Mais j'entendais le frottement de sa queue dans sa main. Hmmm ! Il n'en fallait pas plus pour que je jouisse très fort ! :))) -«Debout salope ! Penche-toi que j't'encule !» Appuyée sur la chaise de bois, je me suis fait enculée à souhait. Tellement bonne cette queue dans mon cul ! :)) La sentir s'enfoncer, la sentir profondément et jouiiiiiir encore ! Être amenée, guidée dans la salle de bain. Puis agenouillée, entendre Le Salaud forcer, l'entendre chier. Humer le parfum de sa merde et le masturber pendant qu'il fait ses besoins. «Mets ta main !» J'obéis ! Attente et appréhension… Puis sentir la chaleur du cadeau, sa texture collante entre mes doigts. Étendre ce tas sur les fesses du Salaud, sur son ventre, sur ses cuisses. L'odeur qui s'accentue; les râlements qu'émet Le Salaud en se masturbant et…

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LUNDI 30 AVRIL 2007

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