SOIRÉE CUIR, TALONS AIGUILLES E...

Avoir un amant est une situation qui peut paraître banale. Avoir un amant pour réaliser certains fantasmes comme celui de participer à des petites partouzes l'est sûrement beaucoup moins. C'est pourtant ce que je vis avec Arnaud. Il est plus jeune que moi. Il a trente et un ans, j'approche la quarantaine. Cela faisait déjà plusieurs années que je trompais mon mari avant de le rencontrer. Je ne rentrerai pas dans tous les détails mais c'est un besoin de sexe et une trop grande frustration qui m'ont entraînée, petit à petit, à vivre dans les bras d'autres hommes ce que mon mari ne pouvait me donner. Lui et moi ne partageons pas les mêmes désirs. Aujourd'hui, je n'éprouve plus aucune culpabilité dans mes liaisons adultères. Le seul reproche que je me fais est celui de ne pas avoir le courage de tout dire à mon mari, de rompre avec lui et de demander le divorce. Mais là encore, les raisons qui me poussent à agir ainsi sont assez complexes. J'ai connu Arnaud, il y a plus d'un an maintenant, dans le cadre de mon travail. Ce jeune toubib m'a tout de suite plu. Il venait de s'installer et devenait donc un client potentiel pour la société d'équipements médicaux dans laquelle je suis employée. Nous nous sommes vus à plusieurs reprises jusqu'à ce que je couche avec lui. J'avais tout fait pour en arriver là… Notre entente sexuelle a été parfaite et intense, dès le début. Je n'étais pas sa seule maîtresse mais peu importe. Il me plaisait et surtout, il baisait très bien. J'étais très excitée, aussi, quand il me racontait ce qu'il faisait avec les autres femmes, comment et où il les prenait, ce qu'elles aimaient… Il était bourré de fantasmes. Avec moi, il pouvait se montrer dominateur ou soumis, vouloir m'attacher ou être ligoté pour que je le fesse et le sodomise avec un godemiché. C'était toujours assez fou entre nous et sans tabou. Je ne lui refusais rien de mon corps et nous parlions librement de tous nos fantasmes et de toutes nos envies. Un après-midi, alors que nous venions de faire l'amour dans son cabinet, je lui ai avoué que j'avais toujours rêvé de me retrouver dans une partouze. Arnaud connaissait et fréquentait des couples qui se réunissaient de temps en temps et qui organisaient des soirées à thèmes. Il m'était facile de trouver un prétexte pour m'absenter toute une nuit sans éveiller les soupçons de mon mari : un déplacement en province pour mon travail. C'était fréquent que je parte ainsi. Le seul impératif, pour moi, était que la partouze se déroule un soir de semaine. Elle eut lieu un jeudi. Le thème choisi par le couple qui recevait était : dessous en cuir, talons aiguille et sexe lisse. Je suis allée avec Arnaud dans une boutique spécialisée qui n'était autre qu'un sex-shop et qui proposait une belle collection de vêtements et de sous-vêtements sexy de toutes sortes : culottes fendues, soutifs ouverts, combinaisons transparentes, tenues de vinyle, latex, slip-gode, etc. C'était la première fois que j'entrais dans un sex-shop et je fus troublée par l'ambiance et l'atmosphère glauque de sexe à l'état brut. Je me suis présentée dans cette soirée, vêtue d'un serre-taille à lacets avec de longues attaches pour maintenir mes bas noirs, un string et un soutien-gorge qui avait la particularité d'être ouvert pour laisser entrevoir les aréoles de mes seins et mes tétons. Une tenue qui était, à elle seule, très excitante à porter. Arnaud avait insisté pour raser lui-même ma chatte blonde et s'en était chargé peu de temps auparavant. J'avais l'impression d'avoir un sexe tout neuf, les lèvres encore rougies par le feu du rasoir. Je n'avais pas encore trouvé quelle explication donner à mon mari… En fait, quand je me retrouvais avec Arnaud, ma seule envie était de me livrer entièrement à lui, corps et âme, sans me poser aucune question. Nous étions seulement quatre couples ce qui me convenait tout à fait pour une première expérience de ce type. Les trois autres femmes étaient superbes, mignonnes et, très vite, il a fallu dévoiler ce que nous portions sous nos robes ou nos jupes. Bizarrement, je n'étais pas du tout intimidée ni mal à l'aise, décidée à vivre à fond cette aventure. Nous nous sommes exhibées tour à tour. Guêpière en cuir laissant les seins entièrement dénudés, body, porte-jarretelles assorti à une culotte entièrement fendue, chacune portait de très jolies choses. Plus tard, il nous a fallu exhiber nos…

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MARDI 26 FéVRIER 2008

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