SIESTE TORRIDE

Le soleil brille sur l'Espagne en ce mois d'août. La famille de Vicente est des plus accueillantes. Ses soeurs : Gaya 18 ans et Montse 19 ans sont devenues mes copines en quelques jours. La maison est géniale avec une immense piscine d'eau de mer, un court de tennis, un jacuzzi en plein air et un jardin verdoyant, semé de parterres de fleurs. Pascal, le père de Vicente est une grosse fortune catalane bâtie sur l'industrie du moteur hors-bord. Avec son épouse Anna, ils consacrent à présent la majorité de leur temps à profiter de cet argent, organisant des fêtes somptueuses dans leur propriété ou sur le yacht mouillé à quelques encablures de la côte. Pascal doit avoir à peu près l'âge de papa. Les deux hommes auraient pu être frères ou passer pour tels tant ils sont semblables. Maman par contre est tout l'opposé d'Anna. L'une est grande avec une longue chevelure blonde, l'autre ne doit pas dépasser le mètre cinquante cinq et ses cheveux de jais sont coupés courts. L'une a les rondeurs et la silhouette de sa Scandinavie d'origine, alors que l'autre est menue, et ses petits seins n'ont sans doute jamais connu le besoin d'un quelconque soutien. C'est au bord de la piscine, allongée en monokini sur un coussin, que je me livre à mes réflexions, tandis que nous prenons un verre en attendant le repas. L'Espagne pudibonde que j'ai connue lorsque j'avais 10 ans a bien changé. Les seins nus au soleil sont devenus monnaie courante, à tel point que Gaya et Montse, qui devisent ainsi accoudées au parapet du patio, n'attirent même pas l'attention des quelques promeneurs qui déambulent en contrebas à quelques mètres. Elles ne peuvent renier leurs origines ni l'une ni l'autre, fabriquées au moule de leur maman. De taille égale, elles se ressemblent étrangement, la seule différence notable est une poitrine un peu plus forte pour la plus âgée. Elle est pourtant plus discrète que la mienne. Mes mensurations actuelles sont, en toute modestie, un parfait 90-58-90 pour 1 mètre 72. Vicente, quant à lui, ressemble plus à son père. Je crois qu'il doit avoir aux alentours de 24 ou 25 ans. 80 kilos pour 1 mètre 80 et son goût pour les sports lui a façonné avec les années un corps sec et musclé qui me plaît beaucoup. Il me semble que cette attirance est réciproque et je crois que je me laisserais bien faire avec lui pour mon dépucelage. J'ai fixé le grand jour moi-même et il s'approche doucement. Dilling… Dilling… C'est la cloche du repas qui sonne… Comme souvent dans les pays chauds, le déjeuner est suivi d'une sieste qui permet de se refaire des forces en laissant passer le gros coup de chaleur du début d'après-midi. J'ai opté pour la balancelle à l'ombre des mimosas, derrière la dépendance qui regroupe les chambres des jeunes à l'écart de la maison principale. Vicente a emmené mon frère Manu faire un tour en ville pour s'acheter quelques tee-shirts souvenirs. Les parents sont partis s'allonger dans leurs chambres respectives. Les filles se reposent dans la pièce qui se trouve quelques mètres derrière moi. Douceur d'une après-midi catalane. Je somnole plus ou moins, me contentant d'un aller retour dans la piscine et d'une douche froide pour me rincer du sel quand la chaleur devient trop lourde sur mon corps. Sur le moment, je ne prête pas trop attention aux gémissements qui me parviennent entre deux sommeils. Les bruits se précisent au fur et à mesure que j'émerge. Je comprends bien vite que la sieste des frangines ne doit pas être si reposante que ça. Je me doute des ébats qui se déroulent à l'intérieur et des images précises de soirée télé me reviennent en mémoire. Je me lève sans faire de bruit, ravie de pouvoir enfin contempler «pour de vrai», ce que j'ai appris au fur et à mesure de mon auto-éducation sexuelle. La porte coulissante de la baie vitrée est grande ouverte sur un spectacle qui me met le feu au ventre. Les deux filles sont totalement nues. Montse est allongée sur le ventre à même le sol. Un énorme coussin lui surélève les fesses et Gaya la caresse avec douceur en lui enfonçant dans le même temps son index dans la chatte et le majeur dans le petit orifice voisin. Le pouce n'est pas moins actif, massant le clitoris à chaque aller et retour. De son autre main, elle se branle avec délices, enfonçant deux doigts jusqu'à la garde au fond de sa chatte.

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VENDREDI 28 AOûT 2009

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