STUDIEUSE ET DÉVERGONDÉE 2

Mais avec les filles, j'avais d'autres fantasmes. Avec elle, j'étais surtout excitée de pouvoir les dominer un peu. J'avais ma maîtrise quand j'ai fait la connaissance, sur les bancs de l'amphi d'un cours d'histoire de l'art, de Magali une jolie rouquine aux yeux verts. Magali avait seulement dix-neuf ans et je l'ai trouvé très mignonne : un corps parfait avec des jolis seins, des petites fesses rondes, une bouche aux lèvres sensuelles et tout ce qu'il faut pour donner envie d'elle. Elle avait un petit côté fragile et timide mais moi, ce qui m'a surtout excité, c'était le fait de la voir rougir facilement. Surtout dès qu'une fille ou un garçon faisait une allusion au sexe. En général, les filles qui rougissent encore à cet âge, c'est qu'elles cachent des fantasmes assez crus. Et je ne me suis pas trompée. Magali me plaisait et je l'ai dragué ouvertement, comme un vrai mec, ce qui la rendait encore plus mal à l'aise et gênée, chaque fois qu'elle se trouvait près de moi. Pourtant, elle s'arrangeait toujours pour laisser une place libre près d'elle, dans l'amphi, comme si elle la réservait pour moi. Un soir, je ne lui ai pas laissé le choix. À la fin du cours, je l'ai prié, autoritairement, de me suivre jusque chez moi, sous prétexte que j'avais quelque chose à lui montrer mais que c'était une petite surprise. Je pense qu'elle avait compris. Compris qu'une fois chez moi, j'en profiterais pour lui sauter dessus. Elle n'a pas détourné sa bouche quand je l'ai embrassé pour la première fois, elle a juste rougi encore plus que d'habitude mais sa langue s'est enroulée autour de la mienne. Sous son t-shirt, son corps était brûlant, la pointe de ses seins déjà dure. J'aurais parié que sa chatte était également trempée. Magali s'est mise à gémir très vite sous mes caresses comme si cela faisait très longtemps qu'elle avait attendu ce moment-là. J'avais soupçonné chez elle une docilité naturelle et là encore je ne me suis pas trompée. Haletante, les yeux fermés, elle se laissait faire. Je lui ai d'abord retiré son t-shirt. Elle ne portait pas de soutien-gorge et j'ai découvert deux seins superbes, en poire, la peau laiteuse avec de gros bouts tendus. J'ai malaxé sa poitrine, léché et mordillé ses pointes en me montrant de plus en plus entreprenante, encouragée par les râles de plaisir de ma nouvelle conquête. Sous son jean, elle portait une culotte banale, blanche et en coton. Je l'ai rapidement retiré, faisant apparaître une jolie chatte de rouquine, assez touffue avec les poils bouclés. Les lèvres étaient gonflées d'excitation, la fente légèrement entrouverte et brillante de cyprine, surplombée d'un clitoris assez volumineux et très sensible. Magali coulait comme une vraie fontaine. Quand j'ai commencé à la branler, elle s'est mise à gémir plus bruyamment, m'écartant bien ses cuisses pour s'offrir entièrement. Peu à peu, moi aussi, j'ai complètement perdu la tête. Cette fille était en train de me mettre hors de moi et de me donner les envies les plus folles. Nous nous sommes retrouvées entièrement nues sur mon lit et là, j'ai commencé à lui donner des ordres, à la dominer, à la diriger de manière autoritaire. En même temps, je l'insultais : - Ah, la sale gamine ! Je savais que tu en avais très envie alors lèche-moi bien les seins. Après, tu le feras en bas. Tout ce que j'avais ressenti, intuitivement, s'avérait exact. Magali aimait l'amour cru et les choses les plus obscènes. C'était une fille soumise et il ne tenait qu'à moi de la pousser là où je le désirais. J'ai continué en la traitant comme une pute. Le mot n'est pas exagéré mais c'était bien ça qu'elle voulait et attendait de moi. Me plaçant à quatre pattes sur le lit, je lui ai ordonné : - Puisque tu n'es qu'une vilaine cochonne et une abominable vicieuse, mets-moi ta langue dans le cul. Le plus profond que tu peux ! Je vais faire de toi ma lécheuse de cul attitrée. Tu devras me le faire tous les jours. Obéissante, elle a d'abord léché ma raie avant de darder sa langue dans mon petit trou. C'était très jouissif pour moi de sentir les efforts qu'elle faisait pour s'appliquer de son mieux. Plus tard, je lui ai glissé deux doigts dans sa bouche et je lui ai demandé de bien les lécher avant de l'enculer avec. Je lui ai dit : - C'est ma façon de bizuter

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VENDREDI 30 MAI 2014

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