LE SOLDAT OUBLIÉ

Sandra et Paul s'étaient connus à l'université. Au départ, ils n'avaient été que de bons amis, puis ils avaient été amants et enfin, fiancés. Leur mariage approchait et promettait d'être très beau, mais Paul fut appelé au champ de bataille deux semaines après le jour J et ils durent se séparer pour une très longue période de temps. Cela faisait maintenant deux longues années que Sandra n'avait pas eu de nouvelles de son bien-aimé. Le gouvernement étant également sans nouvelle de sa garnison, on lui assura qu'ils n'avaient pas trouvé son corps et qu'il était donc vraisemblable qu'il soit retenu captif quelque part. Sandra pleura toutes les larmes de son corps, elle détruisit tout dans sa maison, cria au monde entier sa colère. Mais rien ne changea sa situation et elle finit par oublier, en surface du moins, l'amour de sa vie. Trois ans après la disparition de son amant, amour et meilleur ami, elle tenta de l'oublier définitivement en se mettant à draguer, tant la solitude lui était douloureuse. Elle fréquentait les bars et ramenait parfois jusqu'à une douzaine d'hommes à la maison, où elle se soumettait complètement à eux. Elle ne supportait plus de faire l'amour avec un seul homme, cela lui rappelait sans cesse son âme sœur disparue. Dans ces cas-là, elle pleurait et l'homme finissait par déduire la vérité : un autre prenait encore toute la place dans son cœur. Donc, le seul moyen qu'elle trouva pour oublier fut de devenir une poufiasse en rut draguant tout ce qui possède une queue. Un soir, elle invita quelques collègues chez elle. Elle mit une vidéo cochonne perso dans le lecteur DVD et se mit à danser pour eux. Elle laissa sa robe glisser sur le sol, dévoilant à la petite assistance un corps pulpeux, avec des courbes à rendre dingue n'importe qui. Les hommes s'échauffèrent rapidement et entreprirent de lui dicter leur fantasme. Bonne joueuse. Sandra ne recula devant aucune proposition, aussi tordue puisse-t-elle être. Elle allait enlever sa petite culotte mais un collègue lui demanda de se caresser la moule avec. Elle tira sur l'élastique et fit passer le string entre les lèvres de sa chatte dégoulinante et entre ses fesses rebondies. Puis, on lui demanda de se mettre à quatre pattes, dos à eux. Elle obtempéra avec plaisir et fit même secouer la plénitude de son cul devant leurs yeux émerveillés. Elle les laissa toucher son petit trou, auquel ils démontrèrent tous un grand intérêt. Elle se masturbait tandis que des mains lui pénétraient l'anus et le con. Son excitation ne cessait d'augmenter et lorsqu'elle sentit des queues lui fouetter le derrière et se partager ses trous, elle eut un orgasme puissant. Elle pompa la tige de ceux qui ne pouvaient profiter de son cul pour le moment. Lorsque l'un des mecs giclait, que ce soit au fond de son cul, sur son dos ou dans sa chatte, un autre prenait la place ensuite. Cette chosification extrême la fit jouir une seconde fois. Cette soirée s'acheva très tard et la plupart des mecs tombèrent endormis sur le sofa lorsqu'elle alla prendre une douche. Elle n'eut pas le cœur de les réveiller et alla donc se coucher, non pas dans son lit mais entre les corps étendus afin de profiter de la chaleur masculine. Elle essaya de ne pas trop penser à Paul et pour une fois, elle réussit assez bien tant elle était exténuée. Elle dormait depuis quelques temps déjà lorsqu'elle eut un appel. En fait, il faisait déjà jour lorsqu'elle décrocha le combiné : - Madame Sandra de La Futaye ? Elle eut un serrement au cœur, personne ne l'appelait plus par le nom de son mari depuis des années… - C'est exact, mais… qui êtes-vous ? - Je travaille pour le gouvernement de France et j'ai l'honneur de vous apprendre que votre époux est présentement au pays. Il devrait avoir son congé de l'hôpital ce matin, êtes-vous apte à le ramener chez vous aujourd'hui ? Sandra vit la pièce s'évanouir, les couleurs devinrent pâles, elle sentit ses jambes se dérober sous elle. - Euh, oui, certainement, merci madame. Puis elle raccrocha le combiné, lentement, pour prendre toute la mesure de ce qu'elle venait d'apprendre. La première chose qu'elle fit fut de réveiller les quelques cinq hommes étendus au salon ! - Ma mère vient me visiter d'une minute à l'autre, vous devez tous partir… Elle leur fourra leurs vêtements pêle-mêle dans les bras et les poussa à l'extérieur en caleçon. C'est seulement lorsqu'ils furent tous dehors…

» rencontres ?  Rezé

DIMANCHE 26 OCTOBRE 2008

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