SOCIÉTÉ SECRÈTE - L'INCONNUE

- C'est moche ! J'étais dans un centre commercial et je regardais une jupe qui me plaisait. Il n'y avait pas grand monde et cette voix de femme me fit sursauter. Je jetai un coup d' il. Une jeune femme Je la regardai dans les yeux. Un peu gênée par son regard intense, je fis courir mon il sur elle. Elle ne portait rien dans ses mains. J'en vins à me demander ce qu'elle pouvait trouver de si moche. Elle me sourit. - C'est moche cette culotte ! On voit qu'elle ! Fit-elle en souriant. Toujours gênée, je regardai ma jupe. Ne sachant comment réagir, je la fixai du regard. - C'est moche ! Enlève-la ! J'étais tétanisée. Je ne la connaissais ni d'Ève ni d'Adam et elle voulait que je retire ma culotte. Elle insista du regard. Je me regardai une fois de plus. - Enlève-la ! Sinon je le fais moi-même ! Je tremblai de peur. Elle s'approcha, le sourire carnassier. Je la fixai du regard. Elle me remonta la jupe. Je baissai les yeux pour suivre son visage. Je lui criai de tout mon être d'arrêter. J'implorai des yeux. Elle baissa ma culotte sur mes cuisses. Elle se redressa et me tendit la main. Je la regardai toujours. Ses yeux descendirent sur mon sexe et remontèrent se fixer dans les miens. Elle refit le geste de tendre la main. Au bord des larmes, je retirai ma culotte et la lui donnai. Elle baissa les yeux. - Tu t'épiles et tu reviens demain avec ça ! Elle me tendit une jupe blanche. Je pris la jupe qu'elle venait de sortir du rayon. Elle me tourna le dos et disparue. Je m'engouffrai dans une cabine avec la jupe. Le miroir me renvoya mon image. Mes seins gonflés dardais sous mon chemisier. Ma jupe remontée sur le pubis, révélait ma touffe pubienne. Je la dégrafai. La jupe blanche m'allait bien. Le noir de mes poils ressortait au travers de ce blanc. Je la retirai pour remettre la mienne. Je me regardai un moment. Je sortis et payai la jupe. Hors du magasin la sensation fut étrange. Je me sentis affreusement nue. J'avais beau savoir que personne (ou presque) ne pouvait savoir. J'avais le plus grand mal à éviter les gestes pour me cacher. Gestes qui, à coup sûr, révélaient plus que ma tenue. La traversée du centre me permit de prendre confiance. Je n'avais pas totalement confiance en moi ni dans le sort. Mais j'avais comme un sentiment de supériorité. Cela ne dura pas longtemps. Le vent s'engouffra sous ma jupe au moment où je m'installais dans ma voiture. Je rentrai en me faisant petite, toute petite. Je m'enfermai dans mon appartement le c ur battant. Je n'osai me l'avouer, mais j'étais plutôt excitée. Je posai mes emplettes. Plus exactement celle de l'inconnue. Je me revis lui donnant ma culotte, la jupe relevée, le sexe exposé. Je haussai les épaules et retirai mes chaussures. Je pris la jupe pour la mettre à laver. Passant devant ma chambre, je me vis dans le miroir. La scène du magasin se répéta dans ma mémoire. Ses mains avancèrent pour lever ma jupe et prendre ma culotte. Je repris conscience. La jupe resta au-dessus de mon pubis. Ma touffe pubienne s'éclaboussait en broussaille. «Tu t'épiles et tu reviens demain avec ça !» Avait-elle dit. Je me retournai vers la salle de bain. «Tu peux pas faire ça.» Me dis-je. «Sinon je le fais moi-même !» Son ton ferme et définitif résonnait dans ma tête. Comme absente, je me suis épilée. Endolorie, je me suis crémée, massée. Excitée, je me suis masturbée. Jouissante, je me suis affalée. Epuisée, je me suis endormie. Au milieu de la nuit, la faim me tirailla. Je me redressai. Je n'avais rien mangé. Mon ventre criait famine. Je vis ma jupe relevée, mon sexe épilé. Des tâches maculaient ma jupe. Je la retirai et attrapai une culotte dans mon tiroir. «Enlève-la !» Sa voix résonna dans la chambre. Je l'enfilai. «Enlève-la ! Sinon je le fais moi-même !» La culotte sous le sexe s'arrêta. Mon c ur s'emballa. Je la mis en place. Je vis ses mains s'approcher et me baisser la culotte. Je me vis la retirer et la lui donner. Sortant du brouillard, je trouvai la culotte sur le lit. Je mangeai ainsi dévêtue. La nudité me fit son effet. Je mangeai, me lavai et me préparai pour me coucher. J'étais passablement excitée lorsque je me mis au lit en chemise de nuit. Je me suis endormie.

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MARDI 20 AOûT 2013

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