Séduite par une femme mûre

Je m'appelle Amandine, j'ai 25 ans. Il y a trois mois, au cours du mariage d'une amie, j'ai rencontré Emma, une très jolie femme de 44 ans. C'était la tante de la jeune mariée. Avant elle, j'avais eu quelques petits flirts avec des filles de mon âge, mais c'était resté assez chaste. Quelques baisers timides, quelques caresses furtives… Avec Emma, ce fut un véritable coup de foudre. Dès que nous nous sommes croisées, au tout début de la cérémonie, ça m'a fait comme un grand frisson dans tout le corps. Pendant l'apéritif, c'est elle qui est venue m'aborder et, par la suite, elle n'a pas cessé de venir me relancer. J'ai appris qu'elle était divorcée, qu'elle était juriste et travaillait pour dans un grand cabinet de droit, à Marseille. J'avais un mal fou à soutenir son regard. Tout au long de la soirée, j'ai recherché sa présence, son contact. Si quelqu'un l'invitait à danser, j'étais jalouse : c'est moi qui aurais aimé être dans ses bras. Emma semblait jouer au chat et à la souris, avec moi, elle s'approchait, me caressait des yeux, puis s'éclipsait avec un autre. Vers deux heures du matin, j'ai voulu cesser ce manège et partir avec les premiers invités. Au moment de quitter la salle, j'ai senti quelqu'un attraper mon bras. C'était elle. Elle m'a souri et m'a demandé de la ramener. Elle n'avait pas de voiture. Je me suis mise à bafouiller et j'ai accepté. Durant le trajet, j'avais le souffle court tandis qu'Emma, avec autorité, remontait les pans de ma jupe tout en haut de mes cuisses et caressait ma chatte par-dessus ma culotte. Je l'ai conduite tant bien que mal vers son appartement, sur la Corniche. Elle m'a proposé un dernier verre, sous prétexte de ne pas se quitter ainsi, et aussi vite… Je me souviens encore du premier contact de ses lèvres humides sur les miennes et de sa langue qui pénétrait ma bouche. Après, tout est allé très vite. J'étais aussi émue qu'anxieuse en me laissant déshabiller. Elle a dénudé mes seins avant de les caresser doucement, et elle s'est mise à en lécher les pointes à petits coups de langue. Elle a ri en passant ses doigts sur ma culotte. - Tu les trempes toujours aussi vite ? A-t-elle remarqué, à ma grande confusion. J'avais hâte qu'Emma se déshabille à son tour. Nous nous sommes encore embrassées en nous caressant mutuellement. Je n'osais pas glisser ma main entre ses cuisses. Elle m'intimidait. J'ai attendu que ce soit elle qui dirige mes doigts sur sa chatte. Comme moi, elle était abondamment trempée. J'ai caressé furtivement sa fente, j'ai effleuré son clitoris pendant qu'elle me branlait de son côté, de façon beaucoup plus experte et décidée. C'était plus fort que moi, j'ai commencé à gémir et à me tortiller sous ses caresses directes. Ses doigts me pénétraient à fond. Elle les faisaient aller et venir sans douceur, et les retiraient de ma chatte pour me les faire lécher. Tête-bêche. Emma m'a guidé sur elle, en 69. Au milieu de ses cuisses ouvertes, j'ai découvert le plaisir de lécher son sexe blond qui dégageait une saveur salée. Je passais ma langue le long de la fente rose, je titillais le clitoris qui se dardait, presque aussi dur qu'une pierre. Emma me rendait les mêmes caresses. Au bout d'un moment, elle est allée encore plus loin et a écarté mes fesses pour passer sa langue frétillante sur mon anus. Elle la glissait dans ma raie, elle l'agitait sur cet orifice secret jusqu'à s'y introduire profondément. Tout ça me rendait folle. Elle a continué de s'occuper de mon cul tout en masturbant mon clitoris avec ses doigts. J'essayais de me retenir tant que je pouvais sans cesser de la lécher, mais d'un coup, un orgasme aussi intense qu'inattendu m'a tétanisée. J'ai joui très fort, j'ai même crié. Cela semblait n'en plus finir, et j'ai à peine senti Emma se laisser aller, elle-aussi, le corps raidi et agité de mouvements convulsifs. Nous sommes ensuite passées dans sa chambre. Emma avait encore envie de faire l'amour et moi aussi, j'étais toujours aussi excitée. Elle m'a fait découvrir les multiples façons de se donner du plaisir entre femmes. Son attitude a alors évolué jusqu'à devenir beaucoup plus autoritaire. D'un ton sans réplique, elle a commencé à me donner des ordres, en me traitant de «petite garce» et «petite salope». Il fallait que je lui obéisse, exigeait-elle, en…

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DIMANCHE 11 SEPTEMBRE 2005

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