À SIX DANS LES DUNES

Cela fait maintenant trois ans que nous passons, mon mari et moi, nos vacances d'été sur la grande plage naturistes des Salins-de-Giraud, en Camargue. Pouvoir vivre et se baigner nu est quelque chose de délicieux et de très excitant. Je ne vous cacherai pas non plus que j'ai de fortes tendances exhibitionnistes. J'aime sentir le regard des hommes et des femmes sur mon corps et il m'arrive, de temps en temps, de me prêter à des petites séances d'exhibition devant l'objectif d'un caméscope ou celui d'un appareil-photos. Les clichés, pour la plupart très osés, que nous réalisons, nous aident à rencontrer de nouveaux partenaires lorsque nous les faisons publier dans des revues d'annonces. Les plus hard sont échangés avec celles d'autres couples par l'intermédiaire du réseau Internet. C'est un nouveau jeu qui excite beaucoup mon mari. Il s'est équipé de tout le matériel nécessaire : ordinateur, modem, scanner, imprimante à laser, appareil numérique. Il aime m'exhiber ainsi, seule en train de me masturber avec des godemichés ou d'autres objets, en présence de plusieurs hommes, de couples, de femmes, montrer que je n'ai vraiment aucun tabou et que de toutes mes voies, aucune n'est impénétrable… Paraître sexy, désirable et bandante reste une obsession chez moi. Je cherche à plaire autant aux hommes qu'aux femmes. À Paris, et avec Jacques mon mari, je vis toutes sortes d'aventures : triolisme bi, échangisme, exhibition devant voyeurs, sexe en groupe. Pour nous, il n'est donc jamais question de passer chastement nos vacances en Camargue mais plutôt, d'y rechercher des aventures insolites et originales. D'autant plus que le soleil, la mer et le fait de vivre nue décuplent mes ardeurs sexuelles. J'ai tout le temps envie, quoi ! Et Jacques est très heureux de me voir aussi disponible. Cette année, nous avions installé notre camping-car juste à côté de celui d'un couple belge. Annie et Marcel. Ils étaient un peu plus âgés que nous, la quarantaine tous les deux, bons vivants et très portés sur le sexe comme nous avons pu nous en rendre compte assez vite. Nous avons rapidement sympathisé, fait l'amour à quatre à plusieurs reprises puis connu un autre couple échangiste originaire de Blois. Chantal et Cédric. Elle, vingt-trois ans, très mignonne, soumise ; lui, vingt-cinq ans et bel homme. Un soir, juste à la tombée du soleil, nous nous sommes retrouvés tous les six dans les dunes. Alors que Chantal s'occupait de mon mari. Annie de Cédric, je suis de suite venue m'agenouiller devant Marcel pour le sucer. La particularité de cet homme était de posséder un sexe de dimensions impressionnantes. Mes doigts n'en faisaient pas le tour et j'avais toujours beaucoup de mal à faire glisser son gland entre mes lèvres. Je l'ai longuement sucé en le caressant entre mes seins, j'ai léché le bout de son sexe, ses bourses velues. Nous étions très près, les uns des autres, les trois femmes à genoux dans le sable. Nos maris en ont profité pour passer tour à tour dans nos bouches. Chantal était bisexuelle et j'ai pu caresser ses seins, embrasser sa bouche et me glisser entre ses cuisses pour lécher son joli minou noir dont les lèvres étaient entièrement épilées. Annie, quant à elle, préférait s'occuper des trois queues et les faire patienter dans sa bouche et dans ses doigts pour qu'elles puissent, ensuite, s'introduire dans tous nos orifices. L'ambiance était détendue, lubrique. Alors que nous nous déchaînions, les uns et les autres, nous avons remarqué la présence d'un homme qui nous observait. Les voyeurs sont assez fréquents dans les dunes. Lui, ne cherchait pas à se cacher, son maillot baissé et son sexe dans ses doigts. Nous avons continué et deux autres voyeurs sont arrivés se rapprochant peu à peu de nous. Alors que Chantal se trouvait tête-bêche sur moi. Jacques est venu se placer à genoux derrière ses fesses et j'ai pu voir son sexe épais presser la fente lisse avant de s'enfoncer, disparaître lentement à l'intérieur, ressortir jusqu'au gland puis disparaître de nouveau. Tout en me faisant lécher par Chantal et pénétrée avec ses doigts, j'agitais ma langue sur son clitoris ou bien, je m'occupais des bourses de Jacques. Les voyeurs regardaient et se masturbaient sans chercher à aller plus loin, jouissant uniquement du spectacle que nous leur offrions. Annie, elle, se faisait pendre en sandwich, juste à côté de nous, par Cédric et mon mari. J'étais très excitée par la vision du sexe de…

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VENDREDI 11 AVRIL 2008

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