Je m'appelle Victor, j'ai 22 ans et il m'est arrivé diverses aventures sexuelles intéressantes. Je vous en relate une ici. Je dois d'abord me décrire comme grand et plutôt bâti, les cheveux noirs et les yeux de même couleur. J'avais à l'époque de cette histoire un peu plus de 18 ans. J'avais été hospitalisé pour une soudaine crise d'appendicite et on me gardait à l'hôpital pour une journée en observation. L'opération m'avait rendu assez faible et personne n'avait voulu prendre de risque. J'étais donc étendu dans mon lit après les traditionnelles visites de la famille et des amis. À part la lecture, il y avait peu de choses à faire dans un hôpital et je mis peu de temps à m'ennuyer profondément. À l'heure du dîner, une jeune infirmière m'apporta le dîner peu invitant qu'on offre toujours dans les hôpitaux. Nous savons tous que le costume d'infirmière, quand une personne adéquate le porte, a quelque chose de profondément sexy. Cette jeune femme, probablement au milieu de la vingtaine, avait tout ce qu'il fallait pour cela. Le costume était parfaitement ajusté à sa taille fine et sa démarche sensuelle mettait tout son corps en valeur. Elle avait de longs cheveux châtains bouclés et des yeux démesurément grands et innocents. Le haut de sa blouse, ouvert à la commissure des seins, lui donnait un style légèrement provoquant, imperceptible pour n'importe qui d'autre, mais terriblement excitant pour moi. Elle posa mon dîner sur la table et me demanda si j'avais besoin de quelque chose. Je répondis qu'un second oreiller serait appréciable. Elle revint un instant plus tard et entreprit de le glisser derrière mon dos. J'en profitai pour caresser doucement sa cuisse par-dessus le bas blanc. Elle sembla surprise mais aucunement choquée, tandis que ses yeux s'agrandissaient encore et qu'elle me regardait fixement. Elle ne dit plus rien et s'en alla rapidement de la chambre. Je fus déçu, car j'aurais cru que tout cela aurait pu aller plus loin. Pourtant, au milieu de l'après-midi, la jolie infirmière revint s'assurer que tout allait bien. Je lui dis alors que je désirais m'habiller pour aller dehors et mentit en disant que j'étais incapable de m'habiller seul. Elle rougit jusqu'à la racine des cheveux mais ferma tout de même le rideau autour du lit. Elle entreprit alors de me mettre mes vêtements. Ses mains douces effleurant ma peau eurent un effet fulgurant sur mes hormones juvéniles. J'eus une érection instantanée, ce qui est assez difficile à cacher sous des caleçons blancs. Elle le remarqua immédiatement et sa gêne sembla s'amplifier. - Désolé, lui dis-je, mais vous êtes tellement jolie et Je n'eus pas besoin de finir ma phrase. La jeune femme posa doucement la main sur le tissu de mon caleçon et caressa doucement mon sexe dressé. On lisait sur son visage une expression de profonde inquiétude, car elle enfreignait ainsi toutes les règles. - Vous êtes très attirant, jeune homme, dit-elle d'une voix douce. Je n'ai pas le droit de faire ce que je fais. Elle m'embrassa langoureusement tout en continuant sa caresse et mes mains s'égarèrent lentement vers sa taille que je caressai tendrement. Son baiser dura longtemps et ses lèvres étaient chaudes et agréables. Mes mains montèrent doucement sur sa belle poitrine que je pris doucement au creux de mes paumes. Mon érection n'était plus contenable. Mon sexe avait écarté mon caleçon et la jeune infirmière caressait maintenant directement le pénis dressé. Je sentais que j'allais jouir quand nous entendîmes des pas qui s'approchaient dangereusement de la porte et nous dûmes cesser nos ébats. Ma belle infirmière sortit immédiatement du rideau et rabattit les couvertures par-dessus mon membre. Au moment où une grosse infirmière pénétrait dans la pièce, la jeune femme me murmura à l'oreille : - Je reviendrai ce soir. J'attendis ainsi tout l'après-midi et j'avais une envie folle de me masturber, tant ses caresses avaient eu un effet incroyable sur moi, mais je m'en gardai bien, car je désirais garder tout mon désir pour cette femme qui constituait ma première véritable aventure. Il était huit heures quand elle arriva. L'infirmière gigantesque qui nous avaient dérangés lors de l'après-midi m'avait apporté mon souper et je me languissais de la visite tant attendue. Elle entra sans un bruit dans la chambre que seule la lumière de la lune éclairait. - Que faire si quelqu'un vient ? Me demanda-t-elle quand elle fut près de moi. - Je fermerai le rideau et tu te cacheras sous les couvertures, lui répondis-je. Elle sourit et commença à m'embrasser tendrement. Mes mains s'attardèrent sur son corps en
LUNDI 12 DéCEMBRE 2005
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