LE STRING BLEU

J'ai une silhouette élancée, les cheveux longs châtains, les yeux clairs, une poitrine bien maintenue, un look qui ne laisse pas indifférent. Bref, au moment des faits, j'avais 18 ans et j'étais toujours au lycée. L'école n'a jamais été mon fort. Je sortais depuis peu avec Richard, un beau mec de 23 ans, grand brun, mince. Il avait pris pour habitude de venir me chercher à la sortie des cours avec son scooter. Richard est un garçon très timide qui parle peu mais qui est super mignon. Ce jour là, je suis habillée d'un chemisier blanc, d'une mini jupe en jean avec des boutons devant, d'un soutif bleu satiné et d'un string assorti. Je mets toujours des strings car les slips marquent sous les vêtements et ce serait dommage de d'enlaidir ainsi mon petit derrière. Richard est donc devant les portes de mon lycée. Il m'embrasse furtivement, (il n'aime pas s'exposer en public), je suis montée sur son scooter. Ma mini jupe est tellement serrée qu'il a fallu que je défasse les boutons du bas pour m'asseoir plus confortablement. Sur la route qui nous conduit jusqu'à chez moi, il s'arrête acheter des clopes. Moi, j'attends tranquillement sur le scooter. Les jeunes hommes qui passent dans la rue n'arrêtent pas de me regarder. Je comprends par la suite qu'ils lorgnaient le petit triangle bleu satiné de mon string qui était exposé aux yeux de tout le monde. Richard en revenant du tabac me voit ainsi exhiber. J'ai beau lui dire que je ne fais pas exprès, il est furax. Une fois arrivée devant chez moi, je veux concrétiser une idée qui me trotte dans la tête depuis plusieurs jours. Ça fait 2 semaines que je suis avec Richard et on n'a toujours pas eu de rapports sexuels. Nos avancées dans ce domaine se résument à des baisers et des attouchements. Parfois il me tripote les seins mais sans plus. J'ai envie d'aller plus loin et je sais que notre relation n'ira nulle part si on en reste là. Je sais que Richard est trop timide pour demander quoi que ce soit. Aussi, mon idée est de l'amener dans ma chambre pour y trouver un peu d'intimité. Il me suit sans difficulté, peut être que l'épisode sur le scooter l'a un peu «chauffé». L'endroit est beau, sous la lumière douce, on s'embrasse langoureusement. Richard s'est lâché un peu, il malaxe mes seins tandis que je caresse son large torse imberbe, ma main passée sous sa chemise. Puis, il glisse sa main par derrière sous la ceinture de ma jupe, ses doigts agiles tirent le tissu de mon string, la fine bande satinée serre le creux de mes fesses et par delà, appuie sur ma vulve. Je suis très excitée, mon sexe est trempé de désir. Je me libère de son étreinte pour me mettre à genoux devant lui. J'ai déjà eu l'occasion de faire des fellations, la dernière fois c'était avec Marco, un black mais c'est une autre histoire… Je n'ai encore jamais vu le sexe de Richard, ni même pu le toucher. Il n'a pas de braguette à son pantalon mais simplement des boutons que je défais un à un. Richard se laisse faire, il ne bouge pas, il ne m'aide pas, il me regarde faire seulement. Ma main fouille dans l'ouverture de son caleçon pour libérer sa queue en érection. Sous mon nez se dresse un beau membre circoncis, long et effilé. Je lèche le pourtour de son gland avant d'enfourner son sexe dans ma bouche. Mon expérience m'a appris qu'il faut sucer avec les lèvres tout en enroulant la langue autour de la queue. J'accélère le va-et-vient tout en aspirant les sécrétions humides de son sexe. Richard commence à gémir doucement, ma main posée sur sa cuisse sent les vibrations de son corps. Il vient caresser mon visage. Ses petits doigts poilus viennent effleurer le tissu de mon chemisier. Toujours pas de réaction de ma part, je retiens mon souffle, il devient de plus en plus audacieux. Maintenant il tripote mes seins, à pleine main, à travers le tissu de mon chemisier. Ses petits doigts trop courts commencent à défaire les boutons de mon chemisier, à cause de son empressement, il a du mal à ouvrir tous les boutons. Mon chemisier est déboutonné, il en écarte les pans pour mieux jouir du spectacle. Deux seins bien ronds et pleins, sertis dans un soutif à balconnet bleu satiné. Je sens les mains de Richard sur ma peau. Deux

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MARDI 23 JUIN 2009

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