Je l'ai rencontrée sous une pluie battante, en fin d'après-midi. Ce jour-là, un déluge s'était abattu sur la ville de Toulouse. C'était un de ces orages de printemps, soudain et violent qui surviennent sans prévenir. J'avais trouvé pour seul refuge le pas de la porte d'un vieil immeuble, à moitié délabré. La grêle s'est mêlée aux grosses gouttes d'eau et, en quelques secondes, la rue fut inondée. Je regardais les gens courir s'abriter quand Cécilia est arrivée. Je me suis écarté pour lui laisser un peu de place près de moi. Ses cheveux châtains et son pull étaient trempés. Je me souviens encore très bien de l'une de ses premières phrases : - J'ai toujours eu peur des éclairs et du tonnerre. Depuis toute petite. Je la trouvais très mignonne mais j'étais encore loin de me douter que j'allais vivre une longue et étonnante histoire avec cette jeune étudiante. D'autant plus qu'une certaine différence d'âge nous séparait. Le pull mouillé épousait bien ses formes et faisait ressortir une jolie poitrine ferme. Il était évident que Cécilia ne portait pas de soutien-gorge et sa jupe courte laissait entrevoir de belles jambes fuselées. Nous avons échangé quelques mots en commençant par des phrases banales. Cécilia grelottait de froid. Elle dégageait un air fragile tout en donnant l'apparence d'être assez sûre d'elle-même. Je lui ai trouvé un regard coquin qui, parfois, pouvait prendre des expressions naïves de petite fille. Au bout d'un moment, mon côté charmeur a pris le dessus. Finalement, et à force de la détailler discrètement, je la trouvais de plus en plus jolie et sensuelle. J'ai plaisanté avec elle et je n'avais pas du tout envie de voir la pluie cesser, rien que pour prolonger cette rencontre. Mais peu à peu, l'orage s'est calmé. J'ai pris les devants en proposant à Cécilia de venir prendre quelque chose de chaud dans un bar. Elle a un peu hésité avant de me répondre : - J'avais rendez-vous avec une copine mais bon, elle attendra un peu. Nous nous sommes dirigés vers le premier café et quand je l'ai eue, assise en face de moi, j'ai pu mieux profiter de son visage et de ses yeux canailles. Notre conversation était détendue. Je me suis hasardé à lui demander si elle avait un petit copain. Du tac au tac, elle m'a répondu en riant : - Et vous ? Elle dirait quoi votre femme si elle vous surprenait dans ce bar avec une jeune femme de 24 ans ? Quand je lui ai précisé que j'étais divorcé depuis deux ans, Cécilia m'a avoué qu'elle n'avait pas de petit copain en ce moment. À présent, c'était elle qui me donnait l'impression de vouloir me charmer. Peut-être était-elle attirée par les hommes de la quarantaine ? Elle ne semblait plus pressée d'aller rejoindre sa copine quant à moi, je cherchais tous les moyens pour ne pas avoir à me séparer d'elle sans trop lui donner l'apparence de vouloir l'attirer dans mon lit. Finalement, je ne voyais qu'une solution : l'inviter à dîner dans un restaurant. Cécilia a accepté en me disant : - D'accord, mais il faut que j'aille me changer. Mes vêtements sont encore trempés. J'ai accompagné Cécilia chez elle. Elle habitait à deux pas de la Mairie de Toulouse, dans un petit studio avec mezzanine, au dernier étage d'un immeuble rénové. Ses fenêtres dominaient les toits et je me suis demandé si elle recevait souvent des hommes dans son intimité. Elle a disparu dans sa salle de bains pour prendre une douche en me disant qu'elle en avait juste pour quelques minutes. L'imaginer nue sous l'eau a immédiatement fait réagir mes instincts les plus primaires. Quand Cécilia est réapparue, elle ne portait qu'un simple peignoir rose. Je n'ai pas pu rester impassible devant tant de provocation. C'était du quitte ou double, mais tant pis. Le simple fait de la tenir dans mes bras et de sentir qu'elle ne se refusait pas m'a mis hors de moi. J'ai embrassé sa bouche tout en promenant mes mains sur son corps. Mes doigts ont massé ses épaules, son dos, puis ont pu apprécier le contour d'une belle paire de fesses rondes et fermes avant de découvrir, sous un fin tissu éponge, des seins bien galbés aux pointes déjà dures. Nous sommes montés sur la mezzanine et cette fois, en embrassant de nouveau Cécilia, je lui ai retiré son peignoir de bain. Son corps était parfait. À cette époque, Cécilia n'avait pas
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VENDREDI 5 SEPTEMBRE 2008
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